Giordano Bruno

au principe religieux plaçant la Terre, et donc les Hommes, comme fixe au centre de l’Univers. C‘était osé de sa part parce que l’Inquisition était pas du genre ouverte à cette époque. Pour donner un exemple, en 1600 elle a arrêté l’astronome Giordano Bruno qui défendait le même genre de thèse, sur l’infinité de l’Univers notamment. Eh bien il a frit, il a tout compris. Bien que le procès de Galilée débouche sur l’abjuration officielle de sa thèse, il est considéré comme le marqueur du début des

(1473-1543), dont l'oeuvre est poursuivie par Kepler, Galilée et Newton. Il révolutionne le système de Ptolémée, pour lequel l'homme se situait au centre de l'univers : depuis Copernic, l'anthropocentrisme est abandonné au profit de l'héliocentrisme ; Giordano Bruno émettra, lui, l'idée que l'univers est infini. Dans le domaine religieux : malaise au sein de l'église à la fin du XVème siècle : recherche d'une religion plus personnelle, d'un culte plus simple et moins magnifique ; l'autorité du pape est

serait un homme sans cette petite lumière, que serait-il sans cette conscience, cette saine fureur qui lui fait redresser la tête, dire non, même au péril de sa vie?... dût-il être banni comme Hugo, condamné à mort comme Vallès ou périr comme Giordano Bruno !         La vie et le monde s'acharnent à nous rogner les ailes, mais c'est notre devoir absolu de nous efforcer en retour de les étendre, le plus large possible. Je dis non, je refuse, j'accuse, je mets en doute.. je me révolte donc je suis

d'acte immoral que libre (où est le blâme à faire ce qu'on nous force à faire ?) Galilée connut cette situation. Sommé par l'inquisition de renoncer à ses idées coperniciennes, il sait ce qu'il risque à se révolter contre l'autorité religieuse. Giordano Bruno a payé de sa vie une telle attitude. Galilée se résigne. Sa résignation est utile parce que la révolte ne lui rapporterait rien, ne ferait pas avancer ses idées d'un pouce. Peut-être est-il plus utile pour elles qu'il survive pour témoigner. Aujourd'hui

à Athènes aux seuls mots de « résurrection des morts » qu’il prononce . En 1277, 219 erreurs enseignées sont condamnées par l’évêque de Paris. L’Eglise prend alors un décret pour censurer les savants sous la menace de l’excommunication. Giordano Bruno est brûlé vif en 1600 pour avoir défendu l’idée selon laquelle l’univers est infini comme Dieu. Au XIX siècle, l’Eglise se dresse contre la vaccination qui s’oppose, d’après elle, à la volonté de Dieu puisque les grandes épidémies apparaissent

La condamnation des passions ou du moins de leur mauvais usage domine l’histoire de la philosophie. Il existe cependant des philosophies qui ont tenté de conférer une valeur positive aux passions. Ainsi, la pensée de la Renaissance (notamment Giordano Bruno) s’intéresse de très près aux facultés que possède la nature corporelle de l’homme, et non plus seulement sa nature spirituelle. Quant à Spinoza, il affirme qui n’y a pas lieu de condamner les passions car elles résultent de nécessités naturelles

attaché aux sphères transparentes du modèle d'Aristote (pourtant délaissé par Ptolémée) censées soutenir les planètes et leur imprimer leur mouvement ; il présente son système comme un simple artifice destiné à simplifier les calculs. Le dominicain Giordano Bruno défend la réalité du modèle héliocentrique et l'étend à toutes les étoiles, ouvrant la dimension de l'Univers physique à l'infini. Il sera brûlé au bûcher en tant qu'hérétique non pour des raisons scientifiques, mais religieuses. Kepler, Galilée

trouvaient chez les auteurs de l'antiquité des idées pour fonder leurs convictions. L'inspiration matérialiste, puisée chez Démocrite et Epicure, reprise par Pomponazzi et l'averroïsme padouan et diffusée en France par Vanini fut réactualisé par Giordano Bruno. Les êtres étant de composition simple (atomes de Lucrèce) ne pouvaient donc avoir d'âmes immortelles. Dieu ne serait alors qu'un autre nom de la nature et l'homme une espèce animale comme une autre. Les écrivains libertins n'avaient pas une

sullo sfondo c' é la recente filosofia cartesiana e la filosofia spinoziana nasce proprio come tentativo di risolvere il complesso problema del rapporto tra le due res . Notevole risulta anche l' influenza del neoplatonico italiano cinquecentesco Giordano Bruno , dell' antico stoicismo e della religione ebraica . Esaminiamo ora nel dettaglio i contenuti del pensiero spinoziano : il problema da cui nasce e il metodo con cui viene impostata l' intera sua filosofia , come accennato , é di derivazione cartesiana

castidad, la oración, rezar el rosario. No importa que no se conozcan las verdaderas razones por las que un hombre o una mujer se sienten lo contrario de lo que aparentan porque la Iglesia suele pontificar, como cuando quemó en la hoguera a Giordano Bruno por afirmar que era la Tierra la que daba vueltas alrededor del Sol y no al revés. Es evidente que también hay psiquiatras que tienen el mismo tipo de discurso, como el psiquiatra del PP Apolonio Polaina, director del CEU, que considera también