Glissando

l’odeur des corps suspendus qu’on ne peut pas oublié. Dans le 3ème couplet une interprétation pour chaque vers se fait ressentir. Le vers un symbolise la mort et fait référence aux corbeaux. Le vers deux illustre la pluie et le vent en faisant un glissando sur le mot « Wind ». Le vers trois par les pauses de la voix traduit la sécheresse à cause de la chaleur. Tous les silences traduisent le temps qui passe, « Drop » interprète la chute du corps. Le vers quatre traduit la révolte, car c’est une récolte

classicisme, ce qui conduit à distinguer dans son œuvre au moins deux périodes. Dans les années 1960-1970, il utilise les instruments classiques comme des instruments à percussion sur un mode résolument atonal ou sériel, recourt en abondance aux glissandos ou aux clusters et travaille sur le chromatisme d'une manière audacieuse. Son œuvre est néanmoins empreinte, à partir de sa Passion selon Saint Luc (1965-1966), d'une forte inspiration religieuse. Dès la fin des années 1980, il donne à son travail

ou l’on frappe les cordes avec le bois de l’archet, ce qui donne l’impression d’entendre une bombe. Accélérations rythmiques qui gagnent tous les groupes : effet de panique des bombes. Troisième partie : de 2’18 à 4’31 → Glissements des cordes (=glissando), des blocs de notes agglomérées comprenant toutes les hauteurs de notes entre deux limites(=clusters). Cela évoque les avions dans le ciel, des alarmes ou des sirènes, des gémissements et des plaintes. Quatrième partie : de 4’31 à 9’09 → Effet

des violons ; des contrebasses ; et un accordéon. Plusieurs musiciens jouaient 2 instruments. Sa structure interne peut être composée de 3 parties. La 1° partie du début à la 10° minute et 56 secondes, expose le thème principal caractérisé par un glissando puis une multiplication de ce thème. La 2° partie, de la min 10 et 56 secondes à 13° min et 40 sec, se caractérise par un thème romantique joué par des violons puis par un orchestre à dominante de cordes et piano solo. La 3°partie, de la min 13 et

pizzicati), les cuivres et la batterie s’impose, et entraîne le piano. Une danse à 6/8, dont les rythmes et les accents semblent empruntés au jazz, est jouée au piano qui se heurte aux trombones et aux trompettes bouchées : épisode tendu à l’extrême. Glissando du piano et l’orchestre est emporté à nouveau par le 1° thème mené jusqu’à son paroxysme (FF). III) Finale Peu après, une cadence très virtuose du piano arrête la course du temps et amène une certaine sérénité. Tout s’apaise. Mais elle est

à la jeunnesse. Pour la rythmique, ABBA s’inspire de Rock Your Baby de George McCrae, cherchant à comprendre les mécanismes que produisait son entraînement particulier. Mais ce qui marque vraiment cette chanson, c’est l’ouverture inoubliable en glissando au piano. Une bonne piste d'accompagnement solide a été mise en place pour la chanson, composée de batterie, basse, guitare et claviers. La batterie pose un rythme disco.  Si Dancing Queen est l'un des titres phares du mouvement disco qui éclot

annoncer les délicates acrobaties qui vont suivre, auquel se superpose un motif de 3 notes, appuyant le coté mystérieux par ses intervalles augmentés, motif que s'échangent les cordes graves (Vlc, CB) et les cordes aiguës (Vl, Alto) en accélérant. Puis glissandos croisés aux pianos, qui se terminent par un accord très court et ff plaqué par l'orchestre entier (le coup de grosse caisse). Silence pour ne pas perturber les artistes, puis la fanfare entonne la marche royale (accords rythmés aux pianos, sur les

thème utilise des doubles croches, trilles et bariolages (passage rapide dʼune corde à sa voisine); et une cadence qui intervient après un paroxysme sonore, concentre toutes les difficultés : sauts d’intervalles, accords, arpèges, harmoniques, glissandos... Le dernier mouvement est plus intéressant et caractérise la musique russe, il en contient tout les charmes et les débordements. Le violon est rapide, l'orchestre très rythmé, bondissants qui lui donnent un caractère ensoleillé, l'ensemble

rythmiques,des notes très rapides et irrégulières gagnant tous les instruments. Cela symbolise le désordre, la panique, la violence : la fuite des habitants d'Hiroshima . Troisième partie de 2'18 à 4'25 Il y a une utilisation de notes glissées (glissandos) ainsi que de clusters (blocs de notes agglomérés, comprenant toutes les notes comprises entre une limite grave et aigu) . Cela traduit un climat de malaise, de dévastation Il y a une importance de nuances et de variations, ainsi qu'un crescendo

aout 1969 | L'œuvre et son interprétation | Version Hendrix: Il sature sa guitare électrique pour rendre l’atmosphere inquietant. Il utilise beaucoup la distorsion, du feedback la pédale wah-wah, le vibrato, du slide, l‘effet de glissando, on retrouve souvent le montant ou descendant qui évoque le bruit des bombes. C’est plus un message qu’un morceau de rock. |