Gertrude Stein

nous avons retenu ici pour analyser l’intime du personnage féminin, Anne Desbaresdes. Dans Moderato cantabile aussi bien que dans les textes des années soixante, Dix heures et demie du soir en été, Hiroshima mon amour, et Le ravissement de Lol V. Stein, on est devant des oeuvres marquées par le contraste, la joie, la peine amoureuse, et la perte jusqu’au désespoir. L’écrivain libère toute cette émotion dans une écriture caractéristique de cette période où les textes affichent une même tendance

document, extrait de L'Amant écrit en 1984, dans lequel une femme nous raconte comment son visage à changer en quelques années, comment celui-ci s'est dégradé et est devenu ridé, dévasté... Le troisième document, extrait du roman Le ravissement de Lol V. Stein écrit en 1964 dans lequel une jeune femme qui semble avoir perdu la raison après six mois de fiançailles pour avoir vu, lors d’un bal, son promis succomber en un instant à un irrévocable coup de foudre pour une autre. Le dernier document extrait, extrait

du Duras semblent tenter de reconstruire une mémoire détruite. Mais à la fin, le résultat est déformant et nouveau . Ainsi chez Duras le récit et la mémoire se fondent pour accéder aux nouvelles créations. India song avec Le Ravissement de Lol V. Stein, Le Vice-consul fait partie des trois œuvres qui constituent le cycle indien de Duras. Les régions narratives sont expérimentées et explorées dans cette œuvre, cette forme aide à abandonner les personnages dans une œuvre et à les retrouver dans

Marguerite Duras, Souvenirs (p. 29) « Le ravissement de Lol V. Stein » (1964) est un roman. Il appartient au Nouveau Roman dans l’œuvre de Marguerite Duras. « Souvenirs » est un extrait de ce roman de la mémoire et de l’oubli ou d’une perte de mémoire. L’auteur est née le 4 avril 1914 et morte le 3 mars 1996 à Paris. Elle était une écrivaine, dramaturge, scénariste et réalisatrice française du XXème siècle. Elle était un auteur important de la seconde moitié du XXème siècle à cause de sa diversité

tiré de Gil Blas de Santillane, d'Alain-René Lesage (1715-1735), le second est l’Assommoir d’Émile Zola (1877), le troisième quant à lui provient de L’Étranger d'Albert Camus (1942), tandis que le dernier est un passage de Le Ravissement de Lol V. Stein de Marguerite Duras (1964). Ces quatre textes sont particuliers car ils sont tous extraits des premières pages des romans. Ce sont des incipit et ils sont donc sensés donner le ton de l'histoire et mettre en place le décor. Ainsi à travers l'analyse

auteurs choisissent-ils de l’incarner ? Lectures analytiques 1 - Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782. 2 – Honoré de Balzac, Adieu, 1830. 3 – François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, 1927. 4 – Marguerite Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein, 1964. Lecture cursive au choix : Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos - Lambeaux, Charles Juliet. Lecture complémentaire : Emile Zola, « la folie spéculative », L’Argent, 1891. Histoire des arts La folle monomane du jeu, Théodore Géricault

Clèves », écrit par Madame de La Fayette (1968). Le deuxième texte est un passage du livre « Le Ravissement de Lol V. Stein » écrit par Marguerite Duras (1964). Dans ces deux textes, il y a des personnages autour desquels l’histoire va se dérouler. Dans le texte de Madame de la Fayette, ces personnages sont Mme de Clèves et M. De Nemours. Dans le texte de Marguerite Dumas, ce sont Lol V. Stein, son fiancé, Michael Richardson et Anne-Marie Stretter. Dans chacun des textes, l’un des personnages principaux

nous avons retenu ici pour analyser l’intime du personnage féminin, Anne Desbaresdes. Dans Moderato cantabile aussi bien que dans les textes des années soixante, Dix heures et demie du soir en été, Hiroshima mon amour, et Le ravissement de Lol V. Stein, on est devant des œuvres marquées par le contraste, la joie, la peine amoureuse, et la perte jusqu’au désespoir. L’écrivain libère toute cette émotion dans une écriture caractéristique de cette période où les textes affichent une même tendance à la

séjour à Schoorl en Hollande, et y peint les Trois Hollandaises (Paris, Musée national d'art moderne, dépôt au Musée Picasso). En automne, il rencontre Gertrude et Leo Stein. On commence à trouver dans ses toiles le thème de la mort. Notamment dans son tableau Arlequin dont il fait cadeau en 1919 au Museo de Arte Moderna de Barcelone. Gertrude Stein le présente à Matisse, pendant l'hiver 1906. Le galeriste Ambroise Vollard achète la plupart des toiles roses en mars. En mai, il part avec Fernande Olivier

séjour à Schoorl en Hollande, et y peint les Trois Hollandaises (Paris, Musée national d'art moderne, dépôt au Musée Picasso). En automne, il rencontre Gertrude et Leo Stein. On commence à trouver dans ses toiles le thème de la mort. Notamment dans son tableau Arlequin dont il fait cadeau en 1919 au Museo de Arte Moderna de Barcelone. Gertrude Stein le présente à Matisse, pendant l'hiver 1906. Le galeriste Ambroise Vollard achète la plupart des toiles roses en mars. En mai, il part avec Fernande Olivier