Harpagon Pathétique

déguisements, personnages cachés. Le Comique de caractères : personnages monomaniaques et extravagants, dirigés par une obsession (argent, la maladie). Personnages typés (serviteurs espiègles, jeune homme étourdi, veil bigot riche). mais cependant nuancés: Harpagon l’avare est aussi amoureux ; Tartuffe l’hypocrite est aussi sensuel ; Don Juan le libertin peut être généreux. Mais derrière le divertissement se profile l’étude des mœurs. Son œuvre évoque en effet les grands problèmes de la société de son temps

deux mois. Le 4 décembre, la troupe joue Alexandre le Grand, qui déçoit par l'interprétation. La troupe trahit Molière. A partir de 1668 la maladie rattrape Molière : il maigrit, se voûte, et ses désagréments alimentent le jeu de ses personnages. Harpagon de l'Avare (1668) tousse bruyamment, Monsieur de Pourceaugnac, de la pièce éponyme (1670) crache ; et Argan du Malade Imaginaire (1674) souffre de symptômes bien réels pour le comédien.  IV) Les ennemis et la fin A) Les ennemis Molière eut

Quelle remise en cause de l'ordre social et moral le Dom Juan de Molière propose-t-il ?   Le DOM JUAN de Molière n'est pas une création originale. Contrairement à Tartuffe ou Harpagon, ce personnage  n'est pas un type unique , il a existé avant et après Molière. Il existe d'innombrables Don Juan . C'est ce qui en fait un mythe : un personnage représentatif dans l'imaginaire collectif. Le DON JUAN de Molière n'est pas qu'un séducteur, c'est un révolté qui renie tous les codes moraux et sociaux                 

gestion de la préparation de l’exploitation et la résolution. La difficulté pour le scénariste est d’arriver à mettre en place une scène où l’information déficitaire du personnage est centrale, où tout l’humour, l’appréhension, la tristesse, le pathétique et le suspens, naît de cette information que le spectateur possède et le personnage ne possède pas. Son utilisation demande beaucoup de maîtrise. Lorsqu’il est mal utilisé, il peut se révéler néfaste à l’oeuvre. II. Partie théorique : 1. Qu’est-ce

avec humour une réalité de son temps qui est aussi la nôtre : le type du parvenu, du « nouveau riche » dirait-on aujourd’hui. C’est donc à travers la description d’un bourgeois bouffon, maladroit, déguisé dans des vêtements ridicules et au final pathétique que Molière nous démontre une vérité toujours d’actualité : l’argent ne fait pas tout. Dans cette pièce, M. Jourdain croit en effet que, contrairement à la formule, l’habit fait effectivement le moine. Il confond l’être et le paraître, et c’est

= le narrateur est une sorte de témoin ignorant.- ces points de vue entraînent un jugement implicite ou explicite du narrateur sur les personnages et une participation différente du lecteur à l'action : registres réaliste, comique, fantastique, pathétique. | POSITION DU LECTEUR | * identification possible. * lecture impatiente du déroulement de l'action. |   décrire | TEXTE  DESCRIPTIF     | | EXEMPLES | * Genre romanesque : romans du XIX° siècle (Balzac, Zola),nouveau roman (Robbe-Grillet)

mœurs, satirique, qui se moque d’un comportement ou d’une catégorie sociale (par exemple, Le Malade imaginaire de Molière) ; — la comédie de caractère, qui met en scène un personnage dont on stigmatise le caractère ou les manies (par exemple, Harpagon dans L’Avare de Molière). comparaison, métaphore Faire une comparaison, c’est rapprocher deux réalités différentes au moyen d’un outil de comparaison (comme, tel, semblable à, avoir l’air, ressembler, plus que, moins que, etc.). On définit

partager au lecteur ses enthousiasmes et ses déceptions. « Enfin je l’ai vu, ce tableau de notre ami Greuze ; mais ce n’a pas été sans peine ; il continue d’attirer la foule. C’est un père qui vient de payer la dot de sa fille. Le sujet est pathétique, et l’on se sent gagner d’une émotion douce en le regardant. La composition m’en a paru très belle ; c’est la chose comme elle a dû se passer. Il y a douze figures ; chacune est à sa place, et fait ce qu’elle doit. Comme elles s’enchaînent toutes 

la première fois que la morale triomphe dans un dénouement heureux. Intérêt de l’action On pourrait se contenter de définir ‘’Mithridate’’ comme une tragédie, c'est-à-dire, selon I'idée courante à l'époque, la représentation des malheurs pathétiques de personnages nobles engagés dans un grand conflit politique et amoureux. En fait, on peut y distinguer quatre aspects : - Une épopée, aspect qui était nouveau chez Racine, si I'on excepte ‘’Alexandre’’, où toutefois il était resté conventionnel

amuser et qu'elle  tient  lieu de récit, avec force gestes, figuratifs et même réalistes, remplaçant une série de phrases. • PARODIE : imitation ludique d’un genre. • PASTICHE : imitation ludique d’un texte ou d’un style. • PATHÉTIQUE qui provoque la compassion. • PATHOS : Émotion amplifiée ou simulée, susceptible de susciter chez le public des sentiments de pitié ou de  terreur, en vue de provoquer  la catharsis  (purification). (idée venue de  l’Antiquité