Harmonie imitative

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

utilise des allitérations en « r », comme au vers 1 avec « rit », au vers 2 « êtres », « fièvre » et « maigrit », puis au vers 7 : « accroupis », « sombre ». Le son R donne un côté menaçant au poème. Au vers 18 l’allitération en « f » crée une harmonie imitative du sifflement des machines. Les machines apparaissent comme des monstres avec l’utilisation d’une personnification. En effet, au vers 7, elles se dotent de « dents ». Le travail est également personnifié au vers 25 car il « se sert » des enfants

spectre de la rose sous la rosée » : entrecroisement S-Z et R l’animal : « loutre, souris, hirondelle, dauphins, martre, oiseau, paon... » « dépliement d’éventail des jours » : entrecroisement D - L - Y > mouvement du dépliement ? (harmonie imitative)... le mécanique : « sablier, poupée qui ouvre et ferme les yeux, écluse, moulin, mouvements d’horlogerie, dépliement, balance, hache... » LECTUTRE ANALYTIQUE LECTUTRE ANALYTIQUE CONCLUSION : EN+: Breton a su créer ici un

LA FONTAINE, Fables (livre VII, 13) : Les deux coqs Deux Coqs vivaient en paix : une Poule survint, Et voilà la guerre allumée. Amour, tu perdis Troie ; et c’est de toi que vint Cette querelle envenimée Où du sang des Dieux même on vit le Xanthe teint ! Longtemps entre nos Coqs le combat se maintint. Le bruit s’en répandit par tout le voisinage : La gent qui porte crête au spectacle accourut ; Plus d’une Hélène au beau plumage Fut le prix du vainqueur. Le vaincu disparut : Il alla se cacher

« rugissement ». Puis la présence d’une polyptote, « à belles dents » (l.20), qui vient amplifier le verbe « mordre » (l.20) et donne ainsi au comportement du comte une certaine férocité. Enfin, l’allitération en « r » tout au long du texte va former une harmonie imitative du grognement de l’ours. On se retrouve ainsi dans une sorte de ronronnement continuel qui va accroitre cet aspect d’animalité qui reste omniprésent dans le texte. Mérimée ne va alors pas manquer de souligner l’étrangeté du comportement de l’homme-ours

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

vieillesse et de la mort. On peut citer Spleen (LXXV-LXXVI-LXXVII- LXXVIII ). * Mais hanté par l'Idéal, Baudelaire montre son refus. Les poèmes illustrant ce thèmes sont par exemple " Elévation ", " Parfum exotique ", " L'invitation au voyage ", " Harmonie du soir". * l'amour : à travers cette lutte contre l'ennui (le spleen), l'Amour occupe une place privilégiée dans l'Art. Baudelaire a connu, sans arriver à leur association, les deux formes complémentaires de l'amour humain : * la passion

plusieurs mots d'une sonorité consonantique avec un |répétition expressive des /r/ : | | | |effet de rythme marqué, pouvant créer une harmonie imitative |« Tandis que les crachats rouges de la mitraille | | | | |Sifflent tout le jour

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

complément souvenirs; la première rédaction donnait sentir: la correction annonce le déferlement des souvenirs au dernier vers; le tintement du carillon est entendu avant d'être nommé, annoncé .par le verbe écouter, et aussi par la sonorité imitative de la double allitération (lointains 1 entement ). Il y a dans ce quatrain tout un jeu de correspondances: écouter les souvenirs qu1 s'élèvent comme un brouillard (dans la brume) près du feu qui palpite (comme un coeur) et qui fume (comme la brume)