Gratien Concorde Des Canons Discordants

pénitents, les catéchumènes, les femmes vierges ou veuves. Un certain nombre de chrétiens ont écrits des œuvres importantes pour préciser la doctrine. L’étude de leurs écrits s’appelle la patriotique. L’église commence à avoir son droit, le droit canon. Les évêques se réunissent dans des conciles œcuméniques. Par la coutume, la communauté chrétienne constitue les règles. La sanction la plus grave est l’excommunion. Section 2 : Le christianisme dans l’empire romain A) La situation du christianisme

fin. 2- Le droit canonique Querelle entre Rémi et Gélase ; pas encore de corpus (ensemble de textes formant le droit canonique). XII° : réflexion sur le Droit de l'Eglise (Justinien...) ; Gratien rassemble les textes droit canonique (les décrétales) ; c'est la concorde (réunion) des canons discordants, une harmonisation des textes qui parfois se contredisent. Décrétistes ou décrétalistes (expliquent le droit canonique aux étudiants). Le droit canonique est donc enseigné. Le droit canonique

(mariage). Ce droit canonique existe depuis la christianisation de l’empire romain (édit de Milan 313) et surtout avec l’apparition du christianisme en tant que religion de l’état avec le règne de Théodose. C’est surtout les décisions des conciles (les canons des conciles). Ce droit canonique prend un véritable tournant au 11ème siècle (phénomène à relier avec les transformations notamment économiques à cette époque). Dans cette 2ème moitié du 11ème siècle on assiste à une réforme en profondeur de l’église

pénitents, les catéchumènes, les femmes vierges ou veuves. Un certain nombre de chrétiens ont écrits des œuvres importantes pour préciser la doctrine. L’étude de leurs écrits s’appelle la patriotique. L’église commence à avoir son droit, le droit canon. Les évêques se réunissent dans des conciles œcuméniques. Par la coutume, la communauté chrétienne constitue les règles. La sanction la plus grave est l’excommunions. Section 2 : Le christianisme dans l’empire romain * La situation du christianisme

On met alors en ordre toutes les règles de droit de l’Eglise. Le droit canonique a deux sources principales ; Les décrétales qui sont les décisions prises par les Papes. Les décisions prises par la réunion des différents évêques qui sont les canon-conciliaires. Dès le IVème siècle il y a des compilations dans lesquelles il y a même du droit romain dont on se sert comme droit subsidiaire. Au Haut Moyen-âge, on trouve un certain nombre de compilations comme la collection de Denis le Petit

On met alors en ordre toutes les règles de droit de l’Eglise. Le droit canonique a deux sources principales ; Les décrétales qui sont les décisions prises par les Papes. Les décisions prises par la réunion des différents évêques qui sont les canon-conciliaires. Dès le IVème siècle il y a des compilations dans lesquelles il y a même du droit romain dont on se sert comme droit subsidiaire. Au Haut Moyen-âge, on trouve un certain nombre de compilations comme la collection de Denis le Petit

(Collaboration entre la dynastie mérovingienne et l’Eglise. Très fructueuse : • Pour l’Eglise : qui préserve alors sa structure, ses libertés, sa structure et ses biens pour poursuivre son œuvre spirituelle • Pour les mérovingiens : établissent la concorde dans le royaume et bénéficient d’un soutien politique. 2. L’Eglise mérovingienne Sa structure reste la même que celle de l’Eglise antique jusqu’au VIIe s : - Le pape - L’évêque, chef de l’Eglise dans chaque diocèse - Les métropolitains

le premier recueil vraiment raisonné de droit canonique : ce moine s'appelle Gratien. Gratien a collecté des textes qu'il a puisés dans des sources de toutes sortes : cela faisait 1000 ans que l'Eglise accumulait des règles. Ces règles, on les trouvait d'abord dans les Saintes Ecritures chez les pères de l'Eglise. Mais elles provenaient aussi des conciles et du Pape : On appelle les décisions des conciles, les « canons », et c'est de là que vient l'expression « droit canonique », pour désigner le

: ne se fit pas ds le sens d'un renforcement des pouvoirs temporels : cf. Jonas d'Orléans : "Le propre du ministère royal est de gouverner le peuple de Dieu, de diriger avec équité et justice, en tâchant d'établir la paix et la concorde. Lui même doit être en effet le défenseur des églises et des serviteurs de Dieu. contre les puissances du siècle e t de la richesse." D'où il découle plusieurs conséquences : - quant au contenu du ministère royal : chargé de défendre

poids de l’empereur amène le plus souvent l’empereur va suivre l’avis du juriste breveté officiellement 2e étape : Au 2e siècle de notre ère l’empereur Hadrien édicte une loi selon laquelle lorsque les avis, les consultations présentés aux juges concordes, se juge doit s’incliner. 3e étape : A la fin du 2e siècle de notre ère on constate que le nombre de ces juristes brevetés a singulièrement diminué. Désormais les meilleurs juristes entrent au service directe de l’empereur et exercent leurs sciences