Galanterie

Il lui explique comment il a découvert cette galanterie à la dérobée quand il entendit madame de Tournon révéler une « brouillerie » secrète entre le roi et sa maîtresse : il comprit alors la dissimulation de Sancerre qui avait dévoilé à sa propre maîtresse ce secret (pourtant confié à lui seul). 6)

entre le roi et la Duchesse de Valentinois. Puis, nous aborderons la position inconfortable de la Reine vis-à-vis de cette relation pour enfin finir avec l’association de la beauté et la galanterie.Tout d’abord, les deux termes « magnificence » et « galanterie » qui ouvrent le passage sont très mélioratifs. Ces deux termes sont suivis d’une négation partielle « n’ont jamais paru» et par le complément de manière introduite par une hyperbole « avec tant d’éclat que dans les derniers années». Dès

son père, il est distinguer dans la guerre ce qui est vénérer dans cette époque et est sûrement cause de beaucoup de valeur et actions héroïque. Le narrateur ne s’arrête pas la mais en plus il affirme que c'est un personnage distinguer dans la galanterie, une qualité qui attire les femmes, mais non seulement galant mais aussi beau « beau, de bonne mine »(l 9-10 ) ce qui lui facilite la tâche de séduire les femmes puis qu'il sait déjà comment les traités. Étant distinguer dans la guerres il est bien

bon ménage avec le pouvoir et l'argent. On observera que l'expression ''jurer comme un charretier'' infirme ce propos. » b) Selon le sexe « La galanterie, un concept dépassé? Dépassée, la galanterie!, affirmait Chanel Boucher, participante à une joute oratoire de la société Parlotte de l'Université de Montréal sur l'anachronisme de la galanterie. Certains orateurs, dont Mme Boucher, reprochaient à cet ''empressement inspiré par le désir de conquérir une femme '' d'entretenir les attitudes sexistes

recevoir moult moqueries de ses paires, de rester « digne » et garder une bonne estime de soi. De plus, il dénonce la galanterie comme moyen de domination ! Ce qui à mes yeux semble tiré par les cheveux malgré les explications vues en cours. D’un côté nous pouvons voir la galanterie comme un moyen de domination indirecte pour les femmes, car un homme qui ne répond pas à l’exigence de galanterie se verra encore une fois rejeter par ces paires. Pour finir, je pense que le pouvoir « de se donner » la place

cette perfection sera éternelle car elle n’a pas de critère précis. La galanterie est une qualité très forte, qui rend le duc un modèle, un idéal. Cela suppose beaucoup de raffinement de la part de l’homme. En littérature, la femme est plus élevée que l’homme, socialement et moralement, et l’homme aura donc de l’estime pour celle qu’il aime, il devra accomplir des exploits pour la mériter et montrer sa valeur. Cette galanterie est donc une marque de respect de l’homme pour la femme, et est héritée

estime, mon père, voulez-vous que nous fassions du procédé irrégulier de ces gens-là ?

Cathos
Le moyen, mon oncle, qu'une fille un peu raisonnable se pût accommoder de leur personne ?

Gorgibus
Et qu'y trouvez-vous à redire ?

Magdelon
La belle galanterie que la leur ! Quoi ? débuter d'abord par le
mariage !

Gorgibus
Et par où veux-tu donc qu'ils débutent ? par le concubinage ? N'est-ce pas un procédé dont vous avez sujet de vous louer toutes deux aussi bien que moi ? Est-il rien de plus obligeant

des animaux] des animaux qui se conduit comme des hommes = mise en scène d’une rivalité amoureuse * Utilisation du vocabulaire galant [XVII SIECLE, galanterie très en vogue dans ls cercles mondains et chez les gens de la cour]=> Séduire : Ici, 2coqs se disputent pour une poule. LF joue aux code littéraires et sociaux de la galanterie : Champ lexical : « cet objet »(v15)=> la poule aimée + « rival » (13) + « ses amours » (12-13) pluriel d’insistance + anadiplose = répétition du dernier

" il se lève ") et s'exprime au style direct. C'est un enthousiaste qui aime communiquer, il rit, il apostrophe Angèle (" Oh ! vois ", " Vois-tu ? "). Il se montre avec Angèle d'une " galanterie inusitée ". On trouve dans cet extrait un vocabulaire de la sensualité. Saccard aime le plaisir, le vin, la galanterie, les femmes (" tendre ", " amoureusement ", " égaya " -> connotation à la gaillardise). Cependant, il est ingénu et aime le merveilleux des contes de fées. Il voit Paris comme une ville

pour la plupart lors des mariages princiers. Parait alors à la Cour une jeune demoiselle de seize ans d’une exceptionnelle beauté, Mlle de Chartres. Elle a été élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale et avertie des dangers de la galanterie. En visite chez un joaillier, la jeune fille éblouit par sa beauté le prince de Clèves, qui tombe amoureux d’elle au premier regard. À cause des intrigues de la Cour, plusieurs projets de mariage concernant Mlle de Chartres échouent. Le père du