Fantastique Pas Miroir

Cette œuvre, écrite à la première personne et divisée en quatre parties, marque un sommet de la satire sociale et politique au travers d'éléments mêlant, sur le mode du pamphlet ou de la description narrative, de la philosophie, de la logique, du fantastique et de la science-fiction. - Voyage à Lilliput, où l'on voit Lemuel Gulliver, chirurgien de marine, naviguer vers Bristol. Après un naufrage, il se retrouve sur l'île de Lilliput, dont les habitants sont des nains de six pouces de haut (env. 15

volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : * Est romantique ce qui : * s’écarte des normes fixées par le classicisme (Il exalte le goût du mystère et du fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé). * Est contre les règles, la raison et la logique (cherchant l'évasion dans le rêve, dans l'exotisme ou le passé). * Est

société et les milieux sociaux à travers Raphaël, jeune homme ayant perdu ses richesses et voulant intégrer les hautes classes sociales. Toutefois la peau de chagrin est un élément fantastique. Cet élément peut cependant constituer une idée abstraite représentant l’avidité humaine et il s’agirait donc d’un « faux roman fantastique ». 3) les personnages Foedora : Foedora représente « la société ». Elle est une femme puissante et de plus influente de Paris. Sur d’elle, elle rejette toutes les avances

au lecteur ce curieux personnage à travers un double regard : le sien propre t celui de Nicolas Poussin. Ce portrait permet de voir à l’œuvre le réalisme balzacien qui, tout en partant du réel, cherche à le dépasser et peut prendre une couleur fantastique. I/ Un point de vue complexe : entre certitudes et interrogations. 1/ Le regard du peintre en focalisation interne. C’est d’abord à travers les yeux du jeune Nicolas Poussin qu’on voit le vieillard : le regard du peintre

présente une approche des personnages très poussée. Certaines scènes relèvent du film érotique. En effet, Nina semble découvrir son corps suite aux recommandations de son maître de ballet. Par son déséquilibre du réel, Le cygne noir est un film fantastique. Le personnage principal est comme dans un monde parallèle, loin de la réalité. Quelques courtes scènes appartiennent au gore. En effet, le sang montré produit une réaction de dégoût chez le spectateur. Le film appartient aussi à l’horreur, car

généralisation des personnages, technique utilisée par Emile ZOLA dans le but d’expliquer des lois, et nous terminerons par l’union des personnages. Développement : Leromancier montre la domination de Thérèse et Laurent par leur corps, grâce au coté fantastique de la scène avec l’emploi du terme « le spectre de Camille ». La violence et la peur sont représentées parles mots « fouetté », « secousse ». Cette sensation de peur est accentuée par l’arrivée d’un ressuscité, exprimée à la ligne 7 avec « se dresser

ou est-il également le reflet de la réalité ? Ainsi nous nous pencherons sur le genre Naturalisme, réalisme qui donnent une part de réel dans les romans ainsi que des oeuvres tels que l'autobiographie et les récits de mémoire; puis sur le genre fantastique,merveilleux , les sciences fictions ou les contes qui font partis du genre romanesque. Tout d'abord, nous savons que le naturalisme est un prolongement du reel car il décrit précisément la réalité en s'appuyant sur un travail de documentation

de se représenter implique des écarts entre plusieurs identités. La littérature fantastique du XIXe siècle abordera cette question du « double », au travers notamment du « Horla » de Maupassant, dont le genre du journal intime s’inscrit dans une démarche de réflexivité identitaire . B. Le thème du double dans la littérature fantastique 1. Problématique + idée directrice : Comment

violences, etc sont exclues. Au XVIIe siècle, la bienséance rend le théâtre tragique en un théâtre de paroles (cf. l’Art poétique de Boileau). Le vraisemblable, comme son nom l’indique, ne représente que des choses vraies. C’est-à-dire que les éléments fantastiques ainsi que les événements qui sortent de l’ordinaire sont à exclure afin que ces événements soient possibles. Il faut que le spectateur puisse s’identifier au personnage et qu’il se reconnaisse dans les situations décrites. Le théâtre classique

phrase du sujet donne en fait une réponse qu’il faut décliner et critiquer en s’interrogeant sur la notion de "reflet". Avant d’adopter un plan, un travail lexical s’impose alors. Qu’est-ce qu’un reflet ? C’est une image fidèle, liée à l’objet du miroir et à l’idée d’objectivité. C’est une reproduction qui donne l’illusion de vérité. Néanmoins, le roman n’est-il pas qu’une simple imitation ? C’est une création, il peut donc offrir à ses lecteurs une représentation plus ou moins déformée de la société