Hémistiche

reproches de l’orateur au peuple. Le second récit, lui est beaucoup plus court : deux vers mettent en place la situation initiale ; élément perturbateur extrêmement court : « un fleuve les arrête » (un hémistiche de 6 syllabes) ; deux péripéties : « et l’Anguille en nageant » (un hémistiche de 6 syllabes) et « Comme l’Hirondelle en volant » (un octosyllabe). Puis, le récit reste en suspend sur la réaction de Cérès (en réalité l’orateur) vis à vis des réactions du peuple. 2-

ravage » dans les vers 7 et 12 de la deuxième strophe, « pleurs » v.14, « qui du fer n'ont pas subi l'affront » v.22, et « de la poudre et des balles » au dernier vers. La seule indication nous permettant de trouver l'auteur du massacre est la première hémistiche du premier vers de la première strophe : « Les Turcs ont passé par là ». L'auteur plonge donc le lecteur dans le contexte historique dès le début de son œuvre. Cette ellipse pousse le lecteur en avant de la scène, ainsi que l'utilisation du présent

Axe 1 : la nature sous-partie 1 : omniprésence d'une nature citations + procédés : effet de cycle  « nuit, jour » + allitération en « f » pour les v. 6 et 7 accumulation v.6-7 + rythme régulier des v.6-7-9-10 (hémistiches, césures) sous-partie 2 : la nature est intemporelle citations + procédés : v.4 – accumulation La nature échappe au temps : « non vieillis, rajeunissant » « tous ces jours passeront, ils passeront en foule » v.5 : emploi du futur les temps du poème : présent passé

lecture du paratexte doit aider les élèves à saisir l'enjeu de la discussion entre les personnages ainsi que celui de la pièce, et dès lors de ce qui fait le ressort du tragique. II. L'impossible dialogue On note au début du texte, dès le premier hémistiche : "Non, je n'écoute rien", paroles prononcées hors de toute réponse à un précédent discours, soulignées par les négations (non, rien). Ministère de l’éducation nationale – Direction de l’enseignement scolaire – EAF 2002 – Annales zéro : commentaires

Regard désabusé des «voyageurs» ; Thème directeur1 : La décadence • Faire relever et analyser champ lexical lié à des êtres maléfiques Parallélisme syntaxique des deux hémistiches du dernier vers Le vocabulaire péjoratif relatif - à l’ouïe et - à la vue. La comparaison «êtres de malheur», «de vastes formes qui se meuvent fantastiquement», «une hideuse multitude se rue éternellement» « Qui va éclatant

dernier lorsqu'elle aide Thésée à tuer son frère ou quand elle fait dévorer son beau-fils par un monstre marin. Problématique : En quoi Phèdre est-elle une héroïne tragique ? I/ Phèdre : coupable et innocente à la fois a) Un aveu ambigu Le court hémistiche « Il n’était point coupable » annonce la sentence qui disculpe Hippolyte, et fait écho à son « innocence » énoncée un vers plus tôt. Cet aveu lave Hippolyte de tout soupçon et réhabilite sa mémoire. C’est un plaidoyer : Phèdre s’attache à célébrer

mécanique, mais commode, v. Cornulier 1995). 2 et les notions (animaux désignés, “ fromage ”), le style est plutôt ancien, marotique, familier. Les deux premiers modules, métriquement symétriques, frappent par un parallélisme appuyé : Premier hémistiche (h1) : “ Maître Corbeau = Maître Renard ”. Même titre (Maître), socialement moins élevé que celui de Monsieur (plus loin dans la bouche du flatteur), mais c'est tout de même plus que “ le Corbeau ” à la fin de la fable ; puis un nom d'espèce traité

mécanique, mais commode, v. Cornulier 1995). 3 et les notions (animaux désignés, “ fromage ”), le style est plutôt ancien, marotique, familier. Les deux premiers modules, métriquement symétriques, frappent par un parallélisme appuyé : Premier hémistiche (h1) : “ Maître Corbeau = Maître Renard ”. Même titre (Maître), socialement moins élevé que celui de Monsieur (plus loin dans la bouche du flatteur), mais c'est tout de même plus que “ le Corbeau ” à la fin de la fable ; puis un nom d'espèce

ponctue le début de chaque hémistiche du vers 3) fait de chacun d'eux une étape importante et décisive de l'itinéraire. Ils ponctuent le texte en soulignant une volonté que rien ne saurait arrêter. C'est précisément cette détermination, et la manière de voyager, qui font apparaître ce voyage non comme un simple déplacement, mais comme un itinéraire sentimental. Une relation affective profonde apparaît dans l'interpellation affectueuse qui termine le premier hémistiche du vers 2 (" vois-tu ") et dans

parler comme les personnes cultivées de l’époque. La pensée doit l’emporter sur l’expression. Le poète est d’abord un artisan. 1/3.Ce poème est baroque (1550-1650) par ses jeux de langage : paronomase (l’amer, la mer), anaphores, hémistiches, métaphores. Le feu et l’eau sont deux éléments contraires, ils sont donc baroques. 1er quatrain : les 2 premiers vers reposent sur des anaphores (et la mer), on y retrouve 4 fois le mot « mer ». Marbeuf fonde son poème sur des paronomases :