Faut Il Ne Désirer Que Le Possible

ce que le désir ? Désirer c’est avant tout manquer. L’homme est succombé de désirs dès sa naissance et sans doute pendant le reste de sa vie. « Le désir est l’essence même de l’Homme » explique Spinoza. Lorsqu’il obtient l’objet de son désir, il éprouve du plaisir, un état de satisfaction qui à l’inverse du bonheur est passagé. Mais une fois qu’un désir est réalisé, l’homme s’attache à un autre objet de désir. Alors, désirer deviens un obstacle au bonheur, puisque tant que l’homme désir, il manque

envies cachées et à un but recherché. Le désir est caractérisé comme la recherche d’un objet que l’on imagine ou que l’on sait être source de satisfaction. C’est une envie, un plaisir, le fait de vouloir quelque chose immédiatement. Il est souvent accompagné d’une souffrance ou d’un sentiment de manque, de privation car il n’est pas toujours réalisable. Il faut le distinguer d’un besoin qui est plus vital. Les désirs de l’individu sont illimités, il désire tous ce qu’il pense qui pourra lui apporter

père de la psychanalyse, va s’intéresser profondément aux rêves, à leurs sens et à leurs interprétations. Selon lui, le rêve est loin d'être un phénomène absurde ou magique, il possède un sens : il est l'accomplissement d'un désir, plus précisément l'accomplissement d'un désir inconscient. Il a pour fonction de satisfaire le rêveur, afin que celui-ci ne se réveille pas. Cette fonction du rêve constitue en fait une mine de renseignements quant aux désirs du rêveur. Mais le sens du rêve doit être interprété

...............................................................................3 A. Idée générale...................................................................3 B. Changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde...............3 C. Ne plus désirer plutôt que changer l'ordre du monde.......3 D. Conclusion......................................................................3 A. Situer Aristote dans le temps et dans l'espace..................6 B. Situer Aristote dans son temps..........

auparavant : d’un côté, l’homme semble être en mesure de changer l’ordre du monde pour le plier à la loi de son désir, mais d’un autre côté, on sent bien qu’il y a dans cette ambition quelque chose d’inquiétant et de peut être illégitime. Ainsi, pris entre deux feux dont on verra qu’il ne maîtrise ni l’un, ni l’autre, l’homme doit il choisir à quelle loi il est censé se soumettre : la loi du désir ? Ou la loi du monde ? Puisque nous avons repéré au sein même de la pensée de Descartes cette double possibilité

philosophie contemporaine accorde au désir une valeur positive puisqu'elle est puissance d'affirmation , le désir serait l'essence même de l'homme. Au contraire dans la philosophie classique , il est perçu comme objet de souffrance car il n'est jamais satisfait et ressurgit toujours. Si il est cause du malheur de l'homme , le désir devient alors notre ennemi et le bonheur est vécu comme une absence de désir. Il faudrait alors réduire ses désirs , ne pas désirer ce qu'on ne peut obtenir et lutter contre

Faut-il avoir peur de l’autrui? La peur est un sentiment d’appréhension qui inhibe nos actions. En effet nous pouvons nous poser la question si la peur ne devient pas une réaction naturelle et nécessaire pour se protéger de l’autrui. Mais se pose alors le problème moral: est-il légitime de fonder nos rapports avec autrui sur la peur? La crainte, est-elle une réaction nécessaire et naturelle pour nous protéger de l’autre ou est-elle une réaction dangereuse qui met en péril nos rapports avec autrui

désirs, est-ce une bonne règle de vie ? Notre exemple nous montre qu’il nous faut dès lors renoncer à certains désirs. Il nous invite à nous demander de manière plus générale comment pourrait-on les hiérarchiser, travailler à les rendre plus cohérents ? Mais si le désir était l’ennemi de la cohérence, si il était contraire à toute démarche rationnelle, ne faudrait-il pas plutôt chercher à s’en libérer dans la mesure du possible ? Ce serait alors une illusion d’avoir comme règle de vie l’idée d’accomplir

Chapitre II : Le Désir Philosophie : le désir introduction : Position du problème : le désir est à la fois la sensation douloureuse d'un manque et ce qui nous pousse à agir. En effet, lorsque l'on désir quelque chose on a la sensation douloureuse, anticipation de la douleur, qui nous pousse à agir. On peut dire que le désir est toujours l'expression d'un manque, et que pour combler ce manque nous cherchons à agir en pensant que la satisfaction de nos désir nous permettra d'atteindre

« Est-il absurde de désirer l’impossible ? » Si l’on interrogerait l’homme ordinaire il penserait qu’il est absurde de désirer l’impossible car pour lui c’est en vouloir toujours trop. Tout au long de sa vie l’homme désire et espère toujours satisfaire ce désir, il essaie de combler un manque. Le désir semble sans limite, il est insatiable mais également superflu, il ne faut pas le confondre avec le besoin qui est une chose essentielle, nécessaire. L’impossible c’est l’interdit, c’est quelque