Fonction de Cobb-Douglas

n’est donc pas un état d’équilibre, mais plutôt un processus de changement dans lequel l’exploitation des ressources, le choix des investissements, l’orientation du développement technique ainsi que le changement institutionnel sont déterminés en fonction des besoins tant actuels qu’à venir. L’accent est d’abord mis sur la durée du développement (dimension économique). Une deuxième dimension concerne l’équité sociale, à établir entre les générations et à l’intérieur des générations (dimension sociale)

plan est articulé notamment autour de trois axes clés : - la rationalisation de la protection des exportations par la réforme du système du drawback, la redynamisation du système d’assurance et de financement des exportations, le renforcement des fonctions d’assistance et de support aux exportateurs ; - la mise en place d’un nouveau dispositif de promotion des investissements basé sur la révision du Code des Investissements, la mise en place d’un Guichet Unique auprès duquel s’accomplissent les formalités

présentation pédagogique de la théorie de la demande, illustrée par un exemple. En analyse microéconomique, la demande individuelle d'un bien est une fonction dépendant de plusieurs variables, en particulier le prix du bien et le revenu du consommateur. L'analyse de la demande en fonction du prix donne traditionnellement lieu d'abord à la définition de la fonction de demande par rapport au prix et à l'explication de celle-ci au travers de la décomposition de l'effet-prix (première partie), puis à la détermination

une partie de leur temps à la formation (donc renonce à un revenu pdt un temps). Sacrifice à court terme qui leur permettra d’augmenter la productivité du travail, l’efficacité du travail, et leur revenu. Dans ce nouveau modèle, on a une fonction Cobb-Douglas avec une combinaison des facteurs Capital et Travail qualifié : Y=Kα(AH)1-α A : progrès technique H : Travail qualifié, qui permet d’augmenter l’efficacité On appelle : u : la fraction du temps consacrée à la formation L : le travail

baisse aussi mais généralement d’une façon moindre, celle des investissements diminue également mais en général d’un montant plus important, et le chômage augmente. 1-2) Les horizons temporels en macro Les variables étudiées changent en fonction de la période de temps étudiée. Pour le court terme, certains prix ne peuvent s’ajuster aux prix du marché (ex : salaires, loyers…), c’est la théorie de Keynes parait alors plus ajustée. Pour le long terme, on considère les prix flexibles, c’est

laissent la place. ¤ Alfred SAUVY : déversement de secteur en secteur ¤ SOLOW : paradoxe : « tous les ordinateurs … » Croissance endogène, exogène. ¤ ROSTOW : les étapes de la ce économique et le take off Analyses factorielles de la ce : ¤ DOUGLAS, CARRE, DUBOIS, MALINVAUT : distinction des rôles des différents facteurs. ¤ KONDRATIEV : théorie des cycles de ce et de moindre ce, baptisé phase A et phase B A : 1780 1815 - 1848 1873 - 1896 1922 (disparition de l’auteur en 1922) B : 1815 1848

le facteur capital et les matières premières, produits semi finis, équipements, locaux CAD le facteur capital. Y= production L= travail K= capital Y = L K C’est la fonction Cobb-Douglas formalisé dans les années 1930. A l’époque les économistes considéraient que pour augmenter la production Y il fallait augmenter L et K CAD la quantité de facteurs utilisé mais il n’attribuait pas de rôle central au progrès technique, or on

un bien de consommation ou un bien de production. Par exemple, l'électricité sera pour le particulier un bien de consommation puisqu'il satisfait le besoin d'être éclairé, de cuisiner ou d’être chauffé. Mais l'électricité permettant de faire fonctionner une machine sera pour l'entreprise un bien de production. De même, la voiture du représentant de commerce sera pour la société qui l'emploie, un bien de production ; elle sera un bien de consommation pour la famille qui part en vacances. Classification

ses préférences et sa contrainte de budget. 1.1.1 Préférence et fonction d’utilité Nous notons xi la quantité de bien i consommée par le consommateur. Nous supposons qu’il existe n biens différents dans l’économie considérée. Le consommateur doit choisir un panier, c’est-à-dire un vecteur x = (x1, , xi , , xn) ∈ Rn où chaque coordonnée i correspond à la quantité de bien i que le con+ sommateur consomme. 1 1.1.1.1 La fonction d’utilité Une première façon de formaliser les préférences d’un agent

aujourd’hui par son ambivalence : A l’origine, l’assurance se focalisait sur l’indemnisation des sinistres grâce à la mutualisation qui est cernée par la célèbre devise de Lloyd’s : « la contribution de tous aux infortunes de quelques-uns ». Cette fonction originelle de l’assurance s’est considérablement réduite au fil des ans à tel enseigne qu’elle ne représente aujourd’hui qu’une petite part du chiffre d’affaire des entreprises d’assurance. Aujourd’hui, l’assurance-vie domine les chiffres d’affaires