Hautbois

utilise le parfum IA le parfum est le plus fugace des cinq sens, mais les correspondances créées n’en auront que plus de sens, et seront spectaculaires ; le parfum est associé alors à plusieurs éléments, le toucher « chairs d’enfants », l’ouïe « hautbois » et un élément naturel « prairies » : ce sont des correspondances horizontales IA non seulement les synesthésies ne sont pas qu’horizontales, mais qu’elles peuvent aussi mener à l’essentiel, au sacré lorsqu’elles sont verticales : les termes

célèbre : « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. » (v.8) Cette théorie prend forme autour des parfums, d’abord assimilés au toucher: « frais comme des chairs d’enfants » (v.9) ; ensuite appréhendés comme des sons : « Doux comme les hautbois » (v.10) ; puis par la vue : « verts comme les prairies » (.10) b) La fusion des sensations aboutit à celle des diverses formes artistiques Les correspondances donnent accès à une connaissance du monde, c’est-à-dire à la connaissance de ses mystères

application les idées qu’il a énoncées dans les deux quatrains. Par exemple, il nous montre qu’un  « parfum frais » peut nous faire penser à des « chairs d’enfants » mais peut aussi nous faire penser à l’innocence. (Idem pour les parfums « doux comme des hautbois »).De plus il emploie un ton affirmatif. L’odorat occupe une partie importante de ce sonnet mais aussi de beaucoup d’œuvres de Baudelaire. Au vers 9 on peut remarquer que les sonorités sont symétriques, il nous montre l’équilibre des sens. Le parfum

sciences et les arts, 1750. III – Lisez cet extrait et relevez les figures de style contribuant à l’expression du registre ironique : Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins

répandent » devient « se répondent » (vers 8). C’est deux poèmes sont variés et écrit avec une structure grammatical basique et canonique, où les cinq sens de l’homme sont évoqués, dans Correspondance : « le musc, le benjoin et l’encens » (vers 13) « les hautbois » (vers 10) et dans La vie antérieure «les images des cieux » (vers 5) « rafraichissaient le front » (vers 12). Baudelaire se donne un devoir, « l’unique soin d’approfondir » (vers 13), il explique une architecture de la nature que seul lui peu déchiffrer

qui on aussi marqué le XVIIIème siècle Extrait de candide : COMMENT CANDIDE SE SAUVA D'ENTRE LES BULGARES, ET CE QU'IL DEVINT Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins

d'Iran borde le puits sombre ? Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand, Qu'un cheval au galop met, toujours en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? - Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles. 8-10 juillet 1828      Victor Hugo - Les Orientales  

StructureModifier City Life en concert au New England Conservatory, 2007 Check It out ~6' Pile Driver/Alarms ~4' It's Been a Honeymoon/Can't Take It No Mo' ~5' Heartbeats/Boats & Buoys ~4' Heavy Smoke ~4'30" City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons, un quatuor à cordes et une contrebasse[4], deux vibraphones et des percussions. Les sons échantillonnés joués en direct sont couplés en général à un instrument (comme les bois pour les

la fanatisation d'une foule, par son énergie entraînante. Le compositeur demande, dans la partition que ce rythme soit joué, tout le long, d'une manière incisive et énoncé avec beaucoup de clarté. Les cordes (violons etc. ) et les bois aigus : flûtes, clarinettes, hautbois ainsi de suite semblent évoquer ce qui est aérien, les walkyries chevauchant le vent, elles sont d'origine divines et sont donc par définition des êtres supérieurs, au dessus des simples mortels Les violons matérialisent cet air en figures musicales

de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Charles Baudelaire