Généalogie de la morale

Liens internes : L’homme est un mouton pour l’homme Avoir une identité, est-ce s'identifier ? La morale aujourd’hui Science sans conscience Apprendre à penser Je ne sais pas d'avance, mais j'avance L'intelligence Peut-on se passer de maître ? Dieu contre Darwin La foi Le confort intellectuel Peut-on se juger soi-même ? La responsabilité BIBLIOGRAPHIE • NIETZSCHE : Généalogie de la morale (montre qu’historiquement ce sont les maîtres qui définissent le Bien et la Vérité) • Génie LABORDE

n'est qu'en troisième, après avoir rejoint le collège de Beauvais pour étudier le droit, qu'il se fait remarquer par sa passion pour la lecture des grands poètes de l'Antiquité. Boileau aidé de sa famille a probablement forgé de toute pièce une généalogie qui lui accordait un titre de noblesse et qu'il faisait remonter jusqu'au xive siècle, à Jean Boileau, un notaire royal anobli par le Charles V. Nicolas Boileau revendiquait un blason dont les armes étaient « de gueules à un chevron d'argent accompagné

permettent cela. Et il définit l'être humain comme posé dans le monde, déjà terminé. Mais il ne nous indique pas l'origine de la conscience. Si celle-ci est décrite à travers un cheminement intellectuel, Descartes n'en présente pas pour autant la généalogie. La conscience est-elle si naturelle, si présente chez l'homme? C'est cette problématique qui va motiver l'extrait du texte de Nietzsche. L'auteur va procéder à une analyse critique de toute philosophie du sujet, pour retrouver l'être qui aura

un jugement, donner une opinion, estimer, évaluer, critiquer en faisant abstraction de tout jugement de valeur (de l’ordre du subjectif, id est, du sujet), la qualité ou la signification d’une chose abstraite (ici la culture) en évaluant le contenu moral, éthique ou spirituel de celle-ci. Lorsqu’un individu acquiert une certaine culture, il intériorise un certain nombre d’acquis matériels, spirituels, techniques, savoir-faire, habitudes, règles, valeurs ou encore représentations (phénomène d’acculturation)

nous demeurons le même, mêmes si un chgt nous affecte. Est-il pour autant évident que je sois le même maigres l diversité des changements qui se produisent en moi ? (je me sens différent en fonction de mon âge ms n avons pas l même identité sociale morale) Y a-t-il un « moi » qui puisse assurer la cohérence des différences de ttes ses dimensions ? B/ HUME : * pb de l’id personnelle Hume estime que tt H possède l’impression d’une continuité du moi. Il estime pourtant qu’il y a un fossé entre

permettent cela. Et il définit l'être humain comme posé dans le monde, déjà terminé. Mais il ne nous indique pas l'origine de la conscience. Si celle-ci est décrite à travers un cheminement intellectuel, Descartes n'en présente pas pour autant la généalogie. La conscience est-elle si naturelle, si présente chez l'homme? C'est cette problématique qui va motiver l'extrait du texte de Nietzsche. L'auteur va procéder à une analyse critique de toute philosophie du sujet, pour retrouver l'être qui aura dû

la fertilité, du théâtre et plus particulièrement de la tragédie dont on lui attribué l'origine. La tragédie serait entre autre née des dithyrambes, des hymnes ou chants à la gloire de Dionysos. De plus on retrouve le nom cette divinité dans la généalogie des Labdacides, c’est le fils de Zeus et d’une mortelle Sémélé, la fille du fondateur de Thèbes, Cadmos (Dionysos naîtra de la cuisse de Zeus). Lors de la procession dinoysique, les satyres (demi-dieu champêtre à jambes de boucs) dont le vieux Silène

l'enthousiasme de la vie et sa morale une critique des idées chrétiennes de pitié et de résignation. Pour Nietzsche, la "morale d'esclaves" chrétienne place l'homme dans un état d'infériorité, et en fait une vertu ; cette morale doit céder sa place à la "morale des maîtres" (Par delà le bien et le mal, 1886). En déclarant "Dieu est mort" dans "Ainsi parlait Zarathoustra" (1883), Nietzsche considère la religion comme un alibi devant la faiblesse humaine et le malheur. Il fustige la morale ascétique des Eglises

Impossible, pour les philosophes contemporains d’accorder un quelconque crédit à la conscience comme moyen d’accès à la connaissance de soi. Nietzsche, par exemple, dans la Généalogie de la morale, montre que la conscience morale (ce que l’on appelle la voix de la conscience) est en réalité l’expression d’intérêts qui n’ont rien de moral. Marx, également, dans l’Idéologie Allemande, affirme que les sentiments, et les idées des hommes par leur position dans la société, viennent directement déterminer ce

fille.- La défiance vis-à-vis des galanteries. Accumulation de termes péjoratifs qui décrivent le caractère néfaste des galanteries (L.13-14)- L.18-19 : le terme bonheur apparaît.- La vertu : disposition à faire le bien et à agir conformément à la morale. Notion répétée (L.5-9-15=> Une honnête femme-17). La vertu est quelque chose d’assez rare dans l’éducation d’un enfant. La vertu conduit à la tranquillité, la sérénité, l’élévation et l’éclat. Mais il est très difficile de la conserver : fragilité