Galanterie

la société incivile, S. ROCHE (1996) | Incivilité Ce que l'on appelle " incivilités " ce sont les ruptures de l’ordre dans la vie de tous les jours, ce que les acteurs ordinaires considèrent comme la loi et non pas ce que les institutions qualifient d’ordre ( les infractions). Quelque unes de leurs incarnations sont : les dégradations de boîtes aux lettres, les odeurs d’urine dans les cages d’escalier, les bruits, les vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés

I. Définir et distinguer l’incivilité et la délinquance : 1. Après avoir donné une définition de l’incivilité et de la délinquance à partir de ces deux textes vous direz pourquoi aujourd’hui, il est difficile de bien les distinguer • Définition du mot incivilité : Si autrefois le terme incivilité désignait un comportement qui ne respectait pas une partie ou l'ensemble des règles de vie en communauté telles que le respect d'autrui, la politesse ou la courtoisie comme par exemple le fait

Les incivilités et la citoyenneté dans les écoles. Problématique:En quoi les incivilités freinent-elles la citoyenneté des élèves Introduction : Des plus légères insultes,Propos injurieux sans volonté de blesser aux plus terribles (viols, meurtres... ), les unes cherchant parfois leur justification dans les autres, ces violences sont toutes profondément enracinées dans les consciences et imprègnent fortement la culture du XXIe siècle. Cette violence s'est propagée dans les établissements

Synthèse sur la politesse Durant ces quelques semaines, mes camarades et moi avons travaillé sur la politesse, avec ses règles, ses origines et la notion de civilité. Plan : Sondage Citations Mots et formules de politesse Origines Transmission de la politesse Civilité, incivilité Conclusion : (détaillée) La politesse est un ensemble de règles de savoir-vivre qui nous ont été transmises par notre éducation. Elle facilite les rapports sociaux entre les personnes, chacun d’entre nous

de l’oisiveté (cf Pascal / ennui = angoisse) accumulation de verbes (l.6) + présence d’un chiasme (l.4) présence de l’adverbe « toujours » (l.7) = agitation perpétuelle dès la l.1, on note l’association de deux termes « ambition « et « galanterie » units l’un à l’autre par la conjonction de coordination « et » = séduction devient moyen pour satisfaire un but. « L’ambition » (cf chiasme l.4) La cour = lieu de conflits, intrigues et complots qui animent cette société (cf l.3 et 8) qui est

chamarré en triangle, avec des perles, et des diamants, et la robe de velours blanc bordé d’or ». III) LA GALANTERIE ET LES MŒURS DE L’EPOQUE * La galanterie mondaine La galanterie est indissociable de l’activité littéraire. Au XVIIe s. le mot « galanterie » a d’un part le sens d’ « aventure amoureuse », mais peut aussi désigner une notion au contenu très intellectuel. La galanterie est d’abord une valeur de courtisant, puis elle s’étend à l’aristocratie de la ville, qui fait profession d’honnêteté

passion destructrice et l’impossible amour pur (mm si Mr de Clèves s’en approche le plus). · Une « symphonie de l’amour » : 1) « La magnificence et la galanterie » (incipit du roman) : associe raffinement des manières à la splendeur des fêtes et des costumes. Degré de « politesse », de « galanterie ».2) 1er attribut conférés au roi : « Ce prince était galant, bien fait et amoureux » (I)3) Presque tous perso du roman sont amoureux ou courtisés, et les 4 récits intercalés content

grande importance au duc de Nemours: son physique, son caractère, sa galanterie, sa vie sentimentale et son éducation. Il présente le cadre et les types de personnages qui apparaissent dans ce roman. Problématique: Quelle vision du personnage de roman Mme de La Fayette donne-t-elle ? Impression générale: -classe sociale très élevée → l'aristocratie -description élogieuse et hyperbolique -introduction du thème de la galanterie I Organisation des portraits Successions de portraits

Commentaire Anne de Boulen (La Princesse de Clèves)« Au retour de France, le cardinal de Wolsey fut reçu avec des honneurs pareils à ceux que l’on rendait au roi même ; jamais favori n’a porté l’orgueil et la vanité à un si haut point. Il ménagea une entrevue entre les deux rois, qui se fit à Boulogne. François Ier donna la main à Henri VIII, qui ne la voulait point recevoir : ils se traitèrent tour à tour avec une magnificence extraordinaire, et se donnèrent des habits pareils à ceux qu’ils avaient

moment du récit et pas avant, car il correspond à l’arrivée de Mlle de Chartres et de sa mère à la cour, dont la vertu n’est pas vraiment la principale qualité, comme le montre par exemple les premières lignes du texte… : « La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les dernières années du règne de Henri second. » (Page 9, lignes 1 à 3, édition folioplus). Le thème n’évolue pas de manière significative le long du récit, puisque dès l’arrivée de la princesse