Gombrich

Léonard, pour débuter l’étude sur Andy Warhol qui est un artiste de la liste de référence . Ainsi une continuité est établie entre l’étude de deux artistes. Bibliographie Livres : - Le petit Larousse compact 2004 - Histoire de l’art, E.H. Gombrich, Phaidon - Le grand alpha de la peinture, n°8 - L'art de la Renaissance, Peter et Linda MURRAY, Larousse. Pages Internet : - http://membres.lycos.fr/seddryck/ldvinci.html - http://www.italie1.com/voirundocument.php ? iddocument=2922

Sophiste). C’est bien cette ambivalence qui s’inscrit au cœur du mythe de Pandora. Dans un article séminal, « Méditations sur un cheval de bois, ou les racines de la forme artistique », datant de 1951 et qui a irrigué tous ses essais postérieurs, Gombrich esquisse une véritable archéologie de la représentation iconique qui relativise le rôle de la forme externe et replace la question de la mimésis dans un horizon plus large. Il défend l’idée que « représenter » recouvre deux réalités, deux acceptions

étonnante série de visages autour de la dépouille du défunt. La force expressive de cet oeuvre réside dans les visages éclairés des vivants contrastant avec celui du saint mort qui semble figé tel un bronze. C. Bibliographie - Histoire de l’art, E.H GOMBRICH, éd. Phaidon, 2001, Paris. - Le dossier Caravage psychologie des attributions et psychologie de l’art, A BERNEJOFFROY, éd. Flammarion, (Idées et Recherches), 1999. - Michelangelo Merisi da Caravaggio 1571-1610, E. KONIG, éd. Konemann, (Maitres de

du Soleil Levant / Monet / Le Lorrain L’art du XIXème et XXème siècle, Jean-Paul Bouillon, Citadelle et Mazenod Les théories de l’art, Jean Luc Chalumeau, Témathèque lettres Apparence.net / Impressionnistes Histoire de l’Art, E-H Gombrich, Phaidon Histoire de l’art du Moyen-âge à nos jours, Edina Bernard, Larousse

ou « bizarre cubiques », en 1908, après avoir vu une photo de Braque. Il l’a décrite comme « pleine de petits cubes », après quoi le terme à été rapidement utilisé, bien que les deux créateurs ne l'aient pas d'abord adopté. L'historien d'art Ernst Gombrich a décrit le cubisme comme « la tentative la plus radicale de mettre fin à l'ambiguïté et de faire appliquer une seule lecture de l'image ; celle d'une toile de couleur faite par l'homme ». Le cubisme a été repris par de nombreux artistes à Montparnasse

rencontre avec elle, une émotion, une réflexion, un placement financier... C'est par leur singularité que l'oeuvre ou le produit nous toucheront au plus profond de nous mêmes. [1] --------------------------------- [ 1 ]. Histoire de l’art E.H Gombrich, Phaidon, 1995 2 Henri Bergson, L’Évolution créatrice (1907), Éd. PUF, coll. "Quadrige", 2007 (édition critique), chap. II, pp.138-140. 3 Never leave well enough alone , Raymond Loewy, éditions Johns Hopkins, p103-105 2002 4 Qu’est-ce que le

ou « bizarre cubiques », en 1908, après avoir vu une photo de Braque. Il l’a décrite comme « pleine de petits cubes », après quoi le terme à été rapidement utilisé, bien que les deux créateurs ne l'aient pas d'abord adopté. L'historien d'art Ernst Gombrich a décrit le cubisme comme « la tentative la plus radicale de mettre fin à l'ambiguïté et de faire appliquer une seule lecture de l'image ; celle d'une toile de couleur faite par l'homme ». Le cubisme a été repris par de nombreux artistes à Montparnasse

expressivité du visage, regard imposant et qui force le respect (puissance). Soin particulier apporté aux détails : plastron de l’armure du Gattamelata , tête du cheval montre qu’il se cambre. Livres utilisés pour notre étude : -L'histoire des arts, E.H Gombrich -Temps moderne XVème/XVIIIème, Flammarion -Renaissance italienne 1460-1500, André Chastel -La sculpture de la renaissance au XXème siècle, édition Taschen -L’Art au XV° siècle, Stefano Zuffi -La sculpture De la renaissance au XX° siècle, édition

d’oubli et d’abandon, mais c’est encore une question pendante de savoir s’ils seront capables de survivre à une version divertissante de ce qu’ils ont à dire. (Arendt) A la vérité « l’Art » n’a pas d’existence propre. Il n’y a que des artistes. (Gombrich) Rien n’est beau que le vrai, le vrai seul est aimable. (Boileau, cité par Schopenhauer) Du sublime au ridicule il n’y a qu’un pas. (Thomas Payne et Victor Hugo) Le premier qui compara la femme à une rose était un poète, le second un imbécile

d’imiter, la nature ressemblerait donc a «  un ver qui s’efforce en rampant d’imiter un éléphant  ». De plus, l’art ne pourrait pas se réduire à une simple reproduction. D’après l’historien de l’art Gombrich, il estime toutefois qu’on ne rencontre jamais une imitation simple et neutre. Pour Hegel, l’objet naturel est vivant, et une simple œuvre ne pourra donc jamais reproduire le vivant et rendre la vie. En reproduisant la nature, l’artiste serait simplement