Granma

años; eso es lo que echo de menos, no poder visitarla cuando quiero. Con el inglés no a Cuba en el año 1912. Se casaron el 16 de octubre de 1921, naciendo 3 hijos varones, el menor de ellos, mi padre, Fernando Casanova Guerra, quien vive en Bayamo (Granma). Nos gustaría conocer a la familia que tenemos en México y también en Sevilla. España. Fernando Oriol Casanova Cabrera. Calle Lamparilla, nº 311, altos. Entre Aguacate y Compostela. Habana Vieja-CP 10100 Ciudad de La Habana. CUBA Teléfono: 8627416

palabra, de la información, del periodismo, de la filología, eso es peor que no tener un plato de comida. Encontrarme cada día que no puedo acceder a internet, que no puedo buscar una información diferente a la papilla informativa que da el periódico Granma y la televisión nacional, me da por momentos verdaderos estadios de desespero, ¿no? © Clys Comunicaciones 3.0 Mise en œuvre Avant de commencer cette Escala, on rappellera aux élèves la situation géographique de Cuba à l’aide la carte présente sur

Convictions et expériences personnelles des dirigeants cubains en 1962 Force est de constater qu’au début de la révolution, les hommes qui entourent Fidel Castro appartiennent à quasiment tout l’éventail politique. Pourtant, le groupe armé du petit navire Granma, celui qui débarque à Cuba en 1956, paraît posséder une homogénéité idéologique certaine et 405 Henry Kissinger, Les Années de renouveau, Paris, Fayard, 2000, p. 693. Le travail de référence sur la question est Piero Gleijeses, Conflicting Missions

Laurent-Désiré Kabila (1941-2000), l'un des maquisards gauchistes des années 1960; Touré, de l'indépendance en 1958 à sa mort; N'krumah, de l'indépendance en 1957 à son renversement par les militaires en 1966. [77] Le bateau qui les amenait s'appelait Granma ("Grand-maman"); c'est aujourd'hui le titre du principal quotidien de l'île. [78] "Che" est une interjection dont les Argentins font grand usage, quelque chose comme "tiens" ou "ben ouais". [79] Après un premier accord économique en 1960: l'Amérique

fidèlement VENEZUELA — Pour célébrer le retour du président Hugo Chávez à Caracas après deux mois d’hospitalisation à La Havane, l’ancien chef de l’Etat cubain Fidel Castro (86 ans) lui a écrit une lettre publiée à la une du quotidien officiel cubain Granma le 19 février : “Cher Hugo, je suis très satisfait que tu aies pu revenir sur le bout de terre américaine que tu aimes tant, et retrouver le peuple frère qui te soutient.” Tout comme la nature de son cancer, jamais révélée, l’arrivée nocturne de Chávez

Y HABLO • Fragmento de un artículo de Granma 1. La información principal es la publicación de un número especial dedicado a la lucha del pueblo cubano por la “liberación” de Elián. 2. A lo largo de la noticia se compara el caso de Elián con una batalla. Al caso Elián se lo califica de “épica batalla” (l. 7) y se lo considera como un momento “histórico” (l. 1), un “combate” (l. 2) que tiene que ser ganado (l. 8). 3. Basta con considerar la manera como en Granma se habla de Cuba y de los cubanos de

étudiante aux grands yeux noirs et rêveurs souvent plongés dans les livres. Mais, alors que minuit approchait et que Granma n’avait toujours pas appelé, elle referma son livre et regarda Tyrone. Sur le terrain de baseball, il semblait puissant et féroce, mais autrement c’était le frère le plus gentil et attentionné qu’une fille puisse rêver. — Tu n’es pas inquiet pour Granma ? — Hmm ? Tyrone avait lui aussi le nez dans un bouquin, mais du genre guide pratique : Toutes les astuces pour

suscite bien des interrogations. Ces deux proches de Fidel Castro ont pourtant été accusés par l’ancien numéro un cubain de s’être laissé séduire par le “miel du pouvoir” et d’avoir eu une “conduite indigne”, dans un article publié le 3 mars dans Granma. Le quotidien officiel a publié les lettres de démission – quasi identiques – des deux hommes, dans lesquelles ceux-ci renonçaient aux dernières charges qui leur restaient au Parti communiste cubain, au Parlement et au Conseil d’Etat, assumaient leurs

(DGI) también enroló a algunos chilenos, mediante un programa especial de ese organismo para captar a cadetes de la Escuela Camilo Cienfuegos como agentes, sin que se enteraran sus compañeros. Incluso, diez chilenos pasaron por la Escuela Naval cubana Granma. "Contábamos con todas las especialidades. Si el FPMR no llegó a tener pilotos de aviones de combate fue porque los pilotos cubanos se formaban en la Unión Soviética", se jacta un ex frentista que en 1991 fue gravemente herido en una acción en