Hémistiche

rochers, grottes, forêt, lac, belle nature “v.13 nous voyons que le poète parle a cette nature. Le poète s’adresse avec un discourt directe en personnifiant la nature. Ensuite nous avons la Répétition de ” gardez “, en début de premier et de deuxième hémistiche comme une supplication. Egalement le poète utilise un adjectif simple « belle »v.15 pour qualifié la nature car il l’a trouve admirative. Ensuite au vers 14 nous avons un subordonné relatif coordonné ce qui montre que la nature est surpuissante

16), qui témoignent de l’incapacité et de la laideur des albatros. De plus, Baudelaire se sert d’une syntaxe particulière pour créer un effet hyperbolique. Aux vers 9 et 10 par exemple, la première hémistiche de chaque vers révèle de la beauté et de la grace de l’oiseau tandis que la seconde hémistiche annule le compliment en se moquant de l’albatros avec l’utilisation de “comme il est” au ver 9 puis de “qu’il est” au ver 10, de la répétition de “et” entre les deux adjectifs négatifs, et enfin du

emploie assez violents, inquiétants : « venger » « cousin damné » épouvantablement » qui s’étant sur tout un hémistiche au vers 1600 et « gibet ». Meilleur respect de la versification avec césure à l’hémistiche. Mais certaines choses viennent contrecarrer cet aspect : « quand j’aurai déjeuné » : préoccupation + importante est de manger ! Contraste renforcé par le fait qu’il est le deuxième hémistiche du vers qui contient l’adverbe « épouvantablement ». Toujours quête de son identité : « sous mon vrai nom »

la transformation psychologique que vit son fils et rend visible, à travers l'évocation de son besoin de domination, son évolution vers la tyrannie. On peut le commenter à partir des remarques suivantes : Ø Le parallélisme des deux hémistiches et l'antithèse qu'ainsi il renforce entre les deux infinitifs aimer et craindre accentuent l'opposition éloquente entre l'idée d'un pouvoir qui garantit l'honneur de celui qui l'exerce et celle d'une autorité haïssable et monstrueuse. Ø Ce

travers plusieurs mots (« innocents », v.9 ; « anges », v.9) et la périphrase du vers 2 : « ces doux êtres pensifs ». Leur pâleur peut symboliser leur pureté qui s’oppose à la noirceur (mal) de leur sinistre environnement. Au vers 11, les deux hémistiches sont construits de la même manière, sur deux oxymores : en effet ils opposent la pureté des enfants au châtiment non mérité qu’est le travail en usine. On ne peut que s’apitoyer sur leur sort, comme le fait le « hélas » du vers 14, mis en

en valeur ce « je » et donnant une âme à ce poème. 5) Le texte est rythmé grâce aux rimes (ici croisées), à la ponctuation étant omniprésente dans ce poème comme des virgules, des points à la fin de chaque vers, et la division des vers en deux hémistiches : « J’irai par la forêt, j’irai par la montagne ». 6) dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd- ddddddddddddddddddddddddddddddd ddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd-

manifestations de peine . 1789 : Ancien = homme sage « dunc » : montre qu’il va répondre à ses questions 1790 1800 : annonce par le vieil homme de la mort de T 1790 1792 : 1er hémistiche « Bele Dame » interpelle I et lui donne un qualificatif positif qui sera par la suite repris par la pop envers I. Second Hémistiche invoque Dieu, pour donner de l’importance à ce qu’il va dire et de l’authenticité. Il va montrer la grande douleur de la pop par l intensif « grant » puis par le v 1792 qui montre

n’en faut qu’un dans la basse-cour. Ces situations d’échec équivalentes sont amenées par les 2 renversements. Le 1er est dû au fait qu’Hélène « fut le prix du vainqueur » (1er hémistiche du vers 10) ; le 2nd est dû au hasard : les préparatifs de la revanche du vaincu sont inutiles et « il n’en ont pas besoin » (1er hémistiche du vers 19). Les deux héros sont soigneusement opposés afin de ménager la surprise. Le « vaincu » « s’alla cacher au fond de sa retraite » (et le mot « retraite rime avec « défaite »)

transformation psychologique que vit son fils et rend visible, à travers l'évocation de son besoin de domination, son évolution vers la tyrannie. On peut le commenter à partir des remarques suivantes : ➢ ¬      Le parallélisme des deux hémistiches et l'antithèse qu'ainsi il renforce entre les deux infinitifs aimer et craindre accentuent l'opposition éloquente entre l'idée d'un pouvoir qui garantit l'honneur de celui qui l'exerce et celle d'une autorité haïssable et monstrueuse. ➢ ¬     

14…) ; la mort (v.9, 11, 13, 15, 16, 19, 21…). La violence v.1 à 3  violence météorologique  champ lexical du cataclysme (« foudroyer », « tempête », « emporter », « ravager »). Noter les verbes « emporter » et « ravager », au début de chaque hémistiche ; de même, sonorités dures. Caractère inédit, inconnu de cette violence par la construction en chiasme du v.5 avec répétition de « nouveau », et « spectacle » et « horreur » de chaque côté de la césure  amplification de cette violence. v.8-9 