Hémistiche

antithèses : « s’envole » et « ramène », ainsi que « la tristesse » et « les plaisirs ». La Mort est fond le thème principal de cette fable mais plus précisément c’est le thème du veuvage qui est traité, on le voit grâce à l’euphémisme du premier hémistiche de la fable « La perte d’un époux ». La manifestation de la souffrance illustrée par les « soupirs » des vers 1 et 11 accompagne la tristesse. Le veuvage est définit par deux états différents qui se suivent : la douleur qui suit la disparition

rapide, du fait de la stichomythie. Les répliques s’enchaînent en se faisant écho, ce qui contribue à dynamiser le rythme du dialogue. Les vers sont souvent partagés entre les personnages : ainsi, le vers 4 se divise entre Pyrrhus, qui dit le premier hémistiche ( « Que dit-elle, Phœnix ? ») et Andromaque, qui dit le second (« Hélas ! tout m’abandonne. »). Les personnages ne s’adressent pas directement l’un à l’autre, mais la répartition de la parole les lie, pour mieux souligner l’impossibilité de la communication

par un syllabe non accentuée, la coupe sépare cette dernière syllabe du reste du mot : / / / / "Le navi / re glissant / / sur les gouf / fres amers." B - LA CESURE C'est une coupe plus marquée qui sépare les syllabes du vers en deux blocs appelés hémistiches. Les vers courts ne comportent pas de césure, ils peuvent se dire d'une seule traite. On note conventionnellement la césure par deux traits obliques ( / / ). * Cas de l'alexandrin régulier. La césure est fixe : après la 6ème syllabe. L'alexandrin

phrase, seulement deux vers sur huit sont consacrés à l’évocation olfactive et réelle : « Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,/ Je respire l'odeur de ton sein chaleureux » ; dans la seconde, constituée par les deux tercets, un hémistiche suffit à faire naître la vision : « Guidé par ton odeur ». La rapidité avec laquelle Baudelaire bascule du réel dans le rêve va donc croissant, comme pour vanter l’extraordinaire pouvoir de ce parfum. De même, l’effet d’attente produit par ces

(v.5), terme d'origine religieuse habituellement réservé aux saints du paradis.              La serveuse enfin, excite la curiosité du narrateur et provoque sa gratitude. Elle entre en scène au second hémistiche du vers 8. La présence d'un point à la césure de ce vers fait de ce second hémistiche une sorte de contre-rejet et met en valeur son contenu. L'adjectif "adorable" annonce avec emphase le plaisir provoqué par l'irruption de la jeune fille, accompagnée d'un bouquet de sollicitations sensuelles

et ces oppositions permettent d'identifier le début de la fable comme la présentation générale du cas particulier qui va faire l'objet d'une narration dans les vers 16 à 48. Le vers 1 et le premier hémistiche du vers 2 annoncent le récit du deuil et du chagrin de la jeune veuve. Le deuxième hémistiche du vers 2 et les vers 3 et 4 correspondent à la guérison et au retour des plaisirs (du vers 35 à la fin). Les deux phases du récit sont annoncées très précisément par une série d'oppositions fortement

L’exclamation souligne l’intensité, la violence des sentiments - Le terme « nuit » se trouve en outre mis en relief par la proximité de l’exclamation et par sa position à la césure (hémistiche). - De plus l’adjectif « fugitive » indique le caractère fulgurant, éphémère de cette vision - Le tiret isole ce 1er hémistiche et insiste sur le sentiment de vide et de néant qui succède à l’éblouissement On perçoit en outre une violence latente grâce à tout un réseau lexical distillé au fil du texte : «

l’oral il doit être mis en relief). Les mots à la césure sont soigneusement choisis par les poètes : ce sont donc des mots importants à commenter et à analyser en commentaire de texte. Les 2 parties du vers séparés par la césure sont appelés « hémistiches ».Ex 1 :  «  Un Homme vit // une Couleuvre . » (Victor Hugo) Les mots « vit » et « couleuvre » sont accentués.Ex 2 :  «  D’où vient que personne // en la vie »

stable, la mort de « La femme du lion » faisant en fait partie d'un rituel codifié. L'élément perturbateur du schéma narratif se situe au vers 25. On retrouve une proposition indépendante très brève (un hémistiche) comme au premier vers : « Le Cerf ne pleura point. » Au vers 28, le premier hémistiche, introduit par l'adverbe bien significatif « Bref» est une phrase simple qui reprend cet événement charnière. La forme négative répétée vient briser l'ordre établi par le protocole déroulé dans les vers

Dans ce poème il dit ce qu’il souhaite trouver à Rome, et ce qu’il y trouve vraiment. I. L’expression d’un rêve • Hémistiche v.2 = il veut donner la même quantité d’apprentissages aux 2 connaissances (maths/médecine). • Rejet v.3-4 = mise en valeur de « théologie », connaissance à laquelle, il insister d’autant plus d’où « d’un plus haut souci ». • Assonance en « i » (premier quatrain) = participe à l’harmonie du sonnet. • V.5 : antéposition du C.O. = mise en valeur des disciplines luth et