Faut Il Considerer Les Lois Comme Un Mal

la démocratie peut être plébiscitée comme le meilleur des régimes politiques, une formule susceptible de tout résoudre .Or ,à l’analyse la démocratie présent des insuffisances et des travers .Dès lors est-il encore légitime de la considérer comme une panacée ?Que peut-on reprocher à la démocratie ?A quelles conditions la démocratie peut-elle devenir un régime politique viable ? I-La DEMOCRATIE COMME LA MEILLEURE FORME DE GOUVERNEMENT (LA DEMOCRATIE COMME UN MODELE POLIQUE). La démocratie est

humaine qui l’entoure. Pour Rousseau, dans Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité des hommes, la différence entre l’homme est l’animal est la perfectibilité de l’homme. Perfectibilité : aptitude humaine à tout devenir, le pire comme le meilleur. « nous pouvons devenir plus bas que la bête même ». Un animal est déjà quelque chose à sa naissance, il a donc des qualités (au sens caractéristiques) inscrites dans son corps La thèse de Rousseau est qu’au contraire, un homme n’est

pouvoir politique doit se soumettre au droit. II) Droit constitutionnel et Etat de droit On doit protéger les individus contre l' arbitraire de l' Etat, on l' oppose aussi à l' Etat de police. Raymond Carré de Malberg définit l' Etat de police comme « Celui dans lequel l' autorité administrative peut, d' une façon discrétionnaire et avec une liberté de décision plus ou moins complète, appliquer aux citoyens toutes les mesures dont elles jugent utile de prendre par elle même l' initiative, en vue

prof Plan du cours: I) Les fondements de la vie politique: le pouvoir, l'état, la démocratie. II) La vie politique en pratique III) Les paradoxes de la vie politique 1.Le pouvoir L'homme vie en commun et ne peut pas vivre en autarcie. Ainsi il faut qu'il y ai un soucis de l'existence qui concerne tout le monde. La politique garantie la vie en collectivité. De ce fait et plus explicitement, à quoi sert le politique ? 1ere partie: qu'est ce que le politique? L'objet du politique est la préservation

justice). paradoxeDans les deux cas, l’interdit fonctionne comme une limite posée, les interdits sont des concepts, actions, tendances limitrophes sélectionnées de façon plus ou moins arbitraires par différentes entités autoritaires et transmises parfois même de façon silencieuse, intériorisée. Ces limites garantissent la vie en société et permettent une forme d’ordre moral lorsqu’elles sont respectées, cependant, tout interdit porte comme caractéristique de n’être pas un obstacle, un empêchement

judiciaires) qui pourraient juger l’administration. Ce fut la 1ère décision importante : lois des 16-24 Août 1790. Cette loi n’a pas été respectée, elle fut complétée par le décret du 16 Fructidor An III. On va donc vouloir créer des juridictions pour juger l’administration, mais ce n’est pas ce qui va se faire, vu qu’on garde un mauvais souvenir des juridictions d’exceptions. Donc, ce qu’on va choisir comme possibilité, c’est que l’administration va se juger elle-même. Et ce système va fonctionner

l’esprit, Règle deuxième. mais comme maintenant nous sommes déliés du serment qui nous enchaînait aux paroles du maître, et que, notre âge étant devenu assez mûr, nous avons soustrait notre main aux coups de la férule, si nous voulons sérieusement nous proposer des règles, à l’aide desquelles nous puissions parvenir au faîte de la connaissance humaine, mettons au premier rang celle que nous venons d’énoncer, et gardons-nous d’abuser de notre loisir, négligeant, comme font beaucoup de gens, les études

57, p. 47 « Ou on vous entraîne, ou on vous irrite. » 66, p. 50 « Il faut se connaître soi-même : quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela au moins sert à régler sa vie, et il n’y a rien de plus juste. » 69, p. 51 « Deux infinis, milieu. –Quand on lit trop vite ou trop doucement, on n’entend rien. » (justesse de la lecture) 71, p. 51 « Trop et trop peu de vin ». 72, p. 52 « Que l’homme, étant revenu à soi, considère ce qu’il est au prix de ce qui est […] ; et que, de ce petit cachot où

anglo-saxon, dont font partie Pocock, Skinner et Pettit. Se considérant comme républicanistes, ils contestent l'hégémonie du libéralisme en tant que doctrine philosophique (Hobbes, Locke, Mill, Aron, etc.) qu'ils considèrent incapable de garantir la liberté individuel qui constitue pourtant son objectif premier et fragilise la société en favorisant l'individualisme. Ils expliquent que les libéraux considèrent la liberté comme une non-interférence : je suis libre à condition qu'on respecte mes droits

une série de cas concrets (ex : a été voté en 1978 une loi relative au droit de la consommation, générale dès qu’un consommateur est impliqué dans un litige ; loi de 1985 sur les accidents de circulation, s’applique à tous les accidents). TOUTES LES LOIS SONT DES REGLES DE DROIT. Le contrat ne présente pas ce caractère de généralité car régie les relations juridiques entre 2 personnes identifiées. Le jugement tranche un litige particulier entre 2 personnes. B) La persistance dans le temps La