Harmonie imitative

occurrences) et le son {r] à la rime du dernier quatrain renvoient au terme Enfers. La voyelle [i] et ses trente-deux occurrences accentue la tension dramatique En plus de la présence de D.J dans le matériau sonore, les diérèses et les harmonies imitatives : allitérations en [d] Rythme régulier créé par les quatrains, les alexandrins, les rimes croisées alternativement féminines et masculines Chaque strophe constitue une phrase Cette solennité rythmique accompagne le calme et la gravité

verdoie ». Ces constructions soulignent la dualité du sentiment amoureux. Il est également possible de s’appuyer sur les sonorités (allitérations : répétition d’un même son consonantique et assonances : répétition d’un même son vocalique : harmonie imitative)/ les rimes (répétition d’un même son à la fin de deux vers/ il existe des rimes internes ou intérieures) : - les allitérations en dentales et en [R] traduisent la souffrance, l’agression subie ex v 2 « J’ai chaud extrême en endurant froidure

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

quatre cloches (quadrillon) couvrant tout ou partie de la gamme.La première syllabe du mot "carillon" porte l’accent tonique du vers, tandis que l’allitération des plosives ("p") et des labiales ("f") ("qui palpite et qui fume") produit une "harmonie imitative" qui fait littéralement "entendre" les craquements du feu de bois qui chantille, personnifié dans le verbe "palpiter" qui l’assimile à un cœur humain.Cette première strophe est construite par ailleurs sur une opposition entre l’intérieur et

présentée à travers la sensibilité du poète. b) idéalisation des bruits :  Perception auditives : V3 « les clochers chantent » « hymnes » : chants de louanges v6 « les bruits de l’atelier » se transforment en chant et bavardages. Harmonie imitative du son régulier des cloches  V3 : « écouter en rêvant » v9 : « voir »  cela montre l’importance des perceptions auditives ; le poète sait écouter. Il est témoin de la cité non pas pour en rendre compte de manière réaliste mais pour en saisir

Ex: O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?(P. Corneille) Sons (phonétique) : L'allitération : = répétition de sons identiques dans une suite de mots. V. harmonie imitative = Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Ex: Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : Cassandre sous son Capuce Ex: Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue

Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit (1842). (Objet d'étude : la poésie) Niveau : classe de 1re.     Ondine... Je croyais entendre Une vague harmonie enchanter mon sommeil, Et près de moi s'épandre un murmure pareil Aux chants entrecoupés d'une voix triste et tendre. Ch. Brugnot, Les Deux Génies. « Ecoute ! – Ecoute ! – C'est moi, c'est Ondine qui frôle de ces gouttes d'eau les losanges sonores de ta fenêtre illuminée par les mornes rayons de la lune ; et voici en robe de moire, la

di coup de foudre par métaphore, mais il est aussi malfaisant : la femme est une séductrice qui peut tuer, comme l’indique « le plaisir qui tue » et renvoyer ainsi dans les ténèbres, « la nuit ». Le « s » évoque le sifflement du serpent par harmonie imitative et un parallélisme de construction qui traduit bien cette dualité. Le nom et la proposition relative du vers 8 montrent bien que la femme fatale est capable de donner un plaisir qui tue. C’est la représentation de la tentation et de l’idéal

l’auteur en prêtant garde à tous les procédés qui font la finesse du texte théâtral. Le fameux vers de Racine « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes », issu de la pièce Andromaque, est une allitération en [s] qui produit une harmonie imitative du sifflement du serpent. Une étude de la tirade de Lorenzo, tirée de la pièce Lorenzaccio, permet d’en saisir tout le sens, de discerner des éléments qui nous ont échappé lors d’une première lecture, et ainsi, d’apprécier pleinement le talent