Figuration libre

puisque les crimes sont souillures. Protagoras, pour sa part, connaissant seulement le droit humain qui établit et sanctionne par une collectivité souveraine ceux qui menacent la cité, trouve sa garantie dans les exécutions. Aristote, pour qui le libre arbitre est le propre de l’homme[1], considère le citoyen comme étant responsable de ses actes : si crime il y a eu, un juge se devra de définir la sentence qui permettra d’annuler le dommage causé en le compensant. C’est de cette philosophie que fut

qu'on voudrait le voir faire ? Pour y répondre, les auteurs nous développent plusieurs notions. Tout d’abord, celle de « persévération d’une décision »ou encore d’effet de persévération de l’activité de décision, où ils opposent à une condition de libre décision, une condition de décision forcée. Dans cette théorie, ils expliquent que chez les individus qui sont libres de leurs choix, on observe de conséquents effets de persévération, contrairement au cas où ils sont soumis à de lourdes contraintes

C’est le cas du marché de l’alimentation qui reste très régional, de celui de la culture (encore très national, de l’éducation (très peu internationalisée, si on excepte quelques universités prestigieuses : Harvard, MIT, Stanford…). Les accords de libre-échange et les marchés communs comme l’UE confinent encore les échanges dans un cadre plus restreint que celui du globe. 2) Une mondialisation contestée Dans les pays industrialisés, les délocalisations d’entreprises vers le tiers-monde

3 septembre 1939 France et Empire colonial français (après juin 1940, l’Empire se divise entre partisans de Vichy et de la France libre) : 3 septembre 1939 (le gouvernement de Vichy obtient l’armistice en juin 1940 et maintient une neutralité théorique jusqu’à l’invasion alliée en 1944 et la mise en place du Gouvernement provisoire en métropole) La France libre agit aux côtés des Alliés dès le 18 juin 1940, le Gouvernement provisoire de la République française étant officiellement reconnu comme

rabat. » Ou encore : « un honneste homme n'est ny François, ny Aleman, ny Espagnol, il est Citoyen du monde, et sa patrie est par tout. » De plus, « ...le peu d'esperance qu'il avoit d'estre considéré, faute d'un patron aupres de qui son genie tout libre le rendoit incapable de s'assujettir, et enfin le grand amour qu'il avoit pour l'estude, le firent entierement renoncer au mestier de la guerre... » Savinien arrêta là sa carrière militaire. Un libertin Cyrano faisait partie de ces intellectuels

des échanges entre pays ,grâce à la baisse des coûts de transport,à la mobilité des capitaux notamment.Ces facteurs favorables à l'échange ayant permis la mondialisation sont assez récents et vont de pair avec une croyance répandue selon laquelle le libre-échange et le minimum de règles en matières sociales sont meilleurs que le protectionnisme et l'action sociale de l'Etat ,de la nation.Cette idée serait que les marchés permettent la parfaite allocation des ressources, ce qui laisserait de côté l'action

des marchandises, des capitaux et maintenant de l’information se fait de plus en plus rapidement et pour un cout de plus en plus faible. Cette explosion des échanges commerciaux a été favorisée par les accords de Bretton Woods et la promotion du libre-échangisme assurée par les accords du GATT et de l’OMC. Les politiques économiques des différents Etats, influencés par la pensée anglo-saxonne (néolibéralisme), ont favorisé l’ouverture des économies par la dérégulation des marchés et les privatisations

d’expliquer un problème, ou un incident, par une erreur humaine, c'est-à-dire une erreur due directement, ou uniquement, à la personnalité et à l’incapacité des individus et pas du tout aux circonstances qui ont contraint leur action. L’illusion du libre arbitre constitue le deuxième des facteurs psychologiques. La plupart des individus, notamment occidentaux, s’estiment capables de faire la différence entre le bien et le mal, le juste et le faux. Ils étendent cette capacité aux autres personnes. Donc

Intro : La notion et la définition de liberté ont toujours partagé les philosophes sans qu'on puisse prouver son existence ou sa non existence. Pour certain, être libre c'est pouvoir choisir entre différents possibles et donc admettre le libre arbitre et un futur indeterminé, pour d'autre, être libre c'est « faire ce que je veux » et par conséquent avoir un pouvoir d'agir, c'est la liberté d'action. Pour ces derniers, l'obligation est une entrave à la liberté car elle réduit le pouvoir d'agir.

croyance n’est elle pas lenemie de la liberté ? Depuis des siècles Faut-ils etre croyant pour etre libre ? Conclu : -mauvaise interpretation de la religion ! I) la croyance est un acte volontaire, donc un choix plus ou moins libre. A) Pourquoi croire ?: - La croyance est un fait personnel, qui permet de se rassurer face a des doutes bel et bien présents -la croyance: une pensée libre? -le libre arbitre: la religion est un choix; liberté de religions  - l'être humain a la faculté de penser