Gottfried Wilhelm Leibniz

L'optimisme au XVIII° siècle Dans les années 1730, on crée le mot optimisme (du latin optimus, « le meilleur ») pour rendre compte d'une théorie philosophique de Leibniz. Elle a pour objectif de répondre au problème du bien et du mal : pourquoi le mal existe-t-il si le monde a été créé par un dieu juste et bon ? De nombreuses interrogations tournent autour de la Genèse et de la notion de péché originel (cf. la Bible). En 1681, Bossuet, homme d'église catholique, écrit, dans son Histoire

XVIIIe siècle sur le fatalisme et l'existence du "Mal". Depuis longtemps déjà, Voltaire est farouchement opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire (pas d’effets sans causes). Cette croyance est ce que l'on appelle l'optimisme

(il y en a quand même eu d'autres par la suite: ex.: le cercle de Vienne). Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les philosophes étaient des penseurs isolés qui rendaient public leurs idées uniquement par le truchement des livres (ex.: Descartes, Spinoza, Leibniz, etc.). Mais à partir du XIXe siècle (en Allemagne d'abord), la plupart des philosophes deviennent des professeurs d'université et se servent des cours pour diffuser leurs idées. Au XXe siècle, les deux guerres mondiales vont obliger des philosophes

1er phrase décrit une qualité esthétique, puis la seconde compare la guerre à une musique. Voltaire joue ainsi sur le double sens du mot harmonie : le sens musical et le sens philosophique. En effet, l’harmonie préétablie désigne la doctrine de Leibniz, notre narrateur ridicule est donc Leibnizien , ennemi déclaré de ce livre ! De plus, la fin de la phrase est une violente antithèse « en enfer » produisant un effet de chute. De même, la gradation des instruments, qui va du plus éclatant au plus

comme des personnages qui ne veulent pas se mélanger avec la société pauvre. La sœur du baron n'a pas voulut épouser un « bon et honnête gentillhomme » parce « qu'il n'avait pu prouver que 71 quartiers ». Mais la principale cible de Voltaire est Leibniz, un autre philosophe, avec le raisonnement duquel il n'est pas d'accord. Il utilise donc la figure de Pangloss à travers lequel il va ridiculiser la philosophie. Pour se faire il va utiliser des liens logiques comme « il est démontré », « aussi »

= médicament ou moyen d’assainir pour un monde meilleur ! - guerre amplement justifiée : -> par la loi : « droit public » (l.14) -> attaque satirique de Voltaire : quelle loi justifierait un massacre ?! -> par la philosophie de Pangloss (et de Leibniz) : notes 3 -> par la religion, car on remercie Dieu et on en fait une sort de complice consentant => satire de la religion qui se fait complice du massacre + satire du pouvoir royal, car chaque roi se moque des morts et ne pense qu’à sa victoire

chapitres. Candide (Candide ou l'Optimisme, de son nom complet) est un conte philosophique où Voltaire, son auteur, utilise l'ironie et le sarcasme tout au long de l'oeuvre. L'oeuvre a pour but de dénoncer la théorie de l'optimisme du philosophe Leibniz, qui consistait en croire que bien que le monde ne soit pas parfait, Dieu l'a créé le meilleur possible. Candide évoque le voyage du héros éponyme qui transformera sa vision du monde innocente et parfois naïve en philosophe. Au travers de ce périple

Dans ce texte, Gottfried Leibniz parle de l’empirisme en science et s’y oppose. D'après Leibniz, pour que les sciences exposent des vérités universelles, elles doivent être basées sur la raison et la capacité à réfléchir et non pas dépendre des sens primaires, du ressenti immédiat d’expériences sensibles. Le texte peut se décomposer en trois parties. Tout d’abord, Leibniz exprime sa thèse, il explique que les sens ne donnent pas une vérité universelle. Ensuite, l’auteur explique que les sens ne sont

des peuples entiers ne songent guère qu’en poursuivant leur fin particulière en conformité avec leurs désirs personnels et souvent aux préjudices d’autrui ils contribuent à leur insu au dessein de la nature » Idée que le mal se convertit en bien  LEIBNIZ Ex Zadig de Voltaire mais tremblement de terre en 1755 à Lisbonne va complètement changer la vision de Voltaire  Candide  Adam Smith reprend cette idée à Mandeville et sa Fable des abeilles dont le sous titre est « Vices privés, Vertus publiques »

du paradis édénique du le conte de fée qu’il y avait « en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder-ten-tronckh »10 que Candide perd son attitude naïve et il remet en question la théorie de Pangloss, qui est la satire de l’optimisme de Leibniz de Voltaire. Dans le dernier chapitre la notion qu’on doive travailler sans raisonner parce qu’est « le seul moyen de rendre la vie supportable »11 dans le jardin où chacun a son propre tache, c’est parce qu’il faut plus d'un boulon à continuer