Hémistiche

plus régulier que les vers impairs. L’alexandrin, vers de douze syllabes, est celui qui paraît s’accorder le mieux à la langue française. Habituellement, un alexandrin est tout à fait symétrique. Il se divise en deux hémistiches séparés par une césure. Il y a à l’intérieur des hémistiches d’autres coupes moins prononcées : Sur l’aile /du zéphyr // nager / dans un ciel pur (Lamartine, Le Papillon) Le poète doit chercher une syntaxe qui se plie aux contraintes du vers, afin que la pause dans le vers

contre-rejet interne du vers 29 : « Il l’épouse Ai-je donc// attendu ce moment ». Ai-je donc s’introduit dans le 1er hémistiche, celui réservé à Titus et Bérénice matérialisé par le pronom personnel « il » et le pronom COD « l’ ». Antiochus amène un déséquilibre dans cette union. Antiochus est un élément perturbateur de cette union car le « je » vient s’introduire dans le 1er hémistiche C- La narration à travers les unités de temps, de lieu et d’action 1-Unité de temps On a de nombreux temps dans

beaucoup de poèmes qui contiennent des mots qui "font poésie". Ici le travail seul confère une qualité poétique aux "mots de la tribu" (Mallarmé) : ils sont revivifiés par la prosodie et l’ensemble du vers et du poème. - La construction : deux hémistiches qui répartissent harmonieusement 2 segments syntaxiques (le nom 'bâtiments' et son complément 'structure') et 2 sens différents : la chose perçue et appréciée d'abord, puis sa nature intrinsèque. Le vers propose donc le réel vu et senti d'abord

être entendu. Là encore, il y a une sorte de paradoxe. Le conditionnel passé rejette tout accomplissement dans l'irréel mais le verbe aimer exprime une certitude, celle de l'amour. Le deuxième hémistiche concentre tout le mystère de la rencontre et toute l'amertume du poète. En effet, ce deuxième hémistiche ne nous permet de savoir pourquoi la femme s’est-elle détournée. Par indifférence, par pudeur, par fierté ou bien par cruauté? Baudelaire exprime le drame de l'incompréhension entre l'homme et

querelleurs et les mâtins qui représentent la petite noblesse rivalisent eux aussi d’une hypocrisie manifeste. Elle est suggérée par la bizarre construction du paradoxe des vers 47-48 où le prédicat se trouve rejeté au 2ème hémistiche du vers 48, alors que le sujet se trouve dans le 1er hémistiche du vers 47. 3) Le bouc émissaire En raison de sa bêtise et de sa naïveté et parce que c’est un animal de bât (« baudets »), l’Âne symbolise le peuple. La Fontaine li attribue toutefois des qualités qui le rende

ou celui de l’amour, avec « Vénus, « ardeur », « adorer », montrent bien l’amour que Phèdre porte à Hippolyte. Le vers 8, « je sentis tout mon corps et transir et bruler », en créant une accumulation avec l’emploi de deux « et » dans le second hémistiche, réaffirme la puissance de son amour. Cet amour cause à la femme de Thésée un trouble significatif, souvent associé à une passion forte et soudaine. L’état d’agitation dans lequel elle se trouve est traduit par la ponctuation, dense, donnant au

vers, donne son rythme à la poésie.  • Les vers longs, c'est-à-dire essentiellement les décasyllabes et les alexandrins, se partagent le plus souvent en deux hémistiches (= moitié de vers), autour d'unecésure (= milieu du vers). Par exemple, le vers suivant : « Tout m'afflige et me nuit // et conspire à me nuire » est composé de deux hémistiches, de six syllabes chacun.  La césure est alors une pause, un repos de la voix (qui peut correspondre à une reprise du souffle, mais n'est pas nécessairement

décrits : → vue → toucher → l’odorat quatrain 3 auteur poursuit description Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de cuire à point Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu’ensemble elle avait joint groupe verbale 2è hémistiche lexique de la nature terme culinaire hyperbole nature pose un cadre agréable clos le vers, clash avec le début, insiste sur la décomposition symbolise puissance éternelle, s’oppose au corps qui décompose (éphémère) charogne rabaissée à un vulgaire

lecture du vers 3 «  l’homme y passe à travers des forêt de symbole » Ce quatrain met donc en valeur un lien particulier et inversé entre l’homme et la nature car ce lien est marqué par un effet symétrique : 2vers pour l’homme ( dans le premier hémistiche) et deux pour la nature. Ce lien semble inversé la nature est sujet des verbes, l’homme devient un simple objet (« qui observent), la nature émet des messages et l’homme reçoit «  laissent parfois sortir de confuses paroles ». Mais ces messages

dans la poésie du Moyen Age. Biologie : Etude de la vie Bref = court = concis = succinct = laconique = lapidaire. Calligramme : Une poésie dont la forme évoque l’objet ( la colombe d’Apollinaire) Césure : coupure dans un Alexandrin (12 a 6) = HEMISTICHE Champ lexical : Ensemble de mots qui se rassemblent autour d’un même thème. Comédie : C’est un genre Littéraire divertissant (rire) : Le malade Imaginaire Connivence : complicité par complaisance ou tolérance, accord tacite Connotation : Le