Funérailles D Hiver

mêlent les vagissements des nouveau-nés abordant aux rivages de la lumière ; aucune nuit n'a succédé au jour, aucune aurore à la nuit, qui n'ait entendu, mêlés aux vagissements douloureux, les plaintes et les pleurs, cortège de la mort et des noires funérailles. 581. Voici encore une vérité qu'il faut tenir scellée et que ta mémoire devra garder fidèlement : c'est que de tous les êtres dont nous apparaît la substance, il n'en est aucun qui soit formé d'une seule espèce d'atomes, aucun qui ne résulte d'un

minorité, régent ne gouverne pas en son nom propre, on considère que le roi agit : pas d’interrègne. D’où adage : « ROI NE MEURT POINT EN FRANCE ». Théorie des deux corps du roi, corps mystique ne fait que changer de titulaire. D’où 1498 lors des funérailles du roi on s’exclame « LE ROI EST MORT VIVE LE ROI ». Existence entité abstraite distincte des rois successifs. I. La loi de catholicité Roi de France doit être obligatoirement catholique. Pb 1584, guerre des religions, H III pas de

Auxquels ses amis sont en proie, La foule, en tressaillant de joie, D’un prince citoyen saluait les couleurs... Et si jamais un censeur trop sévère Disait à l’un de vous : Les peuples sont ingrats, Répondez-lui soudain, vous n’assistiez donc pas Aux funérailles de mon père. Mais, de sa main consacrant le cercueil, Déjà le prêtre a versé l’eau lustrale ; Le cortège reprend sa marche triomphale, Et du champ de la mort bientôt touche le seuil. C’est là qu’on croit reprendre encore LES ANNÉES DE JEUNESSE

métamorphoses du Witz* autrichien Samuel Wilder est né le 22 juin 1906 à Sucha en Galicie, province polonaise de l’Autriche-Hongrie. Ses parents, qui possèdent une chaîne de restaurants de chemin de fer, déménagent à Vienne, où Wilder assiste en 1916 aux funérailles de l’empereur François-Joseph, « un magnifique spectacle, que j’aurais adoré diriger »1. Il se souviendra de ce contraste entre misère environnante et pompe impériale dans ses scénarios. Pour l’heure, il devient journaliste et s’installe en 1926

moi, mais pour des millions et des millions dans ce pays. » Selon sa volonté, la plupart de ses cendres furent dispersées dans plusieurs grands fleuves du monde tels que le Nil, la Volga et la Tamise. Deux millions d’Indiens assistèrent à ses funérailles[17]. Le mémorial de Gandhi (ou Samādhi) à Rāj Ghāt à New Delhi, porte l'épitaphe (Devanagari: हे ! राम ou, Hé Rām), qui peut être traduit par « Oh Dieu ». Il est largement accepté que ce furent les derniers mots de Gandhi, bien que certains le

voletait, éperdu, montait au plafond, renversait tout, et par la fenêtre allait barboter dans le jardin ; mais revenait vite sur un des chenets, et, sautillant pour sécher ses plumes, montrait tantôt sa queue, tantôt son bec. Un matin du terrible hiver de 1837, qu'elle l'avait mis devant la cheminée, à cause du froid, elle le trouva mort, au milieu de sa cage, la tête en bas, et les ongles dans les fils de fer. Une congestion l'avait tué, sans doute. Elle crut à un empoisonnement par le persil ;

voletait, éperdu, montait au plafond, renversait tout, et par la fenêtre allait barboter dans le jardin ; mais revenait vite sur un des chenets, et, sautillant pour sécher ses plumes, montrait tantôt sa queue, tantôt son bec. 59 Un matin du terrible hiver de 1837, qu’elle l’avait mis devant la cheminée, à cause du froid, elle le trouva mort, au milieu de sa cage, la tête en bas, et les ongles dans les fils de fer. Une congestion l’avait tué, sans doute. Elle crut à un empoisonnement par le persil ;

voletait, éperdu, montait au plafond, renversait tout, et par la fenêtre allait barboter dans le jardin ; mais revenait vite sur un des chenets, et, sautillant pour sécher ses plumes, montrait tantôt sa queue, tantôt son bec. Un matin du terrible hiver de 1837, qu'elle l'avait mis devant la cheminée, à cause du froid, elle le trouva mort, au milieu de sa cage, la tête en bas, et les ongles dans les fils de fer. Une congestion l'avait tué, sans doute. Elle crut à un empoisonnement par le persil ;

souffrent des douleurs lamentables ; et l'on voit, l'un après l'autre, tels que des oiseaux rapides, avec plus d'ardeur que le feu indompté, tous les hommes se ruer vers le rivage du dieu occidental ! Antistrophe II. La ville est épuisée par les funérailles sans nombre ; la multitude non pleurée et qui donne la mort gît sur la terre ; et les jeunes mariées et les mères aux cheveux blancs, prosternées çà et là sur les marches de chaque autel, demandent par des hurlements et des gémissements la fin de

190 *210 *212 *216 218 *222 *224 *228 *232 234 185 188 8 8 236 *238 Chanson (n, a = avec traduction) À l'ombre du coeur de ma mie (1958) Le pornographe (1958) La femme d'Hector (1958) Le cocu (1958) Bonhomme (1958)n Comme une soeur (1958) Les funérailles d’antan (1960) Le Père Noël et la petite fille (1960)n Le bistrot (1960) Embrasse-les tous (1960) Le verger du roi Louis (Théodore de Banville) (1960)a Pénélope (1960)n L’orage (1960) Le mécréant (1960) Le temps passé (1961)n La fille à cent sous