Fusion Entreprise Système D Information

Marion ADOH TD de Management Interculturel Laurence CHAUTANT Groupe 400 Emilie HYVERT Séance 9 Stephen HEMBRECHTS Année universitaire 2004-2005 Gestion et Valorisation des différences culturelles dans le cas de fusions acquisitions Master MBA 1, semestre 7, IAE, Université Jean Moulin Lyon3 INTRODUCTION L’économie mondiale connaît depuis quelques années un bouleversement à la fois technique – avec le développement des nouvelles technologies de l’information

ordinaire (CTO) ou un Plan d’Epargne en Action (PEA).   ­  Les  clubs  d’investissements  sont  composés  de  plusieurs  particuliers.  Un   club   d’investisse­ment  permet   de  mettre en commun la gestion d’une épargne pour investir sur les marchés financiers.   2­Les entreprises : Les  entreprises  interviennent  généralement  en  Bourse  pour  des  raisons  stratégiques  et  aussi  pour  faire fructifier  leur  trésorerie.  Elles  constituent  un  portefeuille  d’actions  pour   être  présentes  dans  certains  secteurs.   Leur

1. La liquidité NYSE: marché hybride La technologie L'information Axe II :NYSE :intervenants et fonctionnement : Les acteurs du NYSE Les indices du NYSE Procédures d'exécution des ordres Axe III : la fusion NYSE-EURONEXT I. Présentation d’Euronext II. La fusion NYSE-Euronext et ses résultats Conclusion Introduction : Le marché américain est composé de plusieurs places financières (NYSE, NASDAQ, AMEX ...). Chacune de ces places a une spécificité propre et accueille des

solution à la désindustrialisation en France?    I ­ La croissance interne  1. Principe  2. Intérêts et limites  3. La Bonneterie d’Armor, optez pour une qualité reconnue!    II ­ La croissance externe   1. Les fusions, l’exemple de NRG  2. Les acquisitions, l’exemple de Dassault Systèmes  3. Intérêts et limites     III ­ La croissance conjointe   1. Les alliances  2. Les partenariats  3. Renault­Nissan, une alliance réussie  4. ONA­Alcatel, un partenariat avorté                                 

financement d’un projet ou le financement d’un risque grâce à un gérant qui réalise l’opération pour le compte de plusieurs personnes désirant demeurer dans l’anonyme. La société en participation est idéale pour la coopération interne entre les entreprises au même type que la SAS. Elle est utilisée pour la réalisation de gros travaux d’important (travaux de construction), pour la fourniture d’usine créée en mains, pour la coproduction cinéma autographique, pour le lancement d’une vedette ou encore

le système de financement de l'économie française, et sous la pression de la concurrence internationale, la France s'achemine lentement vers un modèle d'économie de marchés de capitaux. D'une économie de crédit (ou d'endettement), on est passé à une économie de marchés de capitaux. Cette transformation a des effets sur le rôle des banques, et, plus généralement, sur l'intermédiation financière I) Evolution du marché financier français depuis 2 décennies Aujourd’hui, les entreprises se financent

un partenariat local, le partage de risques avec un concurrent national du même secteur, ou les partenariats durables dans les domaines de la sous-traitance, de la fourniture, des prestations de services. Une entreprise qui fonctionne systématiquement en organisant des partenariats est une entreprise en réseau. Ce type de fonctionnement d'entreprise tend à se développer du fait de la diversification et de la spécialisation croissante des domaines de compétence et de la mondialisation des marchés. Partenariat

2011/2012 1 neila.benlakhal@gmail.com Un processus métier?? Un processus métier (Business Process) décrit les principales procédures au sein d'une entreprise sous forme d'un ensemble d'activités organisées dans le temps produisant un résultat précis et mesurable. Un processus métier fait intervenir de nombreuses personnes et de grandes quantités de ressources. 2011/2012 neila.benlakhal@gmail.com 2 Processus métier vs Workflow Beaucoup de facteurs font que les processus métier

financière 7 Chapitre II : Les facteurs clés de succès et l’information transmise 8 Section I : Les facteurs clés de succès de la communication financière 8 A. La volonté du dirigeant 8 B. L’efficacité de l’organisation 8 C. La qualité des systèmes d’information 10 D. La maîtrise et le respect des obligations légales 10 E. L’anticipation des évolutions de la communication financière 11 Section II : Types et caractéristiques de l’information transmise 12 A. Les types d’information 12

créatrice de valeur (source d’avantages concurrentiels : industriel et/ou commercial) toutes activités créatrices de valeur et source de valeur * Identification de l’avantage concurrentiel : le benchmarking (comparaison avec les meilleurs, les entreprises les plus performantes). Les stratégies de référence * Deux situations : Stratégies globales et stratégies sectorielles : * Stratégies sectorielles (au sein d’une branche) : * Les trois stratégies de base : * La