Ginger Rogers

étalage un peu grivois, on évoque par le chant et le contexte des thèmes assez lourds, comme la guerre, les difficultés sociales de la dépression ou certains fait-divers. De l’autre, chez RKO, ce sont les très nobles pas de deux de Fred Astaire et Ginger Rogers qui, subtilement liés aux moments dialogués, emportent l’adhésion. Ils font preuve d’une grâce et d’une légèreté modèle dans des décors plus sobres mais tout aussi luxueux et stylisés. Le montage ici se fait beaucoup plus discret, la caméra se

com/Histoire-Du-Cin%E9ma/Genres-Cinematographiques/La-Comedie-Musicale/LaComedie-Musicale-Au-Cinema.htm Film de cultes – La comédie musicale hollywoodienne Un dossier illustré et plutôt dense qui donne les repères (évolution et historique), les emblèmes (Ginger Roger et Fred Astaire, Judy Garland...) et les tendances du genre (adaptations, fresques émancipées, hommages et références). http://www.filmdeculte.com/dossier/comediemusicalehollywoodienne/index.php DVD Documentaire Adultes L'Atelier d'Alain

la fiction souvent frivole interrompt son déroulement pour des intermèdes musicaux : - les comédies musicales de Busby Berkeley (produit âr Warner) exemple : 42ème rue - Les comédies musicales de la RKO : duo d’acteurs célèbres : Fred Aster et Ginger Rogers • Les films de gangsters Les USA traversent une période difficile marquée par la prohibition :
Des organisations criminelles se mettent en place pour fournir les boissons interdites. Ce contexte débou- che sur une guerre des gangs, période de

des « cabarets», et « Night Club ». Les formes de danse pratiquées vont constituer la base de la danse jazz telle qu’on la connaît. On peut citer le « cakewalk » (1900), le charleston (1921), « lindy hop » (1930), le « Tap Dance » (Fred Astaire, Ginger Rogers), le « boogie » et le « be-bop » dans les années 40 et l’influence sud américaine (samba, mambo, tchatcha) en 1945, pour donner lieu dans les années 70 au « jerk » et au « disco ». La danse jazz sera en fait issue d’un amalgame entre les cultures

rôle principal[33], celui d'une nourrice qui menace de s'en prendre à l'enfant dont elle a la charge. La critique ne suit pas, et Variety qualifie le film de « léger[34]. » Dans Chérie, je me sens rajeunir, elle joue aux côtés de Cary Grant et de Ginger Rogers sous la direction de Howard Hawks. Le film réalise un bon score au box-office malgré certaines critiques négatives[35]. Darryl F. Zanuck voit en elle un fort potentiel commercial et l'engage pour Niagara dans lequel elle interprète une femme fatale

 d'épouvante  et  de  féerie.  Interprétation   saisissante  de  R.  Mitchum.   TIGHT  SPOT   É.-­‐U.  1955.  Drame  policier  de  Phil  Karlson  avec  Edward  G.  Robinson,  Ginger  Rogers  et  Brian  Keith.  -­‐  Une  prisonnière  est  libérée  pour  aider  la  police  à   mettre  la  main  sur  un  dangereux  chef  de  gang.  -­‐  Intrigue  conventionnelle

fois la parole face à la caméra. Au cours de ce film, le public la découvre pénétrant dans un café, posant son sac sur une table, pour s'asseoir enfin, et demander à un des serveurs : "give me a whisky, ginger ale on the side and don’t be stingy baby" ("donne-moi un verre de wisky, un verre de ginger ale et ne sois pas radin mon petit"). Sa voix grave, musicale et sensuelle, lui fera franchir avec succès le cap de la transition entre le muet et le parlant.           Un autre changement, soudain et

au parlant. Chantons sous la pluie, c'est l'apogée du genre musical, née sous la bonne étoile d'Hollywood et surexploité, début des années 1930... Arthur Freed, le célèbre producteur de comédie musicale de la MGM complète le genre travaillé par Ginger Rogers et Fred Astaire, il y ajoute ce qu'il manquait d'orchestration. Pour Chantons sous la pluie, en plus de produire le film, Freed écrit les paroles de la chanson-titre, passée à la postérité. Quant à Gene Kelly, il confirme son éclat et s'affirme

Chanteur de Jazz, réalisé par Warner Bros. Beaucoup de cinéastes se perdent, ne sachant s'adapter au parlant, mais d'autres triomphent ● Fred Astaire, 1899-1987, crée la comédie musicale. Cet acteur, danseur et chorégraphe américain, avec Ginger Rogers, sa partenaire, a installé la chorégraphie à l'écran, avec ses rythmes et ses claquettes, dans les années 40. Il est à l'origine de Top Hat (1935), Swing Time (1936), Entrons dans la danse (1949), Tous en scène (1953), etc. Alfred Hitchcock, 1899-1980

sauf le dernier qui reste immortel. On est en 1933, et les autodafés de livres ne sont pas seulement de la fiction romanesque. Exemple 2 : Top Hat, Mark Sandrich, 1935 “N’est-ce pas un beau jour pour être pris sous la pluie”, Fred Astaire et Ginger Rogers chantent et dansent sur la musique d’Irving Berlin orchestrée par Max Steiner. Exemple 3 : Laura, Otto Preminger, 1944. Le début : le narrateur omniscient (voix off) va se transformer en un homme malingre nu dans une baignoire. Notez qu’il est