Harmonie imitative

cercle est né d’une controverse autours d’une peinture de Sérusier, Le Talisman (fig.1), réalisé sous la direction de Paul Gauguin, qu’il avait rencontré en Bretagne à Pont-Aven durant l’été 1888. Gauguin l’encourage à se débarrasser de la contrainte imitative de la peinture, à user de couleurs pures et vives et à donner à ses peintures sa propre logique décorative et symbolique. Ce seront les mots d’ordre de cette peinture nabi, les peintres veulent donner une âme à la peinture afin de provoquer un nouvel

actions. • Les obsèques de le Lionne donnent à voir le chagrin du Roi. Toute une isotopie lexicale de la tristesse est, pour ce faire, développée : « consolation », « affliction », « aux cris s’abandonna ». L’allitération en [r] crée une harmonie imitative qui nous fait presque entendre les rugissements du lion et ceux de ses courtisans : « Le Prince aux cris s’abandonna,/ Et tout son antre en résonna./ Les Lions n’ont point d’autre temple./ On entendit à son exemple/ Rugir en leur patois Messieurs

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une  métaphore« ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

langue et comme incantatoire, un mot parfait, vaste, natif». -        Il faut retrouver   en fait les vertus de la langue primordiale (où le signifiant aurait correspondu au signifié, en stricte terminologie saussurienne, cf. allitération et harmonie imitative) par une sorte d’alchimie où, grâce au jeu de l’analogie et de la métaphore, les mots peuvent reprendre l’initiative et suggérer vraiment une réalité nouvelle, cf. en 1866 à Coppée : «dans le poème, les mots se reflètent les uns les autres» ;

et aussi par l’expression du bruits et métaphore « clairon » (qui se rapporte sentiment de honte ; les fenêtres sont alors aussi à l'éclat du soleil) « Neuve et propre du soleil comme un regard posé sur le poète (cf V. elle était le clairon » Harmonie imitative : « les Hugo, la conscience) ; plaques les avis à la façon des perroquets • le poète laisse entendre son désarroi au sein criaillent » allitération en « k » mais aussi en d’un monde pourtant célébré. De même la « p » et « r », les sons imitent

est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le soleil est une présence douloureuse pour Meursault, qui ne cesse d'exprimer son mal, sa douleur. Ce soleil est la cause d'un aveuglement de Meursault, au sens

Le sens littéraire du mot "poésie" et sa … complexité □ (Larousse) : La poésie est l’ART d’évoquer et de suggérer les sensations, les impressions, les émotions par un emploi particulier de la langue, utilisant les sonorités, les rythmes, les harmonies des mots et des phrases ; les images… □ (Petit Robert) : Poésie : ART du langage, visant à exprimer ou à suggérer quelque chose par le rythme (surtout le vers) l’harmonie et l’image. Doit-on alors assimiler poésie et langage poétique ?

regrouper ces deux termes : l’homophonie. Ces jeux phonétiques cherchent parfois à inspirer au lecteur une relation entre le sens, le thème du texte et l'effet d'insistance inscrit dans sa matière sonore. On parle dans ce cas traditionnellement d'"harmonie imitative" c'est-à-dire un effet musical visant à l'imitation de ce qui est représenté. Ces sonorités renforcent l’aspect horrible de la scène. Les mêmes allitérations que dans le premier quatrain montrent que l’auteur a passé du temps à concevoir sa

rationnel - [442c] : définitions « courageux » et « sage » - Justice = aucune partie de soi ne réalise des tâches étrangères, établit un ordre véritable des tâches de l’âme, se dirige lui-même, harmonise les 3 principes en lui —} être unifié, modéré, en harmonie LIVRE V - [451 e] : rôle des femmes = elles doivent tout accomplir avec les hommes mais en n’oubliant pas qu’elles sont plus faibles —} doivent aussi être formées par gym/musique - [452b] : ridicule ? —} [452d] seul est ridicule ce qui est mal

son vocalique, le plus souvent dans la syllabe accentuée de mots qui se suivent ou forment un ensemble. Cette figure de style était très utilisée dans la poésie du Moyen Age o Euphonie - Cacophonie, o Diérèse - Synérèse - Harmonie imitative - Hiatus, o Homonymes - Homophones - Paronymes - Paronomase • Autres: o Diction - Intonation - Phonème