Freud La Culture Limite Nos Pulsions

découvrir les principes et d’étudier le cas clinique, Fritz Zorn, nous allons tout d’abord faire un repérage historique, puis dans une première partie nous nous intéresseront à la pensée de la psychanalyse dans les phénomènes psychosomatiques à travers Freud et Lacan. Puis nous étudierons les particularités et les spécificités des phénomènes psychosomatiques. Enfin, nous pourrons illustrer tous ces faits théoriques grâce au manuscrit exceptionnel que nous a laissé Fritz Zorn et à la relation qu’il a établi

de la psychanalyse au cours de son histoire. La bataille entre les savoirs antérieurs, les religions , les idéologies et la découverte de la psychanalyse se déroule d’abord à l’intérieur de Freud. Maria Torok seule, puis en collaboration avec Nicholas Rand, a éclairé une partie des contradictions de Freud concernant le rôle des expériences de vie , en particulier celui des traumatismes par rapport à celui des fantasmes dans la vie psychique d’un chacun. De l’intérieur du travail psychanalytique

L’anorexie : Mécanismes et organisation ° Le refus d’identification à la femme, un problème identitaire ° L’oralité ° Une organisation similaire à l’addiction 2. Le poids des représentations sociales du corps dans l’anorexie ° Le poids de la culture ° Le corps de la femme comme objet ° L’anxiété et la culpabilité en lien avec un corps imparfait 3. Anorexie et image du corps : Les apports de Lacan et Dolto ° La notion d’image ° Distinction entre schéma corporel et Image du corps ° Le

s’éviter des déplaisirs * Oblative : pousse l’individu à faire du bien, à donner quelque chose aux autres * Auto-expression : besoin d’exprimer ce qu’il est ou ce qu’il voudrait paraître Toutes ces motivations peuvent être freinées par des pulsions négatives causées par certaines motivations d’achat (sentiment de culpabilité), ou par un sentiment de peur. Envie : forme particulière de consommation pour satisfaire un besoin 1- L’approche homéostatique veut que cet état désagréable d’excitation

(Howell cité par de Beauvoir). Par ailleurs, chez un même individu, il existe un vieillissement différentiel des organes et des fonctions chez un même individu. <numéro>La sénescence: un phénomène culturelLe vieillissement est le fait de la culture : Transformation de nos conditions de vieJusqu’au milieu du XVIIIème siècle : mortalité des enfants +++Peu d’individu atteignent 60 ans XXième siècle:Population âgée + de 65 ans en France = 8% population totale – 10% en 1975 et 5% pour les personnes

c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville) 15

partie use la plupart du temps de la rationalité classique. Plan I- Les mœurs : une « seconde nature » socialement acquise A) Amoralité et immoralité : la méconnaissance native des bonnes mœurs (Freud, Docteur Itard (Victor de l’Aveyron)) B) La socialisation ou les ressorts d’un dressage (Freud, Nietzsche, Norbert-Elias) C) La morale « close » : une humanisation restreinte (Montaigne, Bergson, Levi Strauss) Passer de la discipline sociale à l’obligation morale  l’obligation n’est pas la contrainte

LA CULTURE MET-ELLE FIN À LA NATURE ? Peut-on dire qu’il existe une unique nature humaine ? La conception de la nature humaine de LeviStrauss se définit par la dimension biologique de l’homme, qui est inhérente à tout être humain et identique. Cependant, on ne peut pas réduire l’Homme à un simple être biologique. En effet, l’Homme est avant tout de nos jours un être social. On peut ainsi dire d’une certaine façon que l’Homme présente en plus de sa nature biologique une deuxième nature qu’il se construit

reproduction, le reste n’est qu’une illusion.  * Collectivement, l’humanité doit donner elle-même le sens que prendra notre présence sur terre. La mort : - Élément fondamental Paradoxe : La vie prend sa réelle valeur parce que nous en connaissons les limites Contradiction : Puisque nous allons mourir de toute manière, pourquoi se donner du mal a vivre Constatation : La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Le mal absolu existe-t-il ? Procès de Nuremberg : On y présente la notion du crime contre

expérimentale. 
 
 Il reproche à la psychologie d’en appeler, pour se fondre, au postulat réaliste du «  sens commun ». 
 
 Husserl ne vise pas tellement a opposer à la psychologie scientifique une autre psychologie, mais plutôt à marquer les limites de la psychologie scientifique. 
 
 La psychologie elle même est d’abord un projet, une intention de comprendre mieux l’homme et son comportement; 
 
 S’il est vrai que le sujet empirique fait partie du monde il est vrai aussi que le monde n’est