Focalisations Aux Champs

caractère et aux aspirations du héros.  Un personnage égocentrique et mégalomane 1) La focalisation interne Tout est centré sur Du Roy dans ce passage : voir la répétition du pronom de la 3ème personne « il » tout au long du texte, et les deux propositions à la fois parallèles et antithétiques : « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui. » Toute la focalisation adoptée dans le passage correspond à la sienne, tout est vécu de l’intérieur de ses perceptions et de sa conscience :

peintre totalement conscient de son art. Harold Rosenberg, autre critique américain, se penche plutôt du côté de la peinture gestuelle comme un acte physique de l'ordre de l'automatisme qui sert à rompre toute distanciation entre l'art et la vie. Ce champ de bataille entre ces deux paradigmes opposés sera analysé dans le contexte d'une œuvre exécutée entre 1947 et 1950, période pendant laquelle, Pollock développe son style et sa technique. Number 1, 1948, Planéité et délimitation de la planéité

Victor Hugo, né le 26 février 1802 est l’un des plus grands auteurs français du XIXe siècles. Il s’est imposé comme un des chefs de file du romantisme français en présentant sa conception du drame romantique. A la fois écrivain, dramaturge, poète, il s’est très vite engagé politiquement pour la France et à travers ses écrits il s’intéresse aux questions sociales. Ainsi, il lutte contre les injustices dont les victimes sont souvent les plus faibles, les laissés-pour-compte de la société. Le roman

. Expression du doute (interrogations, modélisations,…) .Rupture de la narration et jeux sur la focalisation .Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux ← Réaliste : -Faire passer la fiction pour vraisemblable, produire l’illusion du vrai .Détails descriptifs .Précisions spatio-temporelles .Dialogues au discours direct .Champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville,….) ← Epique : -Donner aux êtres, aux choses, aux événements

géant. Le narrateur est externe et il a une focalisation 0. 5. Figures de style : ligne 57 « large comme une grillade », ligne 75 « car tous coururent à la curée, comme un chien qui q poursuivi le gibier et finit par l’atteindre », ligne 50 « … qu’il perce la peau d’ours. Comme on trempe son pain dans la sauce… ». Ces trois figures de style sont des comparaisons 6. Axe de lecture : Le combat chevaleresque. Cet axe de lecture est justifié avec le champ lexical de la bataille et du combat : frappe

nombreuses questions qui ne trouve pas de réponses, puisqu’il découvre l’action en même temps que le personnage. D’autre part cet incipit est flou par le fait que le narrateur est un narrateur omniscient en focalisation interne sur le personnage de Tchen. Mais ce narrateur qui est supposé tout « savoir » se pose lui même des questions « Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? frapperait-il au travers ? » De plus les événements décrivent une situation

fût encore mois âgée » à « tous ses malheurs et les miens« , nous étudierons que cette rencontre déterminante scelle indéniablement le destin des personnages. I – Le récit d’un souvenir De « j’avais marqué le temps » à « aussitôt » L’extrait en focalisation interne s’ouvre par un récit rétrospectif. Il permet ainsi d’entremêler le souvenir lui-même et son récit distancié. C’est ce que le lecteur constate dès les deux premières phrases grâce à l’usage du plus-que- parfait (« j’avais marqué le temps

lequel ils sont censés s’être déroulés. Le récit est la mise en forme de cette histoire qui révèle les choix de son auteur : - l’auteur peut ne raconter pas tous les événements dans l’ordre chronologique, - l’auteur peut choisir un narrateur et une focalisation qui empêcheront le lecteur d’avoir accès à toutes les informations sur l’histoire, ...La nouvelle à chute est une nouvelle dont le dénouement apporte une information inattendue sur l’histoire. Au fil de l’histoire, l’auteur cache sciemment certaines

Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.)- Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux- Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux- Marques de la première personne (forte implication de celui qui parle) - Marques d’expressivité (phrases exclamatives

retravailler le style, les tournures de phrases et ajouter des figures de style Commentaire littéraire : * Identifier le genre du texte (poème, dialogue théâtral, extrait de roman,…) * J’OBSERVE | JE RELEVE | JE COMMENTE | -Le lexique | Champs lexicaux | Thèmes du texte, sens | -Le niveau de langue | (soutenu, courant, familier) | Niveau social du personnage, proximité | -Voc péjoratif ou mélioratif | Qualificatifs, etc… | Sens, image que veut donner l’auteur | -Temps verbaux | Mode