Gradation

l'amour tout au long du roman : "amour", "je t'aime", ... dans le chapitre 41, lorsqu'elle va au plus mal il y a une gradation qui montre qu'elle va de mieux en mieux grâce parce qu'elle pense vraiment qu'il va arriver : " le visage presque éteint se ressuscita, la pâleur s'estompa, autour des yeux les cernes bleutées s'éclaircissaient." on peut également remarquer une gradation dans le chapitre 55 lorsque Steph apparaît elle peut murmurer, bouger les mains, sourire. Marie a également des convictions

texte est également satirique, l’auteur fait un blâme des anciens permettant d’appuyer sur le fait que la jeunesse est le seul moyen de sauver les injustices dans le monde. De plus, les procèdes utilisés pour accentuer la satire, sont la gradation, la gradation, et les oppositions entre différentes idées. L’auteur utilise des concessions pour amplifier sa thèse, ce texte alterne ces différents points de vue afin de mieux rejeter la thèse adverse.

(V670-711) Cette scène est le 2eme aveu s’adressant à Hippolyte après le texte précédent qui était pour Oenone. Cette scène est située dans la pièce apres fausse mort de Phèdre. Dans un premier temps nous traiterons l’aveu à Hippolyte puis ensuite la gradation de se souffrance. I) Aveu à Hippolythe. *tonalité douloureuse => -”injonctif “Ah..” (V671) -ponctuation énumératif. *exagération => “Cruel” (V671) * discourt lucide=> ”tu mas trop entendu” (V671) *tutoiement => aveu arraché

Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance en utilisation quelques termes -> pédant è Molière se moque de l’intolérance de l’époque(ex : ‘turc’-> quelqu’un pense

quantité ou de variété) : « ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles »  LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, dont l’intensité est croissante ou décroissante : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! « (Molière) : gradation ascendante ; « Mme de Cambremer serait ravie (…), heureuse (…), contente. » (Marcel Proust) : gradation descendante Synthèse établie par D-A Carlier. - LES FIGURES DE STYLE – 2/4  LA PRÉTÉRITION : elle

du Ca++ Vitesse de contraction ATPase myosine Squelettique Fixé / squelette Déclenchement et gradation de la contraction Non (sauf hypothyroïdie) Cardiaque Cœur Module : contraction et gradation Oui Oui Oui Oui LEC et RS Troponine Déplace le complexe TroponineTropomyosine Lente Lisses : Unitaires Multiunitaires Vaisseaux - Viscères Voies urinaires… Déclenche ou module : contraction et gradation Oui Non Non Oui LEC et RS Myosine Phosphorylation têtes de myosine => aptes à se lier à l’actine

récit et discours : LES RECITS Le récit initial Le ALORS et le verbe JE DEVINS traduisent un changement psychologique, une évolution :  simplement rêveuse, => puis une répugnance instinctive, naturelle, => qui se réveille => et s’accroît (GRADATION). La naïveté de la malheureuse novice est révélée par ses tentatives réitérées auprès de la supérieure ou de la mère des novices : ALLAIS CONFIER (l’IMPARFAIT insiste sur la répétition des démarches). Le second récit Après la condamnation

parents avec la mémoire tactile des mains qui touchaient les livres. A la ligne 3 les mots « ou a dormi mon enfance » ramènent la nostalgie. La phrase d’après « Et tout ce décor qui m’a vu grandir… » est une personnification du décor mais aussi une gradation ascendante, cette phrase instaure encore de la nostalgie. On apprend aussi que le narrateur à vécu dans la ville à sa jeunesse. Ligne 5 le mot « monde » est répété dans cette phrase « Ce monde qui n’est pas le tien est devenu un monde faux dans lequel

d’éloge et de louanges qui se repend parlant -> Métaphore du déluge -> appuyer par « débordement », « inondé ».· L’énumération présente dans la seconde relative une accumulation des différents endroits qui envahissent progressivement -> gradation de l’extérieur vers l’espace le plus intime -> métaphore filée, déploiement de la cour.Ligne 3 : 2 tournures familières -> touche comique -> personne ne peut consister à cette vague de louanges.Ligne 3/4 : Négation « n’y a pas » = opinion

antithèses, chiasme et gradation se conjuguent pour illustrer la passion qui la dévore et la tourmente. « C’est peu de t’avoir fui, cruel, je t’ai chassé ». Son tourment est perceptible quand elle avoue s’être abaissée pour Hyppolite, elle a recherché sa haine pour mieux lui prouver sa passion en réfrénant ses désirs par l’exil. Le comportement paradoxal est illustré par un style disjonctif et des tournures antithétiques « j’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine » : gradation, vocabulaire de la monstruosité