Faute De Mise En Danger Délibérée De La Personne D Autrui

non évalué partager Sommaire 1. L'éventuelle création d'un principe général du fait d'autrui. 1. Du principe général du fait des choses au général du fait d'autrui. 2. Un principe général du fait d'autrui contestable. 2. La mise en oeuvre de cette nouvelle responsabilité d'autrui. 3. Les conditions d'engagement de la responsabilité. 4. Le régime de la responsabilité de plein droit confirmée. Résumé du commentaire d'arrêt Jusqu’en mars 1991, seules quelques

civile et la responsabilité pénale se distinguent en plusieurs points: - en droit pénal, la faute est commise à l’encontre de la société dans son ensemble et non à l’encontre d’une personne déterminée, comme c’est le cas pour la responsabilité civile. - L’autre différence tient à la nécessité de la faute : pas d’infraction pénale sans faute, alors que les hypothèses de responsabilité civile sans faute se développent - La responsabilité pénale entraîne une punition alors que la responsabilité civile

1) L’entreprise : C’est l’ensemble des moyens humains et matériels en vue de favoriser la production de richesse. Nous ce qui nous intéresse c’est qu’est ce qui existe juridiquement : la personnalité juridique. Qui est reconnue par toutes les personnes physiques (nous) et morales (les sociétés ont la personnalité morale). 2) La personnalité juridique : Elle a plusieurs attributs : 1 - Pouvoir passer des contrats : contrats de travail et les contrats de la vie de l’entreprise (contrat de vente

qualification va supposer que l’on recherche si cet individu avait des droits sur l’appartement ou s’il avait un droit sur les meubles. S’il était locataire u usagé d’un hôtel, ce sera de l’abus de confiance et non du vol.) Le fait d’avoir donné la mort à autrui suppose un exercice de qualification au regard de l’élément intentionnel. Y-a-t’il eu préméditation, volonté de tuer ? Meurtre / Assassinat / Homicide par imprudence. Le même comportement vu de l’extérieur peut en fonction de cet exercice de qualification

des sentiments de mépris ou encore de dérision. Par exemple : * Un sentiment d’horreur : pour les sérials killer. * Un sentiment d’angoisse : Ce sentiment peut être provoqué par un terroriste qui, à tout moment, n’hésite pas à tuer des personnes au motif qu’il doit soutenir sa cause. * Un sentiment de mépris : C’est, par exemple, une infraction commise par un homme de pouvoir qui abuse de son pouvoir, le détourne de sa finalité pour, par exemple, s’enrichir. * Un sentiment de dérision :

rapports entre les individus qui la composent en fixant des règles (il est interdit de voler, il est interdit de tuer). Il y a toujours quelqu’un qui va enfreindre la règle, que faut-il faire pour faire respecter la règle : imposer des sanctions aux personnes qui violent les règles. Les règles qui ne sont pas accompagnées de sanctions ne sont pas respectées. Le droit pénal se compose de plusieurs disciplines (= enseignement) : - le droit pénal général : cela veut dire qu’il a une vocation de synthèse

(jurisprudence Benamar et schieb, 25 octobre 1962 : dans la mesure où l’auteur n’a pas commis une infraction punissable (assassinat), le complice ne peut pas être poursuivi faute de fait principal punissable ; en l’espèce, il s’agit d’une tentative de vol aggravé ; - un élément matériel : un acte positif, Qusimodo et Zébulon s’ocupent de la mise en scène destinée à détourner l’attention du caissier. Cet acte positif est concomitant à la commission de l’infraction. Il constitue également une forme matérielle

définissent les comportements interdits s’analysent comme des règles de droit pénal de fond. Ces textes qui incriminent proviennent du droit pénal de fond. ► De désigner qui sont les personnes qui concrètement pourront être tenues responsables pénalement : doit-on punir les mineurs, les aliénés mentaux, les personnes physiques mais aussi morales ? ► De fixer les peines qui sont encourues : pour chaque infraction, le droit pénal de fond va indiquer la peine que l’on risque. Ces règles de

inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui » et le sanctionne de trois ans d’emprisonnement et de 300 000 Francs d’amende ou, « en cas de violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement » de cinq ans d’emprisonnement et 500 000 Francs d’amende. La question a fait couler beaucoup d’encre2. La source n’est pas près de tarir et la décision de

mort est abolie. Le droit pénal a vocation à punir, il a vocation a atteindre la personne dans son corps et sa dignité. On a même dit du droit pénal qu'il est un droit odieux. Cette instrument a été corrigé par le biais de l'idéal des droits de l'Homme. On a donc un droit pénal plus humaniste. Mais il permet aussi d'enfermer la personne définitivement quand la personne est condamné à perpétuité et même quand la personne est présumée innocente. Quand on regarde le droit pénal d'un pays donné on a le