Hegel La Vengeance Et La Punition

Grecs avaient jusque-là toujours cru à la fatalité. Le destin, la prédestination. Connaître son destin grâce à l’Oracle de Delphes. Pythie (prêtresse). Les prêtres traduisaient. La maladie : punition des dieux, cause surnaturelle. CHANGEMENT : science de l’histoire, chercher des causes aux guerres (plus une vengeance divine). Historien grecque : Hérodote (484-424 A.J.C.) : Science de la médecine (Hippocrate, île de Cos, 460 A.J.C). Expliquer la maladie et la santé de manière naturelle. Socrate. P. 81

oublions aisément nos fautes lorsqu’elles ne sont sues que de nous” . Mais même la seule recherche de la bonne conscience, d’un accord confortable avec moi-même, ne tient pas lieu à elle seule d’attitude morale, sauf à tomber dans les excès de ce que Hegel appelle la belle âme, satisfaite de la pureté de son intériorité, mais au prix de l’inaction et du refus du monde. Lorsqu’une action légalement bonne est accomplie par vanité, par intérêt, on a du mal à accepter qu’une action accomplie selon ces

registre épique prend tout son sens, elle se transforme en chef de guerre: « Un rien avait suffi à les faire sortir de leur passivité. Une vieille femme sans moyens qui leur disait qu‘elle avait décidé de lutter les déterminait à lutter… ». De plus, Hegel souligne dans L’Esthétique, que « ce qui fait le contenu d’une œuvre épique, ce n’est pas une action isolée et arbitraire, ni un évènement fortuit, mais une action que ses ramifications rattachent à la totalité de son époque et de sa vie nationale

impartial : le juge ou la loi ont plus de chance être partiaux * 2e éléments : la notion de vengeance Une décision de justice ne satisfait jamais les 2 partis car les 2 surestiment leurs intérêts et il serait dangereux de satisfaire les 2. Donc le désir des parties n’est pas la justice mais la vangeance. Le droit est un mode de régulation qui fait sortir rapport social qui exclut la vengeance : car chacun des 2 évaluent de façon passionnel leur intérêt * Fait divers : juins 2010 lynchage

naissance, ce qui est appris, le fruit de l’éducation. Aujourd’hui, départager ce qui est de naissance de ce qui est appris demeure au cœur de la question de la nature humaine, ce sont souvent les éthologues qui s’expriment à ce sujet.. ACTE selon Hegel : tous les évènements dont je suis cause, que je les aie connus ou voulus tels ou non. En acte / En puissance : L'acte est à la puissance ce que l'effectivité complète est à la virtualité. Ce qui est en acte est pleinement réalisé dans toutes ses

l'humanité a finalement causé le malheur des hommes, qui -comme le dit Hésiode- sera soumis à la volonté divine. Mais la punition ne s'arrête pas là. En effet, Zeus qui sait que la nourriture doit être cuite avant d'être consommée par l'homme, décide de leur enlever le feu (certains écrits diront qu'il leur confisquera le blé au même moment) qui leur était vital. Devant cette punition, Prométhée furieux, retourne dans l'Olympe chercher le feu et Zeus prendra cet acte comme une trahison et décidera de

Aussi toute critique de l’éducation au nom d’une "nature" humaine spontanée supposée bonne doit être sévèrement mesurée, et très prudemment exprimée, puisque justement nous ne sommes pas sûrs de ce portrait que nous traçons. La cruauté, la haine, la vengeance, la sournoiserie aussi existent chez l'humain, et elles semblent parfois apparaître même chez des individus ayant reçu une éducations qui ne les y poussait nullement. Ménageons-nous la possibilité que la "nature" humaine ne soit pas foncièrement

esclaves, ou pour la délimitation des terrains de chasse et d’élevage, ou encore pour venger une offense ou pour réparer des torts mais également pour forcer l’admiration. On peut alors ramener à quatre types les guerres archaïques, la défense, la vengeance, l’acquisition ou le maintien de la classe militaire dans la hiérarchie sociale. La propriété, la civilisation et la politique ont-elles ainsi enfanté la guerre ? Deux postulats philosophiques s’affrontent sur la question des causes de la guerre

garantir la paix interne si les délits ne sont pas réprimandés? Pour Kant, la sanction protège la liberté, dans la mesure où le crime et le délit sont un obstacle à la liberté des autres. Ainsi, c'est au nom d'une liberté à rétablir, que la punition est juste. Selon Hegel, si le crime restait impuni, son existence acquerrait une positivité et remplacerait le droit en soi. Ainsi, on ne peut douter d'une nécessité de la justice pénale. Sans elle, ni droits ni libertés ne primeraient dans une société. Mais

produire institutions et mœurs qui donnent une réalité aux droits de la personne). La disposition éthique produite alors par coutume produit elle-même des actions justes. On passe de la liberté comme devoir être à la liberté comme réalité effective (Hegel) • Sociabilité domestique et coopération sociale A l'affranchissement intellectuel (qui se sépare dans l'âge positif de l'âge théologique et métaphysique) correspond un affranchissement de la société plus rationnellement organisée