Fonctionnement Filiale Benetton

de l’entreprise et élimination des activités qui ne créent pas de valeur MARKETING DES SERVICES LE CAS GALERIES LAFAYETTE IBM Global Services LE CAS GALERIES LAFAYETTE - IBM GS Avant 1999: Informatique GL et Cofinoga gérée par MagInfo, filiale 100% des GL. 1999: Externalisation de l’informatique GL vers IBM GS: contrat > 1 Mia € sur 15 ans. Dans la foulée création d’une JV (MagInfo 49% + IBM GD 51%): SDDC qui passe progressivement à 100 % IBM GS. Résultats: Réduction des coûts informatiques

recours à des intermédiaires : * La distribution est le plus souvent réalisée par des intermédiaires spécialisés (des distributeurs : grossistes, magasins de détail, ...) * Même si les producteurs peuvent s'en charger eux mêmes (Ex : Dell, Benetton) * Ceci pour des raisons * d'efficacité * de réduction de cout * ou encore d'aptitude à offrir aux clients finaux certains services 2. Revente des produits dans l'état, mais ajout de valeur : * Les distributeurs

durant longtemps la mesure essentielle du développement économique. Tout de même la crise de 1930 a induit l’existence d’énormes stocks de production non vendus dans les magasins des entreprises. De ce fait, l’attention a été aussi portée sur le fonctionnement des autres activités du secteur productif, notamment celles liées a l’écoulement des produits dont la distribution. Ainsi, la distribution est devenue une fonction économique complémentaire de le distribution, puisque elle permet d’assurer

économique ; 6. Maîtrise des risques ; 7. Optimisation ; 8. Reconstruction et innovation ; 9. Animation et gestion de changement ; 3. Objectifs de l’entreprise mâture Pour avancer dans la vie, il faut définir les objectifs. Le fonctionnement est le même pour l’entreprise. Parmi ces objectifs : * la fidélité client, à travers une écoute attentive du client permettant de comprendre ses véritables besoins et lui fournir des solutions concrètes et efficaces. * Bénéfices, qui

entreprise en économie de marché. Contentieux nombreux : // conversion hyp2:les accords intra groupes posent le pb des prix de transfert prix de transfert:une entité du groupe vend le produit à une autre entité du groupe. Ex: Mitsubichi vend à une de ses filiales européennes des transferts de marge,de profits par un différentiel de prix. Les groupes peuvent aboutir à des prix artificiels et dans le but de faire des transferts financiers et de fausser la valeur en douane. Chapitre II : la politique commerciale

sur le produit (existence de produits substituts ?)... 8 B. L’environnement non marchand L’environnement non marchand est constitué de toutes les structures sociales et institutionnelles qui ont une incidence directe ou indirecte sur le fonctionnement de l’entreprise. L’incidence est directe lorsqu’il y a des relations entre la firme et les composantes de l’environnement (indirecte dans les autres cas, l’administration peut ainsi affecter la fiscalité des ménages, et ainsi toucher les ventes

faite des anciens Organismes Financiers Spécialisés (OFS)2.          Le marché financier, quant à lui, après sa modernisation par une batterie de mesures, en 1993, a connu, en 2004, une mise à  jour de son infrastructure et de ses règles de fonctionnement et un renforcement des pouvoirs de l’autorité de marché. En 2006, la promulgation de la nouvelle loi bancaire apporte deux éléments fondamentaux que sont d’une part, des nouvelles règles prudentielles dans le cadre de Bâle II3 qui sont plus qualitatives

A- Action Unilatérale L’action unilatérale des Etats reste une composante importante du commerce international. Elle s’explique de deux façons : 1- Implication de l’ordre juridique de l’Etat dans les opérations du commerce international Le fonctionnement du système commercial international est largement dépendant des lois des Etats. Ces lois peuvent avoir pour objectif la régulation juridique des relations internes : obligations, contrats civils et commerciaux, propriété, sureté, crédit, règles

majorité des administrateurs ou gérants de celle-ci ou sur l'orientation de sa gestion » * Article 6 du Code des sociétés : * 1° société mère : la société qui détient un pouvoir de contrôle sur une autre société * 2° filiale : la société à l'égard de laquelle un pouvoir de contrôle existe. * la notion de « groupe de sociétés » est subordonnée à l’existence d’au minimum deux sociétés vis-à-vis desquelles l’une détient dans le capital de l’autre une participation

biens et de savoir-faire entre ses filiales. Toyota offre un bon exemple de groupe fortement mondialisé. A la fin de 1995, un tiers de la production mondiale de Toyota était réalisé par des filiales entièrement ou partiellement contrôlées par le groupe, réparties dans vingt-cinq pays d'Amérique, d'Europe et d'Asie. Mieux encore, Toyota exportait 38 % de sa production japonaise vers les marchés étrangers, et le volume des flux intra-firme entre ses filiales était important. Au sein de son réseau