Fascisme Nationalisme France Entre Deux Guerre

et non de leur nom. Ils vont dénoncer la domination des puissants et politiser le discours. C’est l’élection qui va précéder la politisation.
1913= introduction de l’isoloir dans les bureaux de vote.
C’est la fin du processus de démocratisation en France. B -­‐ L’unification du territoire national Un changement majeur qui va accompagner la république est un certain nombre de changements dans la vie matériel, notamment une amélioration des communications. 1 L’amélioration des voies de communications

niveau local et international). Introduction Une des raisons pour lesquelles l’expression « intégration par le sport » s’est développée au cours des années quatre-vingts en France tient à la diversification des lieux institutionnels de la pratique sportive. Multiples sont les facteurs d'intégration en France. Dans le cadre de notre étude sur ce thème, nous avons cherché à travers différents documents à répondre à cette question si le sport fait partie de ces facteurs d’intégration sociale

-Antisémitisme et Xénophobie en France, des années 1890 aux années 1980- Dans A la recherche du temps perdu, Marcel Proust confie au lecteur que, lorsqu’il était enfant, les crises d’asthmes le rendaient énormément dépendant de sa gouvernante. Il se moquait alors de ses fautes de français et de son accent étranger, il cherchait à l’humilier car il se sentait lui-même humilié de dépendre d’une personne qu’il jugeait inférieure à lui. Les termes de « racisme », de « xénophobie » et d’ « antisémitisme »

simple amusement inutile. Politiquement cette date n’est pas innocente : l’affaire de la succession du trône d’Espagne envenime les relations entre la Prusse et la France. L’empereur Napoléon III souhaiterait construire une armée à l’image de la Prusse qui recrute son armée à partir d’un service universel court mais qui fournit des réserves abondantes. En France la loi GOUVION-SAINT-CYR de 1822 impose un service long (7 ans), sur tirage au sort, qui assure des troupes solides mais l’absence totale de

voire politique – est également un siècle de grande barbarie. Si on analyse le lien entre culture et barbarie, il est bien sûr souhaitable de montrer comment la première peut mettre un frein à la seconde, mais également impossible de ne pas s'étonner : pourquoi la culture n'empêche-t-elle pas la barbarie ? Dès lors, quel lien unit ces deux notions ? Est-ce bien un lien d'opposition ? Plan I – Culture et barbarie : deux notions qui se veulent antithétiques II – Quelle culture, quelle nature ? III

chaque pays. Exemple : si on prend le clivage conservateur/travailleur, la politique comparée va permettre de montrer que ce clivage se retrouve dans beaucoup de pays en Europe. Elle va également montrer que ce clivage prend des formes différentes (France et l’Italie avec un poids plus important du PC, alors qu’en Angleterre le PC n’a jamais eu d’importance ; De même représentation des agriculteurs plus marquée en Europe de l’Est qu’à l’Ouest). B) Quelle place pour l’étude des textes constitutionnels 

scientifique qui est inséré dans des cadres institutionnels. En se qui concerne la sciences politique ces deux conditions sont réunis. 1871 : Il est crée l’école libre des sciences politiques. Moment difficile pour la science politique car elle a du mal à se dégager du droit public. On est dans une période d’émergence politique. Il faut véritablement attendre la fin de la seconde guerre mondiale pour que la science politique se développe. L’école est changé en IUP : Institut de Science Politique

période d’analyse se caractérise par son hétérogénéité même si pendant presque cinquante ans (de 1947 à 1991) les relations internationales ont été structurées par la guerre froide. Voilà pourquoi les césures chronologiques et les thèmes analysés peuvent être contestés. Le meilleur exemple réside dans la chronologie de la « guerre froide » , à propos de laquelle les discussions sur la fin de cette période sont indéfinies : est-ce 1953, avec la mort de Staline ? 1955, avec la coexistence pacifique

Introduction : De tout temps, le peuple juif a été persécuté en Europe, notamment en France. Il a souvent fait l’objet de préjugés ainsi que de fausses accusations, particulièrement lors de l’affaire Dreyfus en 1894. Mais pourquoi considère-t-on à cette époque le juif comme un traitre à l’image d’Alfred Dreyfus qui fut l’objet de fausses accusations ? En réalité, ce peuple a souvent servi de bouc émissaire au cours de l’histoire. Malgré l’idéologie de liberté et d’égalité qu’avait transmis le

philosophie politique traite de la vie commune et donc nécessairement de la notion de pouvoir. Cette question du pouvoir se décline sous différentes formes : qui peut contraindre les autres ? Quel est le rôle de l’individu ? Où se situe la frontière entre la sphère publique et la sphère privée des individus ? Qui définit cette frontière ? La philosophie politique analyse ces questions de manière normative, elle transforme la question qui gouverne en la question normative qui devrait gouverner. La