Formes De Gouvernement Selon Aristote

L’État est une des formes d'organisation politique et juridique d'une société ou d'un pays. Il a été précédé par la Polis grecque, la res publica romaine, le Saint Empire romain germanique. Il est délimité par des frontières territoriales à l'intérieur des quelles ses lois s'appliquent et est constitué d’institutions par lesquels il exerce autorité et pouvoir; la légitimité de cette autorité repose sur la souveraineté . Le pays désigne une entité géographique tandis que le gouvernement est l’une des

disciplines et pratiques qui s’efforcent, chacune à sa manière, d’atteindre le réel, de constituer un rapport propre au réel, c’est que ce n’est pas directement le réel, qui est l’objet de sa réflexion mais notre rapport au réel, la diversité de ses formes et ses fondements. Cette leçon aborde notamment les notions suivantes du programme : La culture. La technique. Les échanges. La vérité. La raison et la croyance. L’expérience. La liberté. La justice et la loi. Le bonheur. Repères : absolu/relatif

conscience, droit positif. La formulation du sujet, qui évoque « les lois » (et non pas « la loi », ni « les règles »), doit a priori restreindre le sujet à la question de l’obéissance au droit positif. Il faut alors veiller à ne pas confondre toutes les formes de droit positif. Le sujet rend nécessaire une distinction entre des lois servant d’instrument à une pure et simple domination, et des lois qui auraient pour finalité de favoriser, ou du moins de préserver, la liberté. Comment des lois peuvent-elles

sentent comme des poussières d'atome, amoindris et isolées, impuissant par rapport au cours de l'existence, et écrasé par le poids des empires. Pendant cette même période, les religion gnostiques se développent, c'est à dire des religions basées sur des formes de conceptions moral de la vie, ces conceptions réponde à se sentiment d'isolement, en affirmant que le monde est hostile à l'Homme, et que l'Homme se sent comme étranger dans ce monde là, de sorte que ces religion gnostiques vont développer des comportements

La poétique, ARISTOTE Extrait «La poésie semble devoir sa naissance à deux choses que la nature a mises en nous. Nous avons tous pour l'imitation un penchant qui se manifeste dès notre enfance. L'homme est le plus imitatif des animaux, c'est même une des propriétés qui nous distinguent d'eux: c'est par l'imitation que nous prenons nos premières leçons; enfin tout ce qui est imité nous plait, on peut en juger par les arts. Des objets que nous ne verrions qu'avec peine, s'ils étaient réels, des

il est né, comment les Etats se sont formés, comment les hommes ont accepté de lui obéir.L'Etat désigne la personne morale de droit public qui, sur le plan juridique, représente une collectivité, un peuple ou une nation, à l'intérieur ou à l'extérieur d'un territoire déterminé sur lequel elle exerce le pouvoir suprême, la souveraineté. L'Etat est la forme la plus élaborée de la vie commune d'une société humaine. Il exerce son pouvoir par le biais du gouvernement. L'Etat dispose d'un certain nombre

par la mère nature, l’homme redevient animal (théorie). Aristote déclare que les hommes sont naturellement fait pour vivre en communauté, Hobbes prend le contre coup et dit que l’homme est un animal comme les autres et de là il peut vivre isolé. Il existe deux catégories d’hommes vivant seuls, ceux qui vivent seul avec la compagnie de Dieu (St Thomas), et ceux qui ce rapproche de l’animal proche de la nature. Aristote déclare que l’homme ne peut se révéler que dans la relation, l’homme

« par la crainte et le risque continuel d’une mort violente ». On arrive à une impasse donc les hommes ne peuvent plus rester à l’état de nature. Hobbes veut démontrer qu’il n’ait pas dans la nature de l’homme de vivre en société contrairement à Aristote (il n’est pas contractualiste). C’est une idée du 18ème siècle : la perfectibilité. L’animalité de l’homme et celle de l’animal n’est pas la même. Comme il n’y a pas de sociabilité naturelle, on n’a pas d’autre choix que de tenter de s’organiser

rend justice à chacun en ce sens que la nature nous dote tous, pour l’essentiel, de ce dont nous avons besoin et que par conséquent chacun a sa place bien précise dans ce cosmos. Y trouver sa place, c'est atteindre le bonheur et la vie bonne). Aristote (dont le stoïcisme s'inspire) : dénonce l'illusion de ceux qui jugent le monde mauvais parce qu'ils ne regardent que les détails sans accéder à une intelligence convenable de la totalité. « Si on se borne à regarder notre petit coin du monde, on

Cette position est soutenue par Aristote, qui définit l’homme comme un animal politique (parlant + qui a le sens du juste et de l’injuste = doué de raison). Il définit trois points importants : * La cité est une communauté, * Toute communauté est constituée en vue d’un certain bien, * De toutes les communautés la cité est la plus souveraine et celle qui inclut toutes les autres. Le bien visé est le bien souverain : au-dessus des autres. Pour Aristote, la société et l’état se rejoignent