Hannah Arendt Considérations Morales

tragédie La Généalogie de la Morale FREUD : Malaise dans la civilisation Daniel. C. DENNETT: Darwin est-il dangereux? d’un algorithme, par exemple la sélection naturelle). L’existence « Est-ce que ceci existe S’interroger : et la raison vraiment ou bien est-ce un -sur la réalité d’une chose qui existe en soi ou d’être être imaginaire ? Peut-on bien dans un esprit être sûr que cela existe ? » -sur les différents types de réalité, empirique, intelligible, sociale, morale DESCARTES : Méditations

La tolérance : vice ou vertu ? La notion de vertu connote celle de force et de qualité morale. Pour les Grecs, l’homme vertueux est l’homme qui accomplit son humanité dans son excellence. Le vice au contraire renvoie à l’idée de faiblesse, de défaut moral. La question est de savoir ce qu’il en est de la tolérance sous le rapport de la force ou de la faiblesse morale. On entend par tolérance une attitude consistant à accepter des croyances, des conduites que l’on n’approuve pas. Dans l’idée de tolérance

aliénant, il est constructif et formateur. Alain l’élève presque ici au rang de l’art, puisqu’il contient en lui-même le plaisir de l’action. Un travail utile plaît à celui qui l’accomplit, comme le travail de l’œuvre plaît à l’artiste. Les considérations financières, la reconnaissance sociale sont alors secondaires. Compte d’abord la satisfaction intime que procure le « bel ouvrage ». {Travail} « L’école est universelle parce que le savoir est universel. » ALAIN (Émile CHARTIER, dit) (1868-1951)

tandis que le second, rédigé en 1840, est une réflexion sur la forme particulière de la démocratie américaine. C’est sur ce second ouvrage que portera notre étude dans la mesure où l’auteur élargit sa réflexion et développe une analyse sociologique et morale de la démocratie. L’auteur définit la démocratie américaine comme un système politique où « le principe de souveraineté du peuple [est] répandu dans la société entière » (Tome I). Alexis de Tocqueville nous livre une véritable anthropologie de l’homme

prendre en considération les éléments religions ce domaine est le politique. Ils vont s’efforcer à démontrer que la raison d’Etat doit se maintenir dans le temps et contrôler les hommes. Le premier théoricien est Machiavel : enseignement de la position d’un prince, le prince doit faire usage de la ruse et la force pour continuer d’exercer sa domination, sans prendre en compte les considérations religieuses. Ce qui montre que l’action politique relève de l’action éthique et non de l’action morale. La politique

__________________________________26 2. L’art au service de la v ie (Nietzsche) _________________________________________________27 3. L’art au service du bien (Tolstoï) ____________________________________________________27 4. Le goût comme faculté éthique et polit ique (Kant, Arendt) _________________________________28 5. L’art au service du politique (Platon, totalitaris me, art engagé) ______________________________28 6. Art et d istinction sociale (Bourdieu) __________________________________________________31 Annexe _

au-delà. Blaise Pascal L'affection ou la haine change la justice de face. Et combien un avocat bien payé par avance trouve-t-il plus juste la cause qu'il plaide ! Blaise Pascal La vraie éloquence se moque de l'éloquence, la vraie morale se moque de la morale. Blaise Pascal Si l'on avait pu l'on aurait mis la force entre les mains de la justice, mais comme la force ne se laisse pas manier comme on veut parce que c'est une qualité palpable, au lieu que la justice est une qualité spirituelle

expression des idées et de l’esprit 1 C. Le bien 1 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas

société de l’abondance. Et d’autre part, on ne peut ignorer son influence sur l’émergence de nouvelles valeurs et comportements sociaux. Ainsi, nombre de penseurs se sont intéressé à appréhender la notion de loisir. Certains à l’exemple de H Arendt, y ont vu la face sombre d’une société soumise au jeu d’une individualisation toujours plus prégnante, d’une société du tout consommable, du primat d’un hédonisme personnel sur l’intérêt général, dont le divertissement est le versant le plus préjudiciable

Notion d’humanité dans l’ordre juridique belge S’appuyant sur des « considérations d’humanité », un juge de paix n’hésite pas à renverser le déroulement traditionnel des relations contractuelles en matière de bail1, décidant qu’il convient de reporter la fin du contrat à la belle saison, afin de permettre au locataire, personne âgée, de déménager dans des conditions conformes à la dignité humaine. Ayant pénétré le domaine du droit, le concept d’humanité est à l’œuvre dans nombre de textes législatifs