Hegel Esthétique

pas. « définition » de beau : caractéristique d’une chose qui au travers d’une perception proccure satisfaction et plaisir. Abordée en philo, en esthétique, histoire… Hegel => Beauté : nature et l’art. Beauté de l’art au dessus => accomplissement de soi. Platon : beau associé au bien. Se rapproche d’un idéal =>assimilé à la beauté, perfection esthétique. Hippias majeur, Platon. Hippias et Socrate dialoguent pour définir le beau. 1. Hippias : Beau est une belle jeune fille. +> cas singulier

désintéressée : ce qui caractérise la contemplation esthétique, ainsi que le remarquait Kant, c'est que la question de l'utilité y est suspendue, en d'autres termes que l'œuvre ne vient pas répondre à un besoin préalable. Quand je trouve belle une statue, je ne me demande pas ce que je vais en faire, et précisément je ne peux rien en faire, sinon la trouver belle : l'œuvre d'art ne sert à rien, elle n'a pas de finalité assignable hors de la satisfaction esthétique qu'elle procure. II. La spécificité de notre

privé d’armes et de raisons, celui qui refuse dialogue se réfugiait dans l’esthétique. Du premier de ces contre-exemples, j’ai parlé souvent. Je crois devoir traiter en abondance du second. Voici des assertions sur le troisième. » Michel Serres Esthétiques Sur Carpaccio. Editions Hermann 1975. Baudri de Bourgueil (1045/46-1130) me fourni en quelques mots, confirmant Chamfort, je crois, qui disait que les poètes devraient être la première étude du philosophe, une excellente description du statut

s’adresse à l’âme, mais est une pensée sans concepts, non intelligible par l’intellect. Selon Hegel, l’art est une réalité sensible et sensée : il s’adresse aux sens, mais a également un sens, celui de l’évolution de nos besoins spirituels au cours de l’Histoire. L’art, comme la religion et la philosophie, est un témoignage de ce que les hommes ont déposé de plus haut qualitativement culturellement pour Hegel, alors qu’il est sensé « préparer à la vie » pour Nietzsche. Il satisfait l’universelle «

particulière. C'est pourquoi l'imitation peut être réaliste certes mais elle peut produire aussi le vraisemblable (c'est-à-dire ce que semble être la réalité) ou imiter l'idéal c'est-à-dire ce que devrait être la réalité. Pour Aristote, le plaisir esthétique repose sur une relation de connaissances : j'éprouve du plaisir parce que je reconnais dans l'œuvre le modèle qui est représenté, l'idée qui est suggérée, que ceux-ci soient beaux ou laids. Pour Aristote, la poésie est plus philosophique que l'enquête

l’était pas ? D’après Hegel, l’art doit nous évoquer un jugement et non un plaisir immédiat. Il convie à la méditation. L’art contemporain serait art s’il évoque une idée, le plaisir et la beauté ressentis venant après. Hegel distingue deux catégories d’art, le semblable (ce qu’on identifie comme art d’après des modèles familiers), le différent qui est un mouvement de conquête du réel (faire ce qui n’est pas de l’art encore) ; cette distinction montre le chemin de la conquête esthétique actuel. Mais est-ce

humaines qui est requis pour produire un jugement esthétique. Il s'agit de l'imagination et de l'entendement. La première faculté à intervenir est l'imagination, l'œuvre met en marche notre imagination et ceci se traduit par un rapport de familiarité avec l'œuvre . Mais sur ce rapport intime et personnel avec l'art vient se greffer une intervention de l'entendement, il s'agit de dire ce que l'œuvre d'art représente pour nous. Le jugement esthétique ne nous apprend rien sur l'œuvre mais sur notre

dangereuses (je pense ici à peinture de propagande par exemple). Elles n'évoquent rien de plus que ce qui y est présenté et confinent le spectateur dans une seule voie. Pour Hegel dans Esthétique, la liberté définit l'art, ce qui suppose que l'art doit se détacher de tout asservissement quel qu'il soit. Le bel art selon Hegel n'est possible que si l'artiste fait preuve d'autodétermination et qu'il créé librement. De plus si on considère l'évolution que l'art moderne a connnu, on constate qu'il s'est

désintéressée : ce qui caractérise la contemplation esthétique, ainsi que le remarquait Kant, c'est que la question de l'utilité y est suspendue, en d'autres termes que l'œuvre ne vient pas répondre à un besoin préalable. Quand je trouve belle une statue, je ne me demande pas ce que je vais en faire, et précisément je ne peux rien en faire, sinon la trouver belle : l'œuvre d'art ne sert à rien, elle n'a pas de finalité assignable hors de la satisfaction esthétique qu'elle procure. II. La spécificité de notre

=> Les artistes sont donc perçus comme des charlatants Position de Hegel : si l'homme veut imiter la nature, il va nécessairement échouer cependant, l'art nous montre différentes facettes du réel. Contemplation esthétique. → sens large ( pas seulement la vue ). Jugement de goût : jugement : mettre des concepts en rapport les uns avec les autres ( de réalité ou d'existence, de valeur : vérité, morale ou esthétique ) goût : ce que l'oeuvre crée en nous. Terme polysémique : un des 5 sens