Gertrude Stein

mouvement Dada qui préfigure le surréalisme européen, Man Raydevient un artiste incontournable. À Montparnasse, durant trente ans, Man Rayrévolutionne l'art photographique. Les grands artistesde son temps posent sousson objectif, comme James Joyce, Gertrude Stein ou Jean Cocteau.« Les mains libres » : dessin-titrePlus qu’un poème de la partie I, « Les mains libres » est surtout letitre durecueil, illustré par un dessin de Man Ray que l’on peut voir juste à gauche. On peut d'emblée justifier le titre des

marqueront durablement une génération de soldats mobilisés et élevés dans une véritable culture de guerre sur fond de patriotisme. Dans son roman « Paris est une fête », le grand écrivain américain Ernest Hemingway (reprenant une citation de Gertrude Stein) exprime cette idée lorsqu'il s'adresse aux soldats de 1914-1918 : « That is what you are. That's what you all are… All of you young people who served in the war. You are a lost generation. » Cette « génération perdue » a été générée par une expérience

cela la période bleue. À partir de 1904, il s’installe définitivement en France et emménage dans un misérable atelier de Montmartre, au Bateau-Lavoir. C’est devant cet atelier que Picasso rencontre Fernande Olivier. Avec elle, il fréquente Gertrude Stein, Guillaume Apollinaire. Cette époque heureuse marque le début de sa période rose avec ses peintures de saltimbanques, aux couleurs adoucies. En 1907, Picasso travaille à la composition des Demoiselles d’Avignon. Il se rapproche de Georges Braque

connus leurs premiers succès dans les années 20 (entre les deux grandes guerres). Le terme de « génération perdue » est né de la bouche de Gertrude Stein, voulant dire que les États-Unis en ayant été grandement déstabilisé par la guerre, ont perdus leurs valeurs même. Et c'est dans ce cadre que différents écrivains ont été formés : Dos Passos, Gertrude Stein, John E. Steinbeck et bien d'autres. F. Scott FitzGérald est considéré comme le chef de file de ce mouvement. Les romans de Steinbeck décrivent

Première Guerre mondiale ; mais, de façon plus précise, le groupe d'écrivains américains parvenus à l'âge adulte pendant la guerre et qui bâtirent leur réputation littéraire au cours des années vingt. Le terme a pour origine une remarque faite par Gertrude Stein à Ernest Hemingway : « Vous êtes tous une génération perdue ». Hemingway en fit l'épigraphe de son roman Le soleil se lève aussi (The Sun also Rises, 1926). Cette génération était « perdue » en ce sens qu'elle avait hérité de valeurs qui n'étaient

l’image de sa vie personnelle aux multiples tournants, sa carrière artistique se constitue d’étapes, toutes ponctuées d’incertitudes et de crises finalement surmontées qui le conduisent à de constantes innovations. Picasso disait un jour à son amie Gertrude Stein : « quand vous faites quelque chose, faire est si compliqué qu’on ne peut pas s’empêcher de faire laid ; mais ceux qui après vous recommencent, ceux qui imitent ce que vous avez fait, eux, ils n’ont pas à chercher à faire, ils peuvent donc faire

Nom : Hemingway Prénom : Ernest Nationalité : Américain Siècle : XIX-XXème siècle Genre littéraire : Roman, nouvelle Courant littéraire : Génération perdue : Le terme a pour origine une remarque faite par Gertrude Stein à Ernest Hemingway. « Vous êtes tous une génération perdue ». Elle désigne les écrivains américains qui, dans les années 1920, ont exprimé leur désespoir né de l'épreuve de la Première Guerre mondiale (Dos Passos, Fitzgerald, Hemingway, Cummings, MacLeish), cherchant une échappatoire

Fernande Olivier. Tableau: Marie laurencin, Apollinaire et ses amis (1909) La peinture conçue comme un hommage au poète et au panthéon cubiste, représente, de gauche à droite : la collectionneuse et écrivain Gertrude Stein, la muse de Picasso, Fernande Olivier, Apollinaire trônant au centre de la composition, Picasso, la poétesse Marguerite Gillot, le poète Maurice Cremnitz, plus connu sous son nom de plume de Maurice Chevrier, et Marie Laurencin elle-même au piano

du cubisme. Avec le mouvement Protocubisme, Picasso débute ses recherches graphiques. Picasso détruit la profondeur spatiale, la perspective, et commence à faire des peintures aux formes solides, volumineuses et simplifiées. (Le Portrait de Gertrude Stein, 1906 - Autoportrait à la Palette, 1906).   C’est en 1908 que commence le cubisme analytique. Inspiré par le volume et le traitement de la forme, Picasso collectionne les œuvres primitives dans lesquelles l'idée du sujet prime sur sa réalité

la peinture, à la Sorbonne en 1924. Des expositions majeures eurent lieu à la Galerie Simon à Paris et à la Galerie Flechtheim à Berlin en 1923, et à la Galerie Flechtheim à Düsseldorf en 1925. Bien qu'il regardât Picasso comme son éducateur, Gertrude Stein reconnaît que Gris «était la seule personne que Picasso aurait volontairement éliminé de la carte».