Hémistiche

Venus, les libellules et Hercule ? Non ! Ici des poèmes sur une petite cuillère, un rasoir électrique et un fast-food tu trouveras (aux pages 20, 33 et 47 précisément). La poésie serait enchaînée aux lois des vers, des rimes, des mètres et des hémistiches ? Non et non ! Ici une poésie libre avec les ailes de la prose il y aura. La poésie serait l'un des instruments de torture de ces chers professeurs qui laissent des marques traumatisantes dans la petite enfance ? Non, non et non ! Ici lire chez

contiguïté ou de liaison avec le premier. Diérèse : quand deux voyelles se suivent dans un mot, elles peuvent compter comme deux syllabes. Synérèse : quand deux voyelles se suivent dans un mot, elles peuvent compter comme une syllabe. Hémistiches : alexandrin coupé en six syllabes. Césure : Coupure de l’alexandrin. Prosopopée : consiste à faire parler un mort, un animal, une chose personnifiée.

ce poème est le lyrisme : ils'agit bien pour le poète de partager avec son lecteur ses sentiments les plus intimes. On relève les marques de la première personne, pronom personnel sujet « je » (vers 6), pronom tonique « moi » àla fin du premier hémistiche du vers 7, et un déterminant possessif « mon » aux premier et dernier vers du poème. De plus, les thèmes évoqués sont propres au lyrisme, comme la célébration de la natureallemande, l'importance de la nuit, la mélancolie générale qui se dégage de

ce texte : Morel. = une adresse. B. Il raconte une réalité monotone Effet de répétition avec le présent et les répétitions : anaphores et répétitions … Création d’un rythme binaire monotone, fortement marqué par les oppositions dans les hémistiches ; renforcé par les assonances en « en » dans le premier vers par exemple, avec la liaison. Dans les deux quatrains et le premier tercet, même rythme, même construction. = marque un « ennui » au sens fort du terme, avec l’emploi au pluriel

"Abbuser" V7 "Crois" OPPOSITIONS: Pronoms Hyppolite & Pronoms Phèdre -> Le & Vous -> V7. -> Légitime & Injustice Cesure hémistiche : met en valeur -> Criminel Colère, douleur: malheur, sanglante image, injustice, supplice. -> Il a des doutes. 3- De la colère contre les Dieux. Situation tragique -> Il ne peut lutter contre le destin -> Hyppolite ne reviendra pas

active - Malherbe n'existe pas par un « je » mais par sa raison et ses sentiments - Il propose un dialogue avec sa raison pour ne pas se livrer de part le texte - chiasme sonore v.1 : « si Beau Comme Caliste est Belle » - rythme biliaire avec 2 hémistiches → rythme de l'alexandrin - enjambement en fin de poème - ce n'est pas particulier pour un sonnet car le dernier vers remet en jeu ou pose une question - Le questionnement bouscule la fin du poème Conclusion: - L'éloge de la femme montre que

syllabes → 1 syllabe Synérèse = 1 syllabe → 2 syllabes II. Le rythme Rythme régulier : fin du vers = fin d’un groupe syntaxique Rythme irrégulier : l’enjambement Le rejet Le contre rejet Rythme de l’alexandrin : (le plus long) Césure (Hémistiche de 6 syllabes) Tétramèche (3/3/3/3) Trimètre (4/4/4) …grâce au rejet ou contre rejet, la ponctuation ou son absence ! III. La rime et les sonorités Genre de la rime : alternance féminine / masculine Qualité de la rime : pauvre / suffisantes

(« tout ») et de l’apparence vaine ; et ce, jusque dans la contradiction du propos, lisible avec la remotivation du sens étym de l’adj vaine, càd vide : tout est plein de vide… (les deux adj occupent respectivement la même place dans chacun des hémistiches : la similitude phonétique appuie l’antithèse). Dès lors, le discours poétique, contradictoire au fond, est-il tout autant discrédité que le monde sensible, en tant qu’apparence trompeuse ? [la question peut rester en suspens à ce stade]

souffrance fait partie intégrante de l’amour, les pleurs de l’amante sont souvent évoqués (reprise du motif de Pétrarque concernant les pleurs de l’amante). La structure du vers 3 est à ce titre révélatrice, premier hémistiche avec sanglots puis reprise intensifiée du deuxième hémistiche au moyen de la conjonction de coordination “et” pour renforcer cette passion douloureuse par les “soupirs”.  II La conscience du temps qui passe, approche de la mort.  1- Evolution temporelle.  Les problématiques

annonce le jour aussi bien que la nuit « Tu contiens... le couchant et l’aurore », v.5. La conjonction de coordination « et » souligne l’indissociabilité du bien et du mal ; leur répartition équilibrée est traduite par la parfaite symétrie des hémistiches : in/fer/nal /et /di/vin (3 + 3), v. 2 et le/ bien/fait /et /le /crime (3 + 3), v.3. La beauté baudelairienne n’est pas seulement contradictoire. Elle marque aussi une évolution des conceptions de l’amour. Dans le poème « La Beauté », poème antérieur