Gombrich

Vasari durant toute la lecture pour témoigner de cette époque. Burke cite les Lumières qui expliquent évidemment la Renaissance par la liberté et la richesse, mais aussi Karl Marx, Engels, Weber, Burckhardt, Wöfflin, Warburg, Alfred von Martin, Antal, Gombrich, Baron, Lopez... Il est inutile donner les explications de chacun, car pour P.Burke, toutes ont leur intérêt, il propose une approche “pluraliste” et se propose de faire une synhèse générale des études empiriques et d'articuler la perspective microsociale

ou peinture exécutée sans dessin de préparation. Certaines stèles de la Tombe des Mercenaires : technique différente : calcaire enduit d’une couche de plâtre. Courant en Egypte moins en Grèce : préparation à base de chaux. Perspective Selon Gombrich les contrastes entre ombre et lumière permettaient le rendu d’une certaine forme de relief voire de perspective bien que ce terme soit l’objet de nombreuses controverses. En effet, comme le rappelle Agnès Rouveret « les Anciens (…) avaient la claire

dans l’Art» de Jean Luc Chalumeau, Ed. Cercle d’Art (2000) «Fenêtre du monde» de Domique et Jean Philippe Lenclos, Ed. Le Moniteur (2001) «Fenêtre, Chroniques du regard et de l’intime» de Gerard Wajcman, Ed. Verdier «Histoire de l’Art» de E.H. Gombrich, Ed. Phaidon «Henri Matisse, roman» de Louis Aragon «S/Z» de Roland Barthes, Ed. Seuil (1976) «Petite fabrique de l’image» de Jean-Claude Fozza, Ed. Magnard (2003) «Les Fenêtres - Architecture et écriture romanesque» de Jean-René Valette, «

"systèmes" induiraient un enseignement utile, vrai et partagé par tous. Ce qui permettrait et amènerait l'homme à devenir "habile." L'utilisation de ses sens, de ses émotion, et de son intellect produisant l'essence même de la créativité." (2) E.H. Gombrich (p.24) nous dit "... dans les oeuvres "primitives", dues à des artistes moins habiles que ceux d'aujourd'hui à représenter visages et attitudes, il est souvent particulièrement émouvant de suivre l'effort pour rendre manifeste le sentiment à exprimer

réception des œuvres par le spectateur. Cette réception n’est plus alors considérée comme simple perception et découverte (du savoir de l’artiste), mais comme la reconnaissance d’un savoir propre au spectateur, à sa propre culture et son milieu social (Gombrich, Arnheim). -Selon Freud, l’art est quelque chose de réel, qui sait représenter la réalité : puisqu’il donne comme définition de l’art : c’est « un chemin de retour qui conduit la fantaisie a la réalité » (a mettre dans la thèse partie 1 ) texte

BOSSEUR Jean-Yves, Vocabulaire des arts plastiques. Minerve, 1998 > DE MEREDIEU Florence, Histoire matérielle et immatérielle de l’art moderne et contemporain. Larousse, 2004 > FORERO-MENDOZA Sabine, Le Temps des ruines. Champ Vallon, 2002 > GOMBRICH Ernst.H. , L’Art et l’illusion. Gallimard, 1987 > SOURIAU Etienne, Vocabulaire d’esthétique. PUF, 1990 Crédits photographiques © Toulouse, musée des Augustins – clichés Daniel Martin, Bernard Delorme, STCMairie de Toulouse. Page 18 sur 18

» Clemenceau a dit : « Il faut 5 minutes pour préparer un discours de 5 heures et 5 heures pour préparer un discours de 5 minutes. » Cocteau a dit « Tout ce qui n'est pas retenu n'est pas dit. » Pierre Dac a dit : « Une image vaut mille mots. » Gombrich a dit : « Parler est un besoin, écouter est un art. » Sacha Guitry a dit : « La qualité de notre communication est déterminée non par la manière dont nous disons les choses, mais par la manière dont elles sont comprises. » Dominique Wolton a dit

Le peintre et le décoratif : une moderne unité des arts Par Stéphane LAURENT Entre 1870 et 1950 environ, le décoratif constitue un fait culturel et social incontournable. Il est dans tous les esprits : « Je suis assez vieux, écrit Ernst Gombrich dans les années 1970, pour me souvenir de la génération des amoureux de l’art qui affirmaient que l’évaluation d’une bonne peinture reposait sur ce qu’ils appelaient ses qualités « décoratives ». Il importait peu qu’on l’accrochât dans le bon sens ou

analogie avec couvre-lit et par la force d’une réactivation de sa face graphique, pour l’avoir déjà rencontré en (7). L’assimilation se constitue sans équivoque comme le résultat de ce que l’on appelle le principe de bonne continuation, ou de ce que Gombrich, dans le domaine de la perception visuelle, appelle « le principe des etc. ». Comme nous considérons que les relations pertinentes sont des relations de transposition de la forme au fond ou du fond vers la forme,24 le problème des mots composés

réception des œuvres par le spectateur. Cette réception n’est plus alors considérée comme simple perception et découverte (du savoir de l’artiste), mais comme la reconnaissance d’un savoir propre au spectateur, à sa propre culture et son milieu social (Gombrich, Arnheim). Ces analyses psychologiques se prolongent à travers les diverses approches cognitives (psychologie cognitive, philosophie de l'esprit, etc), et notamment les découvertes récentes en neurosciences (fonctionnement du système nerveux : cerveau