Gestion Dynamique Du Portefeuille Définition

1.3. L’actualisation et les valeurs actuelles VA = VFn 1 (1 + r )n 2. Le choix intertemporel du consommateur Revenu Consommation immédiate Droit à une consommation future (épargne) La décision de répartition s’appelle choix de portefeuille … Cette décision est fonction de l’anticipation de l’évolution du revenu et des prix 2.1. La contrainte budgétaire intertemporelle Modèle à 1 période, soit 2 dates (t = 0 , 1 ) y0 et y1 le revenu à chaque date r : le taux d’intérêt (donné ici)

Licence Economie et Gestion# L1 / S2# COURS DE POLITIQUE GENERALE D’ENTREPRISE# Jeudi 28 janvier 2010# Gilles Garel, Professeur de sciences de gestion# Gilles.Garel@univ-paris-est.fr! La politique générale de Renault dans le «!petit monospace!» ou la stratégie du " projet Twingo! Cours de PGE L1 Economie et Gestion / G. Garel # Le concept de monospace dans l’industrie automobile # Le concept de monospace dans l’industrie automobile # Cours de PGE L1 Economie et Gestion / G. Garel #

sciences humaines sont un ensemble des disciplines qui s’intéressent à l’Homme et ses comportements. - La psychologie sociale est une branche de la psychologie. - “La science est une connaissance qui a la faculté de se perfectionner” Carl Sagan - Cette définition insiste sur une dimension essentielle de l’activité scientifique : la confrontation des données et des modèles . - L’observation des sciences humaines enseigne qu’il n’existe pas une seule voie royale d’accès à la connaissance mais des approches

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE LA TECHNOLOGIE Commission Nationale Sectorielle en Sciences de Gestion CONTENUS DES COURS DES LICENCES FONDAMENTALES ET APPLIQUEES EN SCIENCES DE GESTION 24 2008/2009 25 PLANS DE COURS GESTION L1 26 COMPTABILITE FINANCIERE I Niveau : L1 Volume horaire : Cours : 42, TD : 21h OBJECTIFS L'objectif de ce cours est de permettre à l'étudiant d'acquérir les compétences suivantes: Appréhender les objectifs

quantitatives : règles sur les fonds propres, provisions, risques 15 2.4. Pilier 2 : le rôle du superviseur 16 2.5. Le pilier 3 : la communication financière 18 3. De la nécessité de maîtriser le risque opérationnel 19 3.1. Le risque opérationnel : définition et enjeux 19 3.2. Mapping des 8 lignes d'activité du risque opérationnel 20 3.3. Mapping des pertes opérationnelles 21 4. La mesure du risque opérationnel dans les activités bancaires 24 4.1. Le capital réglementaire pour le risque opérationnel

déterminer la valeur de l’option ? IX. Autres exemples d’application Conclusion Bibliographie [pic] La valeur actuelle nette est, sans aucun doute, le critère de sélection de projets d’investissement le plus prôné dans les écoles de gestion. Selon ce critère, seuls les projets, qui possèdent une VAN positive, sont acceptés. Toutefois, plusieurs praticiens et théoriciens dénoncent le fait que ce critère ignore totalement le caractère opportuniste des dirigeants d’entreprises. Il suppose

GESTION DES RISQUES CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES d'un manuel ad hoc, destiné à l'ensemble des structures de décision et de surveillance. Une banque commerciale a pour vocation traditionnelle de récolter des dépôts, à l’aide desquels elle octroie des crédits. Structures décisionnelles Elle effectue de la sorte une double transformation : de mon- L’octroi et la surveillance des crédits individuels font l’objet d’une tant par transaction et de durée. délégation de pouvoirs, strictement

SOMMAIRE INTRODUCTION I. Présentation du groupe Accor II. Le groupe Accor et les spécificités d’une firme multinationale a. Les critères de définition d’une firme multinationale III. Le groupe Accor et les spécificités managériales d’une firme multinationale a. La conjonction globale locale b. Le management interculturel INTRODUCTION  Une multinationale, aujourd’hui, peut se définir comme une entreprise de grande dimension (c'est-à-dire

12 Chapitre 1 : Le marché financier....................................................................................... 13 Section 1 : Présentation du marché financier................................................................. 13 § 1 : Définition et composante de base...................................................................... 13 § 2 : Les acteurs du marché........................................................................................13 A. Les emprunteurs ..........

RÔLE DES EFFETS DE CHANGE ET DE LA ROTATION SECTORIELLE DANS LA SÉLECTION DE PORTEFEUILLE Jean-Pierre BERDOT, Daniel GOYEAU et Jacques LÉONARD♦ R ÉSUMÉ L’objet de ce papier est d’analyser l’incidence des mutations récentes des stratégies des firmes (recentrage sur le métier de base et internationalisation) sur leur valorisation par le marché financier afin d’en déduire une logique appropriée de sélection de portefeuille. Cette logique concerne le premier niveau de l’approche top-down : elle croise