Glaïeul

" sur la terre blanche", le feu " feu de bois " . Tous les éléments sont réunis dans le dernier vers qui forme une sorte de conclusion : "Aux yeux de niveau d'air de terre et de feu". Ce mini monde ets habité par des végétaux ("troène", "glaïeuls"), des minéraux("la pierre"), des animaux ("ornithorynque"...) mais aussi des objets("des miroirs") et des hommes ("calfas"). La femme ets donc un monde, le monde d'André Breton comme le souligne l'article définit "Ma" qui marque une relation

|plus, les haillons représentent des vêtements déchirés et qui | | | |ont terminé leur vie. Les glaïeuls sont des fleurs que l’on met | | | |généralement sur les tombes dans les cimetières. Le vers où il | | |

le géranium ( + E), l’oeillet ( + E), le pommier (nE), le myosotis, le bouton d'or (nE), le rosier sauvage (églantier) (nE,n )… Gladiolus italicus (glaïeul des moissons) 3+3T / 3E / 3C Insertion en cercle, symétrie bilatérale, trimère : 3 + 3 tépales, 3 étamines, 3 carpelles Autres fleurs présentant la même organisation que le glaïeul (pour sa symétrie bilatérale) : Le romarin, l’orchidée, la violette, la digitale, le haricot, le genêt, la sauge, les pois… Tulipa sylvestris (tulipe sauvage)

C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges

rouge ,l'orange, le blanc, le bleu et le vert qui représentent tellement bien l'été, la joie de vivre ,l’esprit de fête, la détente et l’excitation des beaux jours. Lors de mes nombreuses ballades j’aperçois aussi les coquelicots, les bleuets, les glaïeuls, les freesias et bien d'autres fleurs qui embellissent notre jardins lors de cette formidable saison.

C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme  Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges

les jaunes cabochons Dans des aubes particulières ! Thiers et Picard sont des Eros, Des enleveurs d'héliotropes ; Au pétrole ils font des Corots : Voici hannetonner leurs tropes... Ils sont familiers du Grand Truc !... Et couché dans les glaïeuls, Favre Fait son cillement aqueduc, Et ses reniflements à poivre ! La grand ville a le pavé chaud Malgré vos douches de pétrole, Et décidément, il nous faut Vous secouer dans votre rôle... Et les Ruraux qui se prélassent Dans de longs

a une connotation de pureté, le rouge montre la passion, le jaune trahit une infidélité... Un bouquet peut aussi servir à fixer un rendez-vous dont l'heure est précisée par le nombre de fleurs. On pourra par exemple se reporter à l'entrée sur les glaïeuls pour plus de précisions. Abutlion : méditation Acacia : acacia rose : élégance1. acacia jaune : amour secret1. Acacia dealbata : voir mimosa. Acanthe : amour de l'art1 Achillée : (non précisé) : guerre1 Achillé Millefeuille : Remède pour

« baignant » allonge la durée. - verdure : V1 « verdure ». V2 « aux herbes ». V6 expression « frais cresson bleu » = couleur rend lieu luxuriant. V7 CCL «  dans l’herbe ». V8 CCL « dans son lit vert » « lit » = lieu protecteur. V9 « dans les glaïeuls » = richesse du lieu. - soleil : V3 « où le soleil ». Rejet V4  « luit ». COD « de rayons ». V8 expression « où la lumière pleut » = abondance de lumière. Préposition « dans » répétée mime immersion du sujet dans l’espace = confort du soldat

Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté