Fixer Des Limites Aux Recherche Scientifique

future, principalement devant une instance judiciaire (tribunaux internes, tribunaux internationaux, arbitrage,…), mais plus généralement pour toute présentation orale ou écrite mettant en jeu l’argumentation (conférences, négociations, contribution scientifique,…). Si le cours est introduit par une partie théorique relative aux techniques et théories de l’argumentation et à certains principes méthodologiques, l’essentiel de celui-ci consistera en des exercices pratiques et des séances de discussion visant

si les dieux existent, ceux-ci n’ont que faire des affaires humaines, comme le pensait Epicure. Plus près de nous, les Modernes ont remis les hommes au centre du monde, après l’intermède moyenâgeux. Dieu n’est plus de la partie pour ce qui est de fixer le destin de chacun. L’homme est responsable de ses actes. Il devient même, selon une idée sartrienne, la somme de ses actes. L’identité, loin d’être immuable et prédéfinie, est au contrainte en constante évolution, variant au gré des agissements.

fait pas bon ménage. * L’explication scientifique : Démarche stratégique comme scientifique, mise en place des lois, essayer une mise en place scientifique. Cette méthode est peu exploitée car elle change tout le temps. * La recherche in générique : c’est un compromis entre les 2 précédentes. Résultats de travail de chercheurs qui vont proposer des concepts utilisables par les dirigeants mais issues d’une démarche rigoureuse (comme la scientifique). * Conclusion : Depuis 1950, on est

internationale. Introduction Depuis le XX° siècle les scientifiques ont menés des recherches sur l'univers pour mieux connaître le monde qui nous entoure. Au milieu de ce siècle, on pense a envoyer un homme dans l’espace. En 1961, Youri Alexeïevitch Gagarine, alors astronaute soviétique fut le premier homme à voyager dans l'espace au cours de la mission Vostok 1, dans le cadre du programme spatiale soviétique. A cette époque-là, les scientifiques connaissent peu le milieu spatial et ses conséquences

capitalisme, radicalement opposées, se présentent comme des modèles. A cela s’ajoute des failles et des limites retrouvées aussi bien dans le modèle américain que dans le modèle soviétique. De ce fait, nous pouvons nous demander comment, sur quelle visions du monde ces deux modèles s’opposent-ils ? Pour cela il convient d’étudier le modèle américain puis le modèle soviétique ainsi que leurs limites. Sur ces deux grandes puissances aussi appelé les « les 2 Grands », nous étudierons tout d’abord

intimement liés à ceux de la méthode. Une recherche effectuée sans méthodologie préalable se condamnerait à errer sur les chemins sinueux de l'herméneutique et de l'extrapolation aléatoire. L'absence de méthode entraîne, en effet, une perte de temps et d'énergie considérables. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne peut y avoir de science sans méthode -l'empirisme pur existe bel et bien -mais une science sans conscience méthodologique n'est que ruine de la recherche. L'intérêt d'une méthodologie propre

pris en compte par le droit pour trouver des solutions juridiques. Or l’élément subjectif n’est pas facile à prendre en considération pour le droit. La règle de droit est par définition générale et impersonnelle et donc abstraite. Est-il possible de fixer des normes juridiques obligatoirement objectives qui tiennent compte de tous ces facteurs subjectifs de la variabilité de la gêne ressentie ? §2. Le recours à des notions voisines Il y a principalement 5 notions voisines auxquelles les juristes

| 2- l’apport de F. TAYLOR Excellent mécanicien, Taylor a énoncé dans son livre « principles of sientific management » paru en 1911les quatre grands principes de l’organisation scientifique du travail (OST) : - l’étude scientifique du travail doit être faite par une équipe de spécialistes (bureau méthodes). Elle définit le processus le plus économique du déroulement de travail en précisant la quantité de travail à fournir sachant que l’ouvrier qui atteint

MOQUET-ANGER, Sonia LE BRIS, Lori LUTHER, Philippe PEDROT C.R.J.O. Faculté de Droit et de Sciences politiques (Rennes, EP CNRS 1729, Centre de Recherche Juridique de l’Ouest) 1999 Les lois «bioéthique» à l’épreuve des faits. Réalités et perspectives. Paris, P.U.F. (coll. droit & justice), 1999, 339 pages, 175 F. INSTITUT : DATE : PUBLICATION : *Le projet de recherche «Internormativité et production de la norme éthique en matière biomédicale» comprend trois rapports : «Les comités r gionaux d’éthique

elle-même est-elle capable de tout démontrer ? Ne repose-t-elle pas elle aussi sur des principes indémontrables? Quel statut accorder à nos croyances? Nous avons tous des valeurs esthétique/ morale/ politique que nous tenons davantage qu'à la vérité scientifique. Quelle valeur faut-il accorder à notre valeur? Dans quelles conditions nos certitudes peuvent-elles être considérées pour vrai? Mais aussi pourquoi chercher la vérité? . I- Pourquoi chercher la vérité?La faculté de s’étonner devant ce