Gene Kelly

Thème génétique Nous avons vu en classe que l'exposition au soleil peut engendrer une accumulation de mélanine dans notre peau. Mais nous savons également qu'une exposition excessive peut engendrer un cancer de la peau. Celui-ci est dû à une accumulation de mutations sous l'effet des rayons du soleil. Quel phénomène moléculaire est dû à l'apparition de tumeurs dans notre organisme ? I-Comment l’exposition aux UV favorise-t-elle les cancers de la peau ? Il existe trois types différents

nt e m e u q i t é n é g G e O m s i n a g r O é f i d o m M Présenté par Rakissida & Nathalie 2014-2015 M G O Organisme génétiquement modifé Sommaire Introduction Défnition Procédé Répartitions dans le monde Principaux cultures Pays cultivant des OGM Rakissida & Nathalie 2 M G O Organisme génétiquement modifé Sommaire Evolution de superfcies de cultures Législation en Belgique Enjeux Intérêts Inconvénients Conclusion Rakissida & Nathalie 3 M G O Organisme génétiquement modifé Introductio

3 % des malades)  est une maladie  dominant s’appliquant aux 3 gènes connus puisque le gène PSEN1 est situé sur le chromosome 14, le gène  PSEN2 est situé sur le chromosome 1 et le gène APP est situé sur le chromosome 21 Le gène muté est  dominant. D'après des statistiques , la maladie est transmis à 50% de la descendance du malade,  ­Maladie à prédisposition génétique (comme par exemples l'asthme, l'hypertension etc...) touche 99.7 % des  malades. Le gène sur le chromosome 19, qui code une protéine L'apolipoprotéine E (apoE)  du métabolisme 

héréditaires. L'ADN (Acide Désoxyribo Nucléique) est le principal constituant des chromosomes. Il est possible de transférer un gène d'un organisme donneur à un organisme receveur : c'est la transgénèse. Le caractère héréditaire déterminé par le gène de l’organisme donneur se réalise chez le receveur, même si celui-ci n'appartient pas à la même Mots clés : ADN, gène, espèce que le donneur. L'information génétique portée par la molécule transgénèse, organisme d'ADN est donc écrite dans un langage

Histoire de l’eugénisme Il y a 187 ans jour pour jour naissait le père de l’eugénisme, Francis Galton. Pour ce savant anglais, cousin de Charles Darwin, « si l’on mariait les hommes de talent à des femmes de talent […] on pourrait, génération après génération, produire une race humaine supérieure ». Nous sommes en 1865, et c’est la première fois que Galton s’exprime sur la question. Plus tard, il définit l’eugénisme comme la « science de l’amélioration des lignées [humaines]

avoir hérité de deux gènes défectueux, un de chaque parent; les frères et sœurs d'une personne atteinte présentent un risque de 25 pour cent de contracter cette maladie. Les enfants sont moins susceptibles puisque l'autre parent doit être porteur d'un gène de l'hémochromatose. Les symptômes Fatigue Complication du diabète : surpoids, difficultés a cicatrisé, troubles de la rétine et des reins, etc Complications cardiaques : essoufflement, palpitations, couleur bleue des doigts et des orteils, etc

il faut d’abord trouver un gène qui apportera les propriétés souhaitées à un organisme choisi. Une fois ce gène identifié, il faut réussir à l’intégrer dans les cellules de l'organisme que l’on veut modifier. Il existe deux méthodes pour fabriquer des OGM : le transfert direct et le transfert indirect. Le transfert direct est l'introduction du gène directement, c'est-à-dire mécaniquement, dans l'ADN de l'organisme final. Le transfert indirect est l'introduction du gène dans un organisme par l'intermédiaire

partie). a. Déduire la valeur de « p ». b. Déduire les génotypes des parents. 3) Faire une interprétation génotypique du croisement afin de retrouver ces résultats. Troisième partie : Sachant que lors de la gamétogenèse, les allèles d’un même gène se séparent lors de l’anaphase II de la méiose. 1) a. Définir la méiose. Donner deux conséquences majeures. b. En quoi diffère l’anaphase I de l’anaphase II ? c. Déduire alors la différence fondamentale entre la division réductionnelle et la

dans le cas de vrais jumeaux le risque est de 30 à 50%. La génétique jouerait donc clairement un rôle dans le développement de la maladie : l’enfant d’un individu malade à plus de risque d’avoir la maladie. On sait aujourd’hui qu’il n’y a pas de « gène de la schizophrénie » mais que c’est l’altération ou l’interaction de plusieurs gènes qui serait responsable de ce développement. Fontaine Mélanie Aigrot Léopold Bellucci Jérôme Etude et comparaison de la schizophrénie et de l’Alzheimer Lycée

indicateurs mais très peu de certitudes. Il faut aller plus loin et pousser la recherche à l’échelle du gène. Et pour se rendre à ce niveau micro, il faut avoir accès à des bassins de population qui accepteraient de donner des échantillons de sang et un certain nombre de renseignements sur leur santé et leurs habitudes de vie. Ces données permettraient alors de distinguer ce qui correspond à l’expression du gène et ce qui est plutôt l’expression de l’environnement. Actuellement d’ailleurs, on met tellement