Hautbois

esthétique de la bataille. Une parade, une fête. Termes laudatifs « beau, leste, brillant, ordonné » (l. 1) associés à l’intensif « si » de la première phrase. Harmonie auditive : des instruments de musique associés au canon « trompettes, fifres, hautbois, tambour » et « canon » (l. 2, 3) Un jeu de quilles ? « Les canons renversèrent » (l. 4) peu d’importance accordée à la vie humaine. Justification de la guerre par diverses considérations Morale : terme religieux « Te Deum » la religion est

s’adresser à un enfant pour donner un ton plus émouvant à ce poème, est obligé de promettre à ce dernier des merveilles de la nature que l’on trouve dans les pays voisins comme le lys, ou encore « un bel oiseau » qui combinerai à lui seul la douceur du hautbois et l’énergie des cymbales. Cette nostalgie et cette beauté entraînent l’auteur à espérer un renouveau de cette nature blessée. On sent cet espoir grâce à des hyperboles « Qu’un cheval au galop met, toujours en courant, cent ans à sortir de

d’une hyperbole à la ligne 1« Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. », il énumère également des instruments et des armes comme si la guerre était quelque chose de joyeux « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. » Ligne 2. Voltaire évoque également les humains tel que des choses inutiles voir répugnantes « Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes

lui-même. Encore, les vers 10 et 11 font ensemble une antithèse qui réflète la dualité entre l’humanité et la Nature. Baudelaire utilise premièrement une connotation méliorative de la Nature avec des comparaisons a des élèments naturels tells que “hautbois” et “vert comme les prairies”. Au vers 11, il illustre un constraste et un parallèle entre les deux en disant que la Nature est “corrompus” mais en meme temps, “riche et triomphante”. L’homme, représentant aussi l’humanité, démontre que tout humain

Voltaire (l'auteur critique les rois, la religion) *Vision réaliste et pathétique de la guerre (retour à la réalité et au malheur) Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins

Des légions d'oiseaux faisaient une tempête De cris joyeux. Parfois un rossignol lointain Jetait un trille aigu dans l'air frais du matin, Et son souple gosier semblait rouler des perles. Dans tout le gai feuillage éclataient des chansons : Le hautbois des linots et le sifflet des merles, Et le petit refrain alerte des pinsons. Quelques hardis pierrots, sur l'herbe de la sente, S'aimaient, le bec ouvert et l'aile frémissante. Elle sentait partout, sous le bois reverdi, Courir et palpiter un

brillant, si ordonné » (l.1) est une accumulation hyperbolique, Voltaire utilise les adjectifs «beau», «leste», «brillant» et «ordonné» de manière a donné un coté esthétique paradoxal a cette bataille. «les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie» (l,2/3) Dans cette phrase nous avons plus l'impression d'assister à un concert de musique que d'assister {text:soft-page-break} à une bataille. On remarque aussi, à la suite d'une énumération

la tragédie. I- La source grecque. Tragédie : les érudits pensent que la tragédie est né du culte du dieu Dionysos. On pense qu'à l'origine, il y avait des des dithyrambes ( hymne religieux chanté par un chœur d’hommes accompagné d'un aulos (hautbois double) et d'une danse représentant à l'origine l'emprise de Dionysos sur les hommes ). La tragédie reste à Athènes liée au monde de la religion. Notamment au cours des dionysies, où il y avait un concours entre les poètes. Chacun présente quatre

pléiade d'acteurs. Les citations importantes : "Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin." "Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer." - "Ô Pangloss! s’écria Candide, tu n’avais pas deviné cette abomination; c’en est fait, il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme." — "Qu’est-ce qu’optimisme

clair le texte, appuyant ainsi sut l’importance du message qu’il porte. Il est joué par un petit orchestre de jazz (ou jazz band). La mélodie en Do majeur reste la même pour les trois couplets. Seule l’introduction et la conclusion sont jouées au hautbois. La structure est sous forme strophique : l’introduction puis le premier couplet, un période instrumentale, le deuxième couplet, à nouveau une période instrumentale, le troisième couplet et enfin une conclusion (appelée coda). Cette chanson a été