Grammaire Nietzsche

1 .. D e s c r iip t iif d e s a c t iiv iit é s d e r e c h e r c h e 1 Descr pt f des act v tés de recherche 1.1. Travaux de thèse Philippe PREVOST, Université François-Rabelais, Tours Martha CRAGO, Université Dalhousie, Canada Harriet JISA, Université Lumière, Lyon 2 Laurie TULLER, Université François-Rabelais, Tours J’ai présenté les résultats de mes travaux de thèse le 6 décembre 2008 devant le jury suivant : Président Rapporteurs Directeur de thèse Ce travail de thèse, pour lequel j’ai

fin d'une proposition, d'une expression, à l'intérieur de celle-ci ; elle peut également intervenir à des places où l'agencement de la proposition ne la laisse pas prévoir. La théorisation de tels processus reste hypothétique : on préconise une grammaire qui inclut, à un certain niveau d'abstraction, des schèmes communs aux langues en présence, ou bien on admet que toute alternance est d'abord un procédé pragmatique à but communicatif, qu'elle viole ou non les règles fonctionnelles de l'une ou l'autre

l'étranger, un roman en rupture avec les codes traditionnels A) Un personnage de roman original - Oralité apparente du discours : Phrases apparemment très simples : voir les trois premières lignes. Le discours est à peine plus construit que le télégramme retranscrit dans le premier paragraphe. Ecriture parfois même sous forme de notes : « cela ne veut rien dire », « toujours à cause de l’habitude », «C’était vrai ». Phrases réduite parfois à la plus simple construction grammaticale

 sent comme un enfant, ayant des difficultés pour s’exprimer pleinement Elle se laisse facilement décourager lors de mauvais résultats. Elle a vraiment échoué au début. Elle pense réellement avoir  toujours  eu des problèmes avec la grammaire (elle avoue que la grammaire russe est très difficile et compliquée)  et  toujours faire des fautes. Pourtant, sa conviction est que la  réussite vient du travail. Finalement,  les difficultés sont dans la tête. Elle utilise plusieurs techniques personnelles

figures de répétition : L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante  Le parallélisme : reprend une structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois   Il y a aussi des figures d'analogie

Dans ce texte, Vygotski illustre par l’exemple de la grammaire la « loi générale » selon laquelle l’enseignement scolaire s’adresse chez l’enfant à des fonctions psychiques encore « immatures », que cet enseignement a justement pour fonction et pour effet de développer. En ce qui concerne l’apprentissage de la grammaire, dont l’utilité n’apparaît pas immédiatement, Vygotski montre en quoi celui-ci permet le développement d’un rapport conscient et volontaire avec la langue parlée : ainsi les savoir-faire

INTRODUCTION 1. La description de la langue à des fins didactiques a été longtemps marquée par ce qu’on a appelé “la grammaire traditionnelle”. La grammaire traditionnelle constitue le point de départ et de référence des différentes orientations dans la description de la langue. Elle se laisse caractériser comme un ensemble de modèles de description de la langue qui reposent sur trois principes fondamentaux : • formuler des règles à statut de normes, qui imposent les emplois du “bon usage “ et de

à l’effet d’énumération dans un texte : amplification des phrases, effet de masse, de nombre,  hyperbole… l’absence de ponctuation est aussi à analyser : elle témoigne d’une volonté d’ouverture du texte, elle rompt les règles sécurisantes de la grammaire et souligne donc le rythme non syntaxique des vers, par exemple. - Types de phrases : phrases interrogatives, exclamatives, déclaratives ou injonctives (impératives). Noter que les phrases injonctives n’expriment pas forcément un ordre mais

par la pratique des étapes précédentes. Il n’est pas nécessaire de savoir écrire en tant que telle pour pouvoir lire. Par contre, il est nécessaire de savoir bien lire pour pouvoir bien écrire. II. Pouvoir s’exprimer correctement : orthographe, grammaire et vocabulaire « Orthographe = quantité d’erreurs étymologique » ces erreurs vont mener à des complications de la langue et à des orthographes qui n’ont pas vraiment d’explication. Pour le retenir, on doit l’apprendre par cœur. « Le serment

protéger. Est-il exempt des tares dont on l'accable ? Sans doute pas, mais elles n'expliquent pas tout. DP propose, non pas un système, mais une pratique pour tenter de remplacer ce cercle vicieux de l'échec. Tu ne comprends rien à la grammaire ? Faisons de la grammaire ! La tête est vide ? Remplissons-la ! Déchirons cette coquille qui enferme le cancre dans ses PC, dans ses bandes des cités, dans son inculture dont il n'est pas conscient. Certes, mais combien d'élèves par classe un professeur peut-il