Gaston Bachelard

tel que M. Collot, sont ports sur lexamen gographique des uvres. La caractristique principale du travail de Collot rside dans le fait quil se rclame de la thmatique et sinscrit volontiers dans la ligne des critiques de Jean-Pierre Richard et Gaston Bachelard, mais il faut plutt lenvisager dans une perspective o la gopotique simpose en affirmant de plus en plus les liens qui unissent le sujet et son paysage. Dans la vision de Collot la description du paysage donne sa place la description dune image

recherche de compromis peuvent aboutir au dénouement d’une dispute entre proches. Si le langage crée des obstacles entre les hommes, c’est par le langage lui-même que les hommes les franchissent dans le cadre du dialogue. Selon l’analyse de Gaston Bachelard (philosophe français des sciences et de la poésie du XXème siècle) portant sur l’obstacle épistémologique, un obstacle est fait pour être surmonté. Il est vrai que nous recourons sans cesse au langage car il nous permet de communiquer. Mais

épistémologiques à la réception de la vérité scientifique. Certains esprits restent enfermés dans leur préjugé en dépit de toutes les démonstrations des sciences, ce qui manifeste la part d'irrationalité dont nous sommes tous porteurs. C'est ainsi que Gaston Bachelard considère dans La formation de l'esprit scientifique que des freins internes à l'esprit, inhérents à l'acte de connaître, sont causes de la stagnation ou même de régression de la connaissance. C'est donc toujours en surmontant ce qui dans l'esprit

Société romande de philosophie, groupe genevois Didier Souiller, L'image platonicienne de la caverne dans la littérature baroque européenne, Cahiers Figures - Image, symbole et mythe, no 1 « Décadence et Apocalypse », Dijon, EUD, 1986 - Centre Gaston Bachelard, Université de Bourgogne, Fr. (format PDF). The Postmodern Attack on Plato, par F. L. Jackson (Animus. A Philosophical Journal for Our Time, vol. 4, 1999). The Treatment of Poetry in the Symposium of Plato, par Paul Epstein (Animus. A Philosophical

est jaillissement. Il faut considérer le temps à partir de notre participation intime au monde : le temps naît d’un rapport, d’un échange entre le sujet et les choses. Ce rapport est « un champ de présence » inachevé, ouvert, constituant. Gaston Bachelard, épistémologue (1940) : le temps est fait de ruptures, de discontinuités : dans son devenir, il ne cesse de produire des différences Paul Ricoeur : pour lui, « le temps devient temps humain quand il est articulé sur un mode narratif ». Idée

ressemblance (perceptions différents pour tous). Ressemblances entre visages # universelle. Analogie entre 2/6 et 4/12 ne dépend pas de la subjectivité. Imagination n'est pas forcément contraire à la rationalité, mais peut la stimuler. Gaston Bachelard : “Formation de l'esprit scientifique” : si il arrivait à la science de légitimer l'opinion, c'est pour d'autres raisons que celles qui la fondent. Notre expérience peut être parfois confirmé par une théorie scientifique (phénomènes du mémé genre

l’expérience. Autrement dit, les empiristes veulent combler le manque de réalité de la théorie avec l’apport de l’expérience. Ceci a été facilité par l’apparition des sciences expérimentales modernes qui sont favorables à l’empirisme comme le dit Gaston Bachelard dans Le nouvel esprit scientifique : « l’observation scientifique est toujours une observation polémique, elle confirme ou infirme une thèse antérieure ». L’observation a donc pour but de vérifier qu’une théorie est vraie, qu’elle est vérifiable

infectieuses, telles que variole, diphtérie, typhoïde, tuberculose, septicémies, syphilis, qui faisaient des ravages au siècle dernier. Tout semble résider dans la manière d'utiliser la science : des précautions sont nécessaires, comme l'indiquait Gaston Bachelard. La meilleure civilisation serait celle qui pourrait cumuler les avantages de la science et de la technique occidentale, qui disposerait de tous les moyens que l'on possède, qui saurait soigner, connaître, comprendre, découvrir, éviter les catastrophes

sujet se crée une personnalité nouvelle. Il s’agit là d’une transfiguration de soi, d’un dévoilement de notre être profond. Avec la conscience de la mort, l’homme anticipe à chaque fois son être futur ; un être qui pouvait aussi ne pas être. Gaston Bachelard : « La mort est d’abord une image, elle reste une image. Elle est peut-être consciente que si elle s’exprime, et elle ne peut s’exprimer que par des métaphores. » En effet, la mort s’oppose à l’existence, mais c’est le temps qui les réunit.

s'élever au-dessus de sa condition. (Voir le mythe d'Icare… Ou comment un homme, par un moyen non naturel, parvient à voler et à s'approcher du soleil, jusqu'à faire fondre la cire qui attachait ses ailes…) Sous le nom de « complexe de Prométhée », Gaston Bachelard (La psychanalyse du feu) définit « toutes les tendances qui nous poussent à savoir autant que nos pères, plus que nos pères, autant que nos maîtres, plus que nos maîtres ». Selon ses termes, « le complexe de Prométhée est le complexe d'Œdipe