Faut Il Obéir Aux Lois

enfants ou l’Entretien avec la Maréchale de***. Tous ces textes examinent, sous des formes différentes — dialogues, récits, réflexions philosophiques — la question des mœurs, des relations physiques, morales et civiles entre les sexes, la critique des lois et de la religion. Le Supplément offre en quelque sorte une synthèse de ces interrogations dans un dialogue plein d’esprit, à l’allure désinvolte et primesautière, mais en réalité très profond et sérieux, entre deux personnages, A et B. Remarquons

sans en être inquiété. Cela nous dirige vers la problématique la liberté d’expression est –elle sans limites ? La liberté d’expression présente des limites, car en effet nous ne pouvons pas toujours tout dire . En outre, nous devons parfois obéir à des lois et suivre des règles imposées pour des raisons morales et politiques .Le proverbe «La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » nous confirme les limites de la liberté d’expression apprend à restreindre ses libertés en communauté

elle ne s'applique pas seule. Il ne peut exister de lois permettant d'appliquer les lois, car cela irait à l'infini : il devrait en exister une nouvelle expliquant comment appliquer la précédente, ainsi de suite. La loi ne suffit donc pas à tout régler ; il faut la distinguer de son application, qui est un acte de l'esprit rendant indispensable la présence des juges. Le problème est alors de savoir si ceux-ci doivent seulement appliquer les lois, ou s'ils peuvent parfois les corriger, les interpréter

précisément en 1572 lors de la Saint Barthélémy ou les protestants sont massacrés. Désormais le roi est considéré comme un tyran et cela va donner naissance à une vive contestation de la monarchie absolue assimilé à la tyrannie. Pour les monarchomaques, il faut établir les conditions d’une monarchie limitée . Ils vont s’inspirer de Manegold de Lautenbach, auteur du XIIème siècle. Pour celui-ci, la relation entre le roi et le peuple repose sur une forme de contrat. Cette théorie du contrat inspire particulièrement

la sorte? Le premier principe découlant de ceux susmentionnés est qu’il ne faut jamais commettre l’injustice de son plein gré. Commettre l’injustice est, en toutes circonstances, chose mauvaise et blâmable pour celui qui la commet. Même à l’injustice il ne faut d’aucune façon répondre par l’injustice. Le dernier principe est le suivant: lorsqu’on est convenu avec quelqu’un d’une chose, à condition qu’elle soit juste, il faut la faire. À la lumière de ses principes, deux questions déterminantes pour

Socrate les refuse-t-il ? Socrate écoute les arguments de Criton mais défend sa thèse dans laquelle il affirme qu’il faut accepter la condamnation. D’abord, Socrate affirme qu’il faut toujours suivre ses propres principes, si on n’en a pas de meilleurs. Ensuite, il avance qu’il ne faut pas suivre l’opinion de la majorité (même si celle-ci a le pouvoir de le faire mourir). Il faut uniquement suivre les opinions des personnes qui sont instruites, et non des ignorants, qu’on le fait d’ailleurs pour

argent qu’à ses amis ? Car jamais le vulgaire ne voudra se persuader que c’est toi qui as refusé de sortir d’ici, malgré nos instances. SOCRATE Mais pourquoi, cher Criton, nous tant mettre en peine de l’opinion du vulgaire ? Les hommes sensés, dont il faut beaucoup plus s’occuper, sauront bien reconnaître comment les choses se seront véritablement passées. 4 CRITON Tu vois pourtant qu’il est nécessaire, Socrate, de se mettre en peine de l’opinion du vulgaire, et ce qui arrive nous fait assez voir

pris tels quels, sont durs contre la femme, on ne peut les intégrer dans le grand oeuvre social de ce début de siècle. Simplement, il faut dire qu’ils tombent en désuétude. Leur incidence sociale est caduque. Ce à quoi ils font allusion est obsolète. De nos jours, par exemple, on ne peut pas demander sérieusement qu’en cas de témoignage (devant la justice - NDLR), il faut qu’il y ait deux femmes pour un homme. C’est une atteinte gravissime à la dignité de la femme. Pourtant, les autorités algériennes

Législation. Allah a dit : « Le Jugement n’appartient qu’à Allah » (Sourate 6 – verset 57) « Il (Allah) n’associe personne à Son Commandement » (Sourate 18 - verset 26) « Ou bien auraient-ils des associés (à Allah) qui auraient établi pour eux des lois religieuses qu’Allah n’a jamais permises ? » (Sourate 42 - verset 21) « N'as-tu pas vu ceux qui prétendent croire à ce qu'on a fait descendre vers toi (Prophète) et à ce qu'on a fait descendre avant toi ? Ils veulent prendre pour juge le Tâghoût, alors

aux autres → Exclut l’intervention coercitive de l’Etat lorsqu’il y a naissance seulement à soi-même. → L’Etat n’a pas le droit de nous protéger contre notre gré, ni de faire notre bien à notre place/contre notre volonté. Conclusion 2): les lois ne s’opposent pas à la liberté humaine
Le droit et l’Etat fixent les conditions qui garantissent l’exercice de la liberté physique/morale pour tous (citoyens) Aucun homme n’a le droit de forcer un autre homme à faire ce qu’il ne veut pas faire. (seule