Gène

Chromosomes: Support de l'ADN : un chromosome simple = 1 molécules d'ADN, et un chromosome double : 2 molécules d'ADN Gène : Un gène est une portion d'ADN, c'est un emplacement très précis sur le chromosome, le gène code pour la protéine. Allèle : Les allèles sont les différentes version d'un gène, ce sont donc des séquences des nucléotides qui correspondent à l'emplacement du gène. Un gène est monoallélique quand il n'a qu'une seule allèle différente ; on dit au contraire qu'il est polymorphe s'il possède

maternelle. Pour chaque gène, chaque individu reçoit donc deux allèles, l’un d’origine maternelle et l’autre d’origine paternelle. Du génotype au phénotype : Le génotype est l’ensemble des allèles des gènes d’un individu. Le phénotype est l’ensemble des caractères observable de l’individu. Le génotype participe donc à la construction du phénotype. Un gène est une unité d’information génétique dirigeant l’expression d’un caractère. Un allèle est une version d’un gène : un fragment d’ADN localisé

concerne les maladies rares d'origine génétique, les tentatives sont encore très rares. Comment faire ? IL faut prélevés des cellules souche dans la moellese du malade et y introduire le bon gène grâce à un virus rendu inoffensif ou à une boule de graisse. Réinjecté au patient le bon gène remplacera le mauvais a vie. Cette solution remplace la greffe de moelle oseuse qui était plutôt limiter car il n y a pas assez de donneur et l’opération était dangereuse et coûteuse. Mais

tritanormal. b) Les origines génétiques du daltonisme : A l’origine, un seul gène codait pour les pigments rouges, verts, et bleus. Puis à la suite d’une duplication, on aboutit à la présence de trois gènes différents qui codent pour trois protéines différentes et donc pour trois pigments différents : le rouge, le vert et le bleu. Les gènes codant les pigments rouge et vert se situent tous les deux sur le chromosome X. Le gène codant le pigment sensible au bleu se trouve sur le chromosome numéro 7.

cellulaire: si la cellule le franchit, elle poursuit le cycle et s’engage vers une division. Sinon, elle reste en phase G1. Quand le génome est endommagé par des lésions, la protéine p53 induit la transcription du gène p21 qui empêche la cellule de franchir le point de contrôle, et celle du gène p53R2, qui code une protéine de réparation de l’ADN. Si les lésions ne sont pas réparées, p53 induit la mort cellulaire. Document C: Fréquence de quelques anomalies génétiques observées dans l’une des formes

responsabilité du gène Forkhead-boxe P2 (FOXP2) dans l'incohérence des mouvement puis dans un second temps nous verrons le fonctionnement de la maladie dans le corps. Point de vue l’étymologie:   Dys est un préfixe qui vient du Grec et qui exprime l’idée de difficulté,  de manque  Praxie est un mot grec qui signifie action, mouvement. Ce mot signifie  aussi  l’adaptation du mouvement au but recherché. I- La responsabilité du gène Forkhead-box P2 dans l'incohérence des mouvements. Le gène FOXP2 a été découvert

de de la tumeur est de 0,4 cm cube, après la réactivation du gène P53 après 12 jours le volume de la tumeur est de 0,1 cm cube, au 18ème jour le volume est à peu près de 0,003 et au 28ème jour, la tumeur a disparue. On peut donc en déduire que le gène P53 détruit la tumeur. Dans le document 2 on peut constater qu'en phase G1 il y a un point de contrôle si la cellule est en bon état elle continue le cycle, si elle ne l'est pas le gène P53 essaye de la réparer, si elle n'est pas réparable la cellule

technique d’électrophorèse sur gel d’agarose. Cette technique permettra la séparation des différents fragments obtenus par digestion, en fonction de leurs charges (application d’un champ électrique) mais surtout en fonction de leurs tailles (agarose).Le gène wzc est ainsi purifié. III. Résultats et Interprétations : A. Extraction du plasmide : Pour extraire les plasmides des bactéries on utilise 3 solutions : - Solution I, permet l’hydrolyse des muropeptides de la membrane bactérienne (lysozyme)

niveau de leur rétine, l'opsine sensible au bleu, codée par le gène B. On peut comparer les séquences des gènes qui codent pour les différents photorécepteurs et calculer leur taux de ressemblance, pour établir les liens de parenté entre différents animaux. Le gène B est très semblable chez l'homme et chez différentes espèces de singes comme le chimpanzé ou le macaque, ce qui démontre une étroite parenté entre l'homme et les primates. Le gène de l'opsine sensible au rouge, qu'on retrouve chez les primates

allélique se manifeste au sein de l'espèce par une hétérozygotie à de nombreux locus Dans une espèce donnée : pour 1 gène donné, il existe plusieurs allèles. La majorité des gènes sont polyalléliques. Un tiers des gènes sont polymorphes. A. Cas des espèces haplontes = espèces dont les individus sont haploïdes (ont un cycle haplo-diplophasique à haplophase dominante), Chaque gène est présent en seul exemplaire, il y a 1 seul allèle. Donc le phénotype renseigne directement sur le génotype (étude