Gradation

la mode |Arguments |Débats | |-Figure de style d’amplification |Diphile et ses oiseaux, son |-Excès, nombre d’objets amassés |-Qu’est-ce que la curiosité ? | |(hyperbole, gradation, |entourage délaissé. |-L’absurdité de la situation. |(différences entre la définition| |accumulation) -Ellipse temporelle | |-Paradoxe : D. ne tire aucune joie|de ce mot selon le dictionnaire

Citez une figure de style que vous trouvez dans les deux dernières strophes et dites-en l’effet. III. Pour chacune des figures de style suivantes: donnez la définition, l’effet produit et un exemple: euphémisme oxymore chiasme hyperbole gradation périphrase métonymie métaphore

consonantiques.  Chiasme : figure de style qui consiste à inverser l’ordre des termes qui s’opposent. Euphémisme : figure de style qui consiste à atténuer la réalité dont on parle, par l’emploi d’une expression indirecte qui l’adoucit.   Gradation : succession de mots dont les significations ont une intensité croissante ou décroissante.  Litote : figure de style qui consiste à dire le moins pour, en réalité, faire entendre le plus.  Métonymie : figure de style qui consiste à remplacer

de sens ou de sonorité.   Il existe des figures de répétition : ♥ L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase ♥ Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) ♥ La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante ♥ Le paralléllisme : reprend une structrure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) ♥ La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois

langue et crée un effet de sens ou de sonorité. 1.figures de répétition : L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (ex : monter en haut) La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante Le parallélisme : reprend une structure syntaxique (ex : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) La répétition : le même mot est réécrit plusieurs

développant l’analogie a |« Quelquefois a midi, il ne fait pas jour » |nous lui résistons » |dans une construction syntaxique qui se répète | |l’échelle de tt un paragraphe (ch. lexicaux comparé |( La gradation : croissante ou décrois. , elle |( L’oxymore : il s’agit d’une antithèse concentré |plusieurs fois | |comparant) |consiste a énumérer des thermes en les classant

ne sont pas correcte. Il y aura ensuite un enchaînement de vers très court qui exprime une accélération, voir un suspense jusqu'à que Phèdre avoue enfin qu’elle aime Hippolyte. Puis il y a l’exclamation d’Oenon avec une anaphore du « Ô » et la gradation « Ô désespoir! Ô crime! Ô déplorable race! » le tout accentué par une ponctuation expressive, cela montre bien la gravité de l’acte.

procédés : implication du locuteur et destinataire ( 1ere personne du singulier et deuxième personnes singulier / pluriel ) ou l'emploi de question rhétorique , d’apostrophe ou procédés d'insistance ( anaphore hyperbole métaphore filée , énumération , gradation , répétition , rythme ternaire …) et vocabulaire dévalorisant et un rythme souvent vif ponctuation expressive ( exclamation , jeu de question/réponse) . I . un violent réquisitoire contre les colonisateurs européens 1 . colonisation est associé

ses commencements, si sèche dans son milieu, si petite enfin […] toujours si dépourvue de grands monuments, si étrangère à ces belles découvertes » On a ici une gradation sous forme d’anaphore qui énonce les désagréments de l’histoire de France vus par l’Ingénu. « Ainsi se passaient les jours, les semaines, les mois » Gradation traduisant la banalité du quotidien.

mot ou d'un groupe de mots en début de phrases, de propositions ou de vers qui se suivent.« Je saurai parler seul ! Et, de par tous les diables, /Je saurai bien toujours la prendre dans mes bras ! » (E. Rostand, « Cyrano de Bergerac ».) La gradation est une énumération dont les termes sont ordonnés du plus faible au plus fort ou du plus fort au plus faible.« Va, cours, vole et nous venge ! » (Corneille, « Le Cid ».) L'hyperbole est une exagération excessive.« J'ai dix cœurs, j'ai vingt